O Tourments Fatalité

l’équipage : Nous trouvons un champ lexical de la mort « Oh jour funeste ! », des interjections qui soulignent l’impuissance des protagonistes : « Ah ! Quel tourment je fus pour vous ! ». Il y a également des passages d’imprécations qui sollicitent la divinité :« O ciel ». Tous les mots associés au champ lexical de la tragédie se retrouvent : « tourment, fardeau, sanglant, funeste… ». Le registre lyrique se retrouve également, par exemple quand Prospéro repens à Milan avec nostalgie : « Hélas, pauvre Milan

peine a avouer ce qui ne va pas. P2 : vers 259-268 : Phèdre avoue son amour. P1+P2 phedre peine a sexprimer. Oenone doit la questionner, la pousser aa avouer. (dialogue entre les deux). P3 : vers 269-fin. : Phèdre parle de sa vie et de ses tourments, de sa lutte contre ses sentiments. Phèdre est libéreéé car elle a avoué -> flot de paroles ininterrompues, Oenone muette. Oenone : -Utilise des impératifs (parlez, cessez, oublions-les), donne des ordres a phedre. -Pose des questions a phedre

différente du précédant verbeC’est le récit d’une scène amoureuse révolue en trois actes.Présence de nombreux sentiments opposés :· « peine » (v.1)· « tristesse » (v.1)· « tourment » (v.10)· « bonheur » (v.10)· « heureux » (v.11)Cela montre la tourmente du protagoniste, renforcée par la présence d’un chiasme au vers 10 et du « ô » au vers 12 qui est une plainte.Le poème débute avec un indice temporel flou : « L’autre jour » (v.1)Présence d’éléments insaisissables tels que l’eau, et le sable :· « Sur

respecter de nombreuses règles telles que la bienséance, la vraisemblance et la règle des 3 unités. Cette tragédie met en scène un héros déchirée souvent entre passion et devoirs, et qui est souvent le jouet des dieux. C'est là le caractère de la fatalité. Quoi qu'il fasse il souffre car c'est son destin. La pièce met en scène la jeune héroïne Phèdre en proie au piège de son amour interdit pour son beau-fils Hippolyte fils de son époux Thésée roi d'Athènes. La scène soumise à notre étude est extraite

le fils de son mari. De même, ce sang est une référence à Ariane, sa sœur, abandonnée par Thésée qui représente l’amour forcément malheureux que Phèdre ressent et qui fait d’elle une héroïne tragique. Par conséquent, Phèdre est tourmentée par la fatalité divine qui pèse sur elle. On remarque une omniprésence divine dans la tirade avec le champ lexical de la divinité en général (« temple » v. 280, « autels » v. 284, «  déesse » v. 285, « adorais » v. 286). Mais le présent de l’indicatif v.306 « C’est

l’amène au terrorisme et à l’assassinat. Mais il se considère comme un justicier-assassin : son meurtre, il l’expie par le sacrifice de sa vie ( Nous acceptons d’être criminels pour que la terre se couvre enfin d’innocents » p. 71 ; « Une pensée me tourmente : ils ont fait de nous des assassins. Mais je pense en même temps que je vais mourir, et alors mon cœur s’apaise »p. 73). C’est un homme qui pense que l’idéal révolutionnaire ne peut amener à des actes déshonorants « si un jour, moi vivant, la

son époux Thésée, Hippolyte qu'il a eu de la reine des Amazones, Antiope.3)problématique : quelles parts de fatalité, de désir et de culpabilité composent cette passion amoureuse ? I – La fatalité Phèdre se présente comme la troisième victime de la haine de Vénus après sa mère, rendue amoureuse d'un taureau et sa soeur Ariane, abandonnée par Thésée. v. 249 : « Ô haine de Vénus ! Ô fatale colère ! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère ! » V. 253 : « Ariane, ma soeur, de quel amour blessée

« Je vis, je meurs... »« Heureux qui comme Ulysse... »« Mignonne, allons voir si la rose... »« Quand vous serez bien vieille... »« Je vous envoie un bouquet... »« La complainte du progrès... »RECUEILSonnetsLes RegretsLes Amours de CassandreSonnets pour HélèneSecond Livre des AmoursDATE155515581545157815551955AUTEURLouise LABEJoachim DU BELLAYPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDBoris VIANGROUPE/MOUVEMENT LITTERAIREEcole lyonnaise – Rennaisance (influencé Pétrarquisme)La Pléiade – Renaissance

dépassent, s’opposent à lui et le conduisent à sa perte, quels que soient ses efforts pour y échapper. Les efforts déployés ont souvent pour effet de précipiter la fin. La nature des forces destructrices est diverse : -forces extérieures (destin, dieux, fatalité, action des autres, concours de circonstances malheureux) ou forces intérieures (passions).Leur résultat est toujours la mort, à l’issue d’une lutte inégale et souvent désespérée. II Procédés : Le registre tragique est toujours associé à

adverbe annonçant une conséquence , une conclusion , donc peut être une fatalité , (ne peut rien faire contre le temps, en + le lecteur est directement poussé dans le poème , renforcer par l’enjambement des eux premier vers qui forment une subordonné circonstancielle. Le lecteur emporté au mm titre que le poète 2. V1/ poussé;V2/ emporté ; V4/ jeter : ces verbes désigne une aussi une certaine fatalité , le mouvement du temps , ce mouvement face auquel ils sont impuissant