O Tourments Fatalité

plus […] C'est […]" v. 305 "Pour bannir l'ennemi dont j'étais idolâtre" v. 293 ≠ • éléments qui montrent que le destin est plus fort que la volonté de la jeune femme : champs lexical du destin / fatalité "Athènes me montra" v. 272 "Vénus" v.277 "feux redoutables" v. 277 "tourments inévitables" v.278 "victimes" v.281 "remèdes impuissants" v. 283 "fatal hymen" v.300 "vaines" v.301 "cruelle destinée" v.301 "proie" v.306 "mort" v.313 "vains" v.315 → champs lexical du destin plus varié: noms

l'égoïsme et la méchanceté de l’homme. Ses poèmes, comme Le Mauvais Moine, L'Ennemi, Le Guignon montrent son aspiration à transformer la douleur en beauté. Le poète est alors tourmenté entre l’envie de trouver un monde idéal, meilleur et sa mélancolie face à sa souffrance, la cruauté du monde qui l’entoure et la fatalité. Son œuvre, les Fleur du Mal, témoigne du chaos intérieur de Baudelaire. Ce recueil a été publié le 25 juin 1857 à Paris. Ces poèmes sont répartis en 5 parties. L'édition définitive

sa raison. Le champ lexical de la folie en témoigne, avec « Un trouble » v. 8 ; « âme éperdue » v. 8 ; ma raison égarée » v. 16 Phèdre se voit affectée de troubles qu’elle repousse le plus qu’elle peut. Mais à cause de ces troubles (V.12 : « Tourments » v. 32 : « Agitées » v.20), Phèdre perd la raison et se met à avoir des visions et à imaginer Hippolyte partout, même quand il n’est pas là (« Le voyant sans cesse »). D Ce passage vers la folie fait que Phèdre, quand elle nomme Hippolyte,

pièces ont défiés le goût de son siècle, habitué aux beaux sentiments des héros cornéliens. Refusant tout optimisme accommodant, Racine veut renouer avec un lieu théâtral sobre, dénudé, où la créature humaine est livrée d'un combat inégal avec la fatalité. Cette vision est sans doute influencée par la formation janséniste de Racine. Les hommes modernes ont toujours été fascinés par la tragédie racinienne et par Phèdre en particulier. Plutôt que d'insister sur le « pêché originel » chrétien à la façon

femme qui semble avoir perdu le contrôle d’elle-même. On s’intéressera plus précisément au début de cette tirade, où Phèdre décrit le bouleversement complet qu’a constitué la rencontre avec Hippolyte, avant de se présenter comme une victime de la fatalité, incapable de sortir de son esprit et de ses pensées l’objet de son amour passionnel. a) Le récit d’un coup de foudre : un dérèglement des sens / la révélation terrifiante # Phèdre évoque la naissance de son amour pour Hippolyte comme « un mal

déceler aucune trahison de sa part. Phèdre se montre toutefois encore hésitante, elle évite les questions insistantes de sa confidente à travers des modalités interrogatives au vers 247 : « par où vais-je commencer ? » et exclamatives au vers 249-250 : « O haine de Venus ! […] l’amour jeta ma mère ! » Ces derniers prennent une envolée lyrique par le biais de l’adresse à la déesse Vénus et par les références aux amours lynchées d’Ariane aux vers 253-254 : «  Ariane ma sœur […] où vous fûtes laissée ! »

dire la vérité et avouer, non sans peine, qu’elle aime Hippolyte, invitant à reconsidérer les données de la scène d’exposition. A ce nom, Oenone se récrie et dénonce le caractère criminel de cet amour en même temps que la fatalité qui pèse sur cette famille : « O désespoir, ô crime, ô déplorable race ! ». La longue tirade de Phèdre ici étudiée constitue sa réponse en même temps que son aveu total. Elle consiste en un récit relatant la naissance et les différentes étapes de cet amour, récit pendant lequel

représentant différents conflits. o Eschyle exprime l’esprit religieux et la fierté nationale d’Athènes en mettent en scène héros ou dieux. o Sophocle humanise les personnages de la tragédie toujours soumis à la volonté du destin. o Euripide met l’accent dur les tourments de la passion. • Le Romain Sénèque adaptera en latin des tragédies grecques comme la Médée d’Euripide. 2. Qu’est-ce qu’une situation tragique ? • La situation tragique naît de la présence de la fatalité, force supérieure qui pèse

ses souffrances et tout ce qu’elle a fait pour échapper à cette passion, en vain. Nous nous demanderons en quoi cette tirade montre le poids d’un amour fatal. Pour répondre à cette question, nous expliquerons, dans un premier temps, comment les tourments de l’amour se sont manifestés chez Phèdre, puis dans un deuxième temps, nous montrerons que tous les efforts qu’elle a déployés pour échapper à cette passion fatale se sont soldés par des échecs. Phèdre manifeste des troubles physiques et moraux

Devoir 3B (15 %) Consignes 1. Ce troisième devoir porte sur les poèmes Cage d’oiseau, de Saint-Denys Garneau, et Ô tourments, d’Alain Grandbois, que vous trouverez dans le présent document. 2. Pour bien répondre à la question de dissertation critique, définissez correctement les termes du libellé. 3. Vous devez planifier votre argumentation dans un plan dialectique que nous vous suggérons de remettre avec votre devoir. Ce type de plan nécessite que vous présentiez d’abord les deux points