Obligation Cambiaire Et Rapport Fondamental

DROIT DES OBLIGATIONS 12/10/09 Introduction 1) Définition du droit des obligations : Droit très ancien, traditionnel. Les romains avaient déjà définit ce droit. Droit qui repose sur des principes généraux. C'est différent du droit de commun law : droit qui est fait de cas particuliers, qui est concret. Définitions : Le droit : c'est un ensemble de règles précises qui gouvernent les membres d'une société. L'obligation : c'est un lien de droit/juridique qui nous oblige à faire quelque chose selon le

| | | |3ème Année de licence fondamentale | | | |Option : Droit

pays ; Le risque commercial Le risque de change Le risque technique (SLAMTI, 1989).L'objectif fondamental de tout dirigeant étant de maintenir la pérennité de son Établissement et de le développer, une maîtrise de ces risques et une surveillance Rigoureuse deviennent importantes. Ainsi, les banques doivent se doter d'instruments Performants leur permettant de gérer au mieux les risques. Sous ce rapport, la nécessité de renforcer l’organisation avec des normes instituées, notamment au niveau des

architectes. Il est conclu entre le maitre d’œuvre et le maitre d’ouvrage. Le maitre d’ouvrage choisit librement son maitre d’œuvre. Pour les œuvres publiques, on recourt au code des marchés publics. Ce contrat comporte des obligations et des droits pour le maitre d’œuvre. A. Les obligations du maitre d’œuvre. Il faut distinguer 3 temps : → Avant les travaux : le propriétaire d’un terrain constructible choisit un architecte qui l’accompagne du début à la fin des travaux. L’architecte commence par

ayant un conflit décident à ce moment là d’aller devant des arbitres. Le principe c’est que tlm peut le faire. (le divorce est interdit) La clause compromissoire : le fait que dans un contrat, les parties stipulent que si elles ont un conflit par rapport à ce contrat. Elles iront devant un arbitre . ça se décide à l’avance. On considère que cette clause est dangereuse car au moment où on la signe il y a aucun conflit et on est pas du tout dans l’optique d’un conflit. On accepte cette clause à la

LE DROIT COMMERCIAL61/32/20/51 INTRODUCTION GENERALE A L’ETUDE DU DROIT COMMERCIAL Définition du droit commercial : ← Le droit commercial est la branche du droit privé, qui réglemente les rapports juridiques qui naissent à l'occasion de l'exercice du commerce. Que englobe le vocable commerce ? ← Le vocable commerce englobe trois grands secteurs de l'économie : -Le commerce proprement dit: ← C'est-à-dire la distribution et la circulation des biens économiques. ← Ce

Droit des obligations : contrat : obligations entre parties : lien de droit entre 2 pers / physiques ou morales, juridiquement sanctionné la sanction est étatique, criminelle et pas que sur le plan moral... Classification des obligations : *contractuelles *extra contractuelles ( accident de circulation qui viens pas d un contrat mais qui créée des obligations) Certains obligations sont imposées par la loi ( il faut payer les impôts) 2 critères : °L objet de l obligation : ¨

avec le concours de l’autorité publique. Le droit des voies d’exécution se situe finalement en aval d’autres branches du droit. Prenons l’image d’un fleuve ; la source est la naissance de l’obligation, le fleuve lui-même est le droit des obligations et des sûretés et on a ce sur quoi cela débouche, c’est-à-dire les voies d’exécution. C’est donc le droit qui va se situer totalement à la fin du droit de la créance. Ce droit des voies d’exécution était indispensable de façon à ne pas tomber

Régime des obligations = ensemble des règles qui indiquent comment vit et meurt une obligation. L2 : naissance et sortes d’obligations (contractuelles, extracontractuelles, délictuelles, quasi contractuelles). L3 : paiement, cession de créance, prescription, il existe plusieurs parties dans l’obligation, comment s’articulent les droits des débiteurs et créanciers. Notion d’OBLIGATION : l’obligation, dans toutes les définitions, est un lien de droit entre au moins 2 personnes – obligation plurale.

remplissant la même fonction qu’une sûreté, sans pour autant répondre aux critères du concept de sûreté. Selon une conception plus pragmatique à laquelle nous adhérons, sont considérés comme des sûretés tous les procédés ayant pour effet de garantir les obligations, y compris ceux pouvant avoir, dans d’autres circonstances, une finalité différente. Cette notion fonctionnelle du concept de sûreté sous-tendra l’intégralité de notre étude. La garantie prise par un créancier en vue de faire face au risque d’insolvabilité