O Strophe Du Poète

Dans la première strophe, le poète commence avec une double déclaration d’amour très surprenant car il déclare l’amour à un animal et à un végétal sur le même plan :« J’aime l ’araignée et j’aime l’ortie ».Au vers deux il nous donne la raison de cet amour : « Parce qu’on les hait », cet amour c’est une paradoxe, il aime dans le rejet des autres. Ce n’est donc pas pour leur qualité que le poète aime l’araignée et l’ortie, mais pour leur statut de

INTRODUCTION : Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français. Il est l'une des plus grandes figures du romantisme en France. En octobre 1816, il rencontre Julie Charles à Aix-les-Bains et vit avec elle un amour tragique puisque Julie meurt en décembre 1817. Il écrit alors les poèmes des Méditations dont le recueil

Si je mourais la bas de Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Un bel obus sur le front de l’armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l’espace Couvrirait de mon sang le monde out entier La mer les monts les vals et l’étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Comme font les fruits d’or autour de Baratier Souvenir

I. Première strophe. • Dédoublement du poète qui fait de sa douleur une entité à part entière, personnifiée par : - la majuscule : Douleur - la relation étroite qu’il entretient avec sa douleur :Ô, tu... La progression ascendante du rythme renforce l’idée d’impatience flagrante de la Douleur. • Promesse d’un apaisement se traduisant par des vers ternaires, plus équilibrés et qui confèrent aux vers un certain équilibre. • On se trouve dans un paysage urbain cher à Baudelaire

"Si je mourais là-bas…" Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Un bel obus sur le front de l’armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l’espace Couvrirait de mon sang le monde out entier La mer les monts les vals et l’étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Comme font les fruits d’or autour de Baratier

pieu, la rime – exemple : chloroforme. – Chaque vers est un fil et la rime un jalon. – Télégramme sacré – 20 mots – Vite à mon aide… (Sonnet – c’est un sonnet –) ô Muse d’Archimède ! – La preuve d’un sonnet est par l’addition. – Je pose 4 et 4 = 8 ! Alors je procède, En posant 3 et 3 ! – Tenons Pégase raide. "Ô lyre ! ô délire ! ô… – Sonnet – Attention." (Tristan Corbière, "Avec la manière de s’en servir, Les Amours jaunes, 1873) Origine et évolution du sonnet. Le sonnet, qui prend sa source

fatalité inscrite dans la vie.] C’est un poème de quatre strophes de six vers (sizain) composés comme suit : 2 alexandrins, 1 hexasyllabe puis 2 alexandrins et 1 hexasyllabe Les rimes suivent le schéma (aab ccb).La lecture linéaire va nous permettre de montrer comment s’exprime le doute du poète sur l’ordre du monde et la destinée des hommes.I ère et 2 ème strophe : Le douteCes deux premières strophes témoignent du tourment du poète en proie au doute sur le sens de la destinée humaine sur le caractère

I. Souvenir d’une macabre découverte (strophe 1 à 4)1. la découverte du cadavre (strophes 1 à 2)Appel du poète au souvenir commun du couple= spectacle est partagé- pp 1ère pers du plu : « nous vîmes »(v1)- présence du det possessif « mon » (v1) puisque le poète s’adresse à un, « vous » : « rappelez-vous » (v1), « vous crûtes » (v16)- apostrophe à fin du 1er vers = adresse à « mon âme »= soit le poète s’adresse à son âme (dialogue intérieur)=soit il parle à la femme aimée ce qui semble + probable

Wreven Jeudi 1er Avril, 2021Flavie 1°1COMMENTAIREOde – Valéry LARBAUD Valéry Larbaud, écrivain, poète, romancier, essayiste et traducteur français. Né le 28 août 1881 à Vichy et mort dans cette même ville le 2 février 1957. Passionné par l'écriture dès l'enfance, il rédige son premier poème à quinze ans. Par la suite il écrira Les Poésies de A.O Barnabooth en 1913, recueil composé de plusieurs poèmes, notamment Ode

permet également au poète d’établir un pacte avec le lecteur : ainsi, à travers ce poème qui illustre bien la quête poétique baudelairienne de « changer la boue en or », le lecteur est mis en présence d’un véritable programme poétique. (I – Une vision pessimiste de la condition humaine) (A – Le poète s’adresse à l’humanité en général) Dans ce premier poème de son recueil Les Fleurs du Mal, Baudelaire dresse une vision très pessimiste de la condition humaine. Avant tout, le poète s’adresse ici à