Oisiveté

La curée de Emile Zola (1871) L’incipitLa curée a été écrite par Émile Zola en 1871 et est le second volume de la série Les Rougons-Macquart.Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 dans la même ville. c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés dans le monde entier.Dans ce commentaire composée nous allons analyser l’incipit de l’œuvre en plusieurs parties

En principe toute personne est doté de la pleine capacité juridique mais dans certains cas des personnes sont déclarées incapables afin d’assurer leur protection. Son également protégé, les majeurs qui, par prodigalité, son intempérance ou son oisiveté (fainéantise), s’expose à tomber dans le besoin ou compromet l’exécution de ses obligations familiales. Le but de cette protection est d’éviter la mise en danger du patrimoine de la personne, de ses intérêts, de l’intérêt de la famille et dans l’intérêt

des Dieux de l’Olympe qui ne se s’ennuyait pas. Les Dieux de l’olympe avaient beaucoup de loisir, il y avait des esclaves qui accomplissaient le travail à leur place. Puis l’auteur donne l’exemple de la beauté féminine qui est heureuse dans son oisiveté, car elle ne s’ennuie pas. Elle a donc une nature praticienne, elle ne coud pas, elle ne fil pas, ne repasse pas,…Elle ne fait pas grand chose mais elle ne s’ennuie pas, elle n’a pas d’occupation

accaparé par un concurrent. L’autre idée, c’est la tournure que prennent les nouvelles technologies de nos jours. Certes, ils deviennent de plus en plus pratiques et faciles à utiliser. Mais on en vient à un point où on fait rimer ergonomie avec oisiveté et dépendance. Quelle différence entre l’utilisation d’un smartwatch pour consulter les messages que l’on reçoit de son smartphone, si ce n’est que le smartwatch dispense de l’effort de sortir son téléphone de sa poche. Ensuite, nous pouvons de moins

c'est sa chambre car sa tenue nous fait envisager qu'elle sort du lit .Elle continue de sourire tout en se brossant les cheveux gardant toujours cet air béat. Son comportement comme le temps qu'elle passe devant son miroir à s'admirer traduit son oisiveté, la pièce où elle se trouve et sa toilette, sa richesse. Après une courte coupure, nous retrouvons la femme du début et un homme en train de se faire chacun préparer ; pendant que l'un se fait maquiller et parfumer l'autre choisit sa perruque et

utilise l'adverbe « indolent ». Cela nous montre que le poète se compare à quelqu'un d’inerte, de paresseux. Tout comme dans Le Paresseux où Saint-Amant, nous montre une image d'un poète d'une paresse accablante avec les mots « paresse », « dort », « oisiveté». De plus on retrouve cette idée au vers 10 « Que je crois que les biens me viendront en dormant » et au vers 13 « à peine ai je pu me résoudre à t'écrire ces vers. » Le poète est aussi différent des autres hommes en ce qu’il est indifférent au

lexical de l'île. 2) Une vision Harmonieuse Sonnet régulier, un rythme binaire, accord parfait, état de bonheur, pas de dissonance. Allusion à la musique, vision harmonieuse de l’univers. Sorte de paradis utopique d'avant faute. 3) Innocence et oisiveté Pas de mal ni de labeur dans cet Eden. Un monde d'avant faute. Ces "habitants males :" minces et vigoureux" = ils sont nuent, "innocent», "par sa franchise ETONNE " montre que la femme est vu comme une hypocrite, une menteuse , en générale qui se

Merteuil est une femme à forte autorité mais aussi très orgueilleuse. Elle affiche un mépris par rapport aux autres femmes, elle les ridiculise, pense qu’elles sont faibles et vaguent à des occupations futile et fades. « Ces femmes actives dans leur oisivetés »,  « plus vaines que prudentes ». Elle traîne pourtant avec ces femmes vertueuses pour s’y cacher. Ainsi elle se sent supérieur de ces femmes mais aussi sur les hommes. Cependant en tant que libertine elle refuse l’idée que les hommes soit

produire davantage et qui engendrent des coûts de fonctionnement. Ainsi, l’efficience peut être définie comme le produit d’un rendement des ressources utilisées (non gaspillage) par un taux d’utilisation des ressources (non oisiveté): Efficience = non gaspillage * non oisiveté La performance oblige donc à une vision globale interdépendante de tous le paramètres internes et externes, quantitatifs et qualitatifs, techniques et humains, physiques et financiers de a gestion. 9 Cours du contrôle de gestion

logique de la loi de 1968 est tout de même patrimoniale. Le domaine de protection est intentionnellement large, il touche tout majeur qu’une altérations de ces facultés personnelles, met dans l’impossibilité de pourvoir a ces intérêts, ou qui par oisiveté, intempérance ou prodigalités compromet l’exécution de ces obligations familiales. Sont concernées des personnes qui ne sont pas forcement atteintes de trouble mental. Cette altération peut être aussi bien mentale que corporelle (justifiera l’ouverture