Olivier Dollfus

et moyennes villes ou ville en déprise. Outre la BOSWAH, deux autres mégalopoles ont été identifiées : en Europe : de Londres à Milan et en Asie : de Tokyo à Osaka.Archipel Mégalopolitain/Métropolitain Mondial  : C’est le géographe Olivier Dollfus qui utilise pour la première fois cette expression dans son ouvrage l’Espace monde en 1994 . Il définit ainsi les liens dynamiques qui existent entre les plus grandes métropoles mondiales bien insérées dans

maintenant des élections: les clivages politiques, liés aux partis, traversent les sociétés villageoises […]. N'assiste-t-on pas, dans cette société culturellement bouddhiste, à la naissance de l'individualisme, forme de “modernité”?» D’après Olivier Dollfus, La mondiali sation, Presses de Sciences Po, 2001. Document 4. Les flux du Commerce mondial. Source : Cartothèque Sciences Po http://www.sciences po.fr/cartographie/cartes/index_cartotheque/index.html Document 5. L’immigration clandestine

libre échange, fin XIX eme Organisation surtout vers 70 ( mais plus ancien, guerre mondiale...) Plusieurs formes de relations ( économique, politique, culturelles, internationales. Étude du rôle des états et d'autres acteurs 2eme def : ( Olivier Dollfus) appropriation multiformes de l'espace mondial. → Comment la mondialisation réorganise le monde ? Quels sont les espaces moteurs ? Et les marges ? I. L'explosion des flux mondiaux flux : déplacement caractérisé par un volume, un point d'arrivé

également considérer la mondialisation comme un ensemble de flux reliant entre eux, non pas seulement des territoires, mais aussi des villes. Les villes concentrent richesse, pouvoir et innovation. Ce fonctionnement est illustré, selon le géographe Olivier Dollfus, par l'image d'un archipel : les villes fonctionnent entre elles comme autant d'îles formant comme un archipel au milieu des territoires. • Des villes mondiales Parmi ces villes, certaines occupent une place tout à fait particulière. Ce sont

oubliés. « Le monde de la globalisation est un monde de la concentration, de toutes les concentrations : la moitié de l’humanité réside sur 3 % des terres émergées, et la moitié de la richesse mondiale est produite sur 1 % des terres », explique Olivier Dollfus (4). La mondialisation a à la fois des centres d’impulsion et des périphéries, intégrées ou au contraire délaissées. Les espaces moteurs de la mondialisation appartiennent à l’« archipel métropolitain mondial », une toile de grandes mégalopoles

de la construction du niveau mondial, d'un niveau de société commun à tous les hommes. Mais, couramment, il en nomme plutôt le résultat qu'il serait plus juste d'appeler tout simplement : le Monde. On peut reprendre la formule d'un géographe, Olivier Dollfus, en 1997 : « La mondialisation, c'est l'échange généralisé entre les différentes parties de la planète, l'espace mondial étant alors l'espace de transaction de l'humanité » La «mondialisation» est un processus historique qui est le fruit

l’avantage métropolitain, c’est-à-dire sur les possibilités de synergie entre les fonctions de commandement (recherche-innovation et économie par exemple). Les métropoles les plus importantes font parties de l’Archipel Métropolitain Mondial (AMM) (Olivier Dollfus en 1994) dans lequel circule les flux économiques et humains. Cette expression montre l’importance des échanges entre les métropoles.II. Une urbanisation et une métropolisation du monde B. Le poids croissant des métropoles Parallèlement à l’urbanisation

confrontation de deux cadres théoriques avec les cas de six multinationales et identification d’éléments additionnels » .pdf Hanane BEDDI, Doctorante ATER, sd, « Quelle réalité des relations siège-filiales comme modèles en réseau ? ».pdf Olivier Dollfus, 2001, « entreprise en réseau, villes, régions, et états ».PDF Sévirine bellina et al, 2008, « la gouvernance démocratique : un nouveau paradigme pour le développement ».éd KARTHALA http://www.goodplanet.info http://www.scienceshumaines

mondiales. Ainsi, les métropoles jouent un rôle important et essentiel et sont les acteurs majeurs de la mondialisation. Les « villes-mondes » forment un Archipel Métropolitain Mondial (A.M.M). Cette notion introduite en 1996 par le géographe Olivier Dollfus désigne un ensemble de métropoles mondiales qui ont un fort pouvoir de commandement et des relations d’interdépendance entre elles. Ces métropoles sont séparées dans l’espace et présentes dans le monde entier d’où l’expression « archipel ». La

mondiale : NE des EU, Japon, Europe + formation : Californie, Main Street, Brésil, Chine. Mondiale : apparition de l’AMM, ensemble de métropoles connectées entre elles et qui constituent les centres d’impulsion de l’espace économique mondial (Olivier Dollfus). AMM : p. 134. SCHEMA → Concentration richesse dans villes : PIB Tokyo/NY = PIB Australie/Espagne (12-13ème PIB mondiaux) 2/ Les façades maritimes Les littoraux se développent : lieux échanges (3/4 échanges de marchandises) → Concentration