Obéir Aux Lois Est Ce Perdre Sa Liberté

Doit-on obéir aux lois ? Il y a quelques années, ma réponse à cette question était très indulgente : Si obéir aux lois vous fait plaisir, si vous avez l’impression que cette soumission favorise votre épanouissement personnel, il ne faut pas vous priver. Soyez respectueux des lois de votre pays. Je dois ajouter qu’en ce qui me concerne, l’obéissance aux lois ne m’apporte aucune satisfaction. Au contraire. Pour la plupart, les lois de mon pays et de ceux où j’ai résidé me paraissent arbitraires, stupides

lui, de déchiffrer l’état du monde. Pour lui, dans le monde technicien, l’homme fait désormais fond sur les produits qu’il a fabriqués, l’homme devient dépendant de la machine. Anders pose alors la question de l’enracinement et de la liberté : « Le sujet de la liberté et celui de la soumission se sont intervertit, les choses sont libres c’est l’homme qui ne l’est pas ». Anders parle alors de système d’instruments qui produisent l’homme. Nous avons alors un monde considéré comme une méga machine où

pouvoir souverain L’Etat dans une société donnée n’a pas tout le pouvoir. En droit, l’Etat n’a pas le monopole que du pouvoir ultime et de la force publique. Seul l’Etat peut prendre les décisions les + importantes (les lois) et seul l’Etat peut utiliser la force pour se faire obéir. A. La notion de souveraineté On ne peut pas parler d’Etat dès lors qu’il y a du pouvoir, car il y a du pouvoir partout au sein de la société. Par exemple il y en a dans la famille —> art. 371 du CC évoque une autorité

raison s’opposent. Chercher à rendre raison, c’est chercher à savoir ce qui fonde, ce qui justifie nos connaissances et nos actes. La raison s’exprime aussi bien dans la science que dans la morale. La raison est la faculté de fonder des lois universelles, des lois qui valent toujours et pour tous. Or la croyance n’est qu’opinion spontanée, subjective. On ne sait pas si elle est vraie ou fausse. Une opinion, c'est ce que je crois être vrai, ce dont je suis persuadé, sans être capable d'en apporter

travail n’est-il qu’une contrainte ? Faut-il parfois désobéir aux lois ? ------------------------------------------- ES : Inde – Session NORMALE 1996 L’artiste est-il nécessairement un homme de génie ? Tout peut-il avoir une valeur marchande ? ------------------------------------------- ES : La Réunion – Session normale 1996 Pourquoi le travail est-il spécifiquement humain ? Nos obligations portent-elles atteinte à notre liberté ? ------------------------------------------- ES : La Réunion

« Il n'y a point en France d'autorité supérieure à la loi » proclame l'article 6 de la Constitution française de 1971. Le légicentrisme est une expression désignant le fait que l’on se focalise sur les lois. Dans sa définition pure, le légicentrisme est la doctrine pour laquelle la loi est la seule expression de la souveraineté, disposant d'une autorité suprême dans l'ordre juridique national : elle fonde l'État légal. La loi a plusieurs sens. Elle a un sens large et un sens strict. Le premier

ministre Lionel Jospin declare : «L 'Etat ne peut pas tout » . L'Etat est une forme d'organisation politique et juridique constitué d'institution par lesquels elle exerce autorité et pouvoir au sein de frontiéres territoriales à l'intérieur de quelle ces lois s'applique sur une population . Pour Weber l'Etat va revendiquer avec succés pour son propre compte le monopole de la violence légitime . L'Etat moderne est le garant de la vie politique. Il se reconnaît comme le seul détenteur légitime de la force

fascisme se définit comme une réaction aux valeurs de l'humanisme démocratique du siècle des Lumières. Issu des frustrations engendrées par ce nouveau modèle de société, le fascisme rejette les droits de l'homme, le communisme, l'anarchisme, les libertés individuelles et le libéralisme. « Le fait est que le XIXe siècle était le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie, ceci ne signifie pas que le XXe siècle doit aussi être le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie.

enfants ou l’Entretien avec la Maréchale de***. Tous ces textes examinent, sous des formes différentes — dialogues, récits, réflexions philosophiques — la question des mœurs, des relations physiques, morales et civiles entre les sexes, la critique des lois et de la religion. Le Supplément offre en quelque sorte une synthèse de ces interrogations dans un dialogue plein d’esprit, à l’allure désinvolte et primesautière, mais en réalité très profond et sérieux, entre deux personnages, A et B. Remarquons

enfants ou l’Entretien avec la Maréchale de***. Tous ces textes examinent, sous des formes différentes — dialogues, récits, réflexions philosophiques — la question des mœurs, des relations physiques, morales et civiles entre les sexes, la critique des lois et de la religion. Le Supplément offre en quelque sorte une synthèse de ces interrogations dans un dialogue plein d’esprit, à l’allure désinvolte et primesautière, mais en réalité très profond et sérieux, entre deux personnages, A et B. Remarquons