O Beaux Cheveux Du Bellay

l’allemand «Glass », employé en argot depuis 1890) ; - « gnon » : « coup » : « un gnon en pleine tronche» (page 41) ; - « se goberger » : prendre ses aises, bien se traiter : «ses baillis et les officiers de la cassette se gobergeront avec mes bons et beaux écus» (page 58) - le duc dit à l’astrologue : «tu te goberges à mes dépens» (page 149) ; le mot n’est attesté qu’en 1648 et est donc anachronique dans la bouche du duc en 1264 ; -«gourde» (page 143) : personne niaise, maladroite ; - «gratte» : «faire

Et qu’est-ce que c’est qu’un bonnet carré, messieurs? Qu’a-t-il de plus important qu’une autre coiffure ? D’ailleurs, il n’est pas de notre bail, non plus que votre Code ; jusqu’ici c’est votre justice et non la nôtre ; qui va comme il plaît à nos beaux yeux quand ils veulent s’en donner la peine, et si nous avons part à l’institution des lois, nous verrons ce que nous ferons de cette justice-là, aussi bien que du bonnet carré, qui pourrait bien devenir octogone si on nous fâche; la veuve ni l’orphelin

Les plaines n’occupent que 4 % de la superficie de l’île. La plaine de Messara au sud est la plus vaste. Les Crétois sont un peuple mêlé de Méditerranéens et de MoyenOrientaux. Ils ne sont pas très grands mais élancés et se distinguent par de longs cheveux noirs. Comme les autres insulaires de la mer Égée, ils sont à la fois marins pêcheurs et marins commerçants, servis par les meilleurs navires de la Méditerranée. Le sol crétois leur procure de l’orge, un peu de blé et surtout la vigne et l’olivier

attirées par la lumière du ciel. Le Hêtre p 9 : incipit. Question sur ce passage : en étudiant précisément la description du hêtre, vous direz quelle image Giono en donne ? (Apollon-citharède : recherche) Vocabulaire : 1 Épingle à cheveux : virage brusque et très serré. 2 Porte à faux. «  qui n’est pas à l’aplomb de son point d’appui; « dont la situation est ambiguë mal assurée. » 3 citharède : cithare : lyre munie d’une caisse de résonnance. I) Eloge du hêtre et de

la relation d'un Tavernier ou bien LES ORIGIISES 13 reportage rapide comme le récit d'un Stanley. C'est là une littérature de voyageurs professioncomme l'a justement remarqué Mais; nels. Henri de Régnier (1);, « les plus beaux livres de « voyage n'ont pas été écrits par des voyageurs « de profession »... Le nombre des voyageurs volontaires s'est accru avec la facilité chaque jour croissante des communications mondiales. Les écrivains obéissant, d'ailleurs, à des motifs que

multilinguisme CORRIGÉ : a) Réponses possibles : Qui a peur de Babel ? — Défense et illustration du multilinguisme, par référence au célèbre plaidoyer Défense et illustration de la langue française (1549) écrit par le poète français Joachim du Bellay en faveur d’une rénovation de la langue, libérée de l’imitation des Anciens. Titre d’origine : François Ost in translation (jeu de mots sur le titre du film Lost in translation de Sofia Coppola, sorti en 2004). b) Compréhension : « bien entendus

de la polémique entre Nicole et Racine, l’enfant chéri des jansénistes, considéré comme renégat du jour où il se mit à écrire pour le théâtre. Baroque et théâtralité. En 1549, l’intelligentsia française coupe net nos racines médiévales. Du Bellay et Ronsard publient Défense et illustration de la langue française, manifeste de la Pléiade dont fait partie Jodelle, auteur de la tragédie Cléopâtre captive. Dès 1570, Catherine de Médicis, estimant qu’elles « portent malheur », ne veut plus voir

dans le Haut-Oubangui (p. 31), même si ces jeunes soldats ne mangent pas toujours à leur faim et se mettent à chasser dans la brousse pour survivre. Quand Léon commence à parler des gens rencontrés, c’est d’abord en termes de race, ils sont tous «de beaux gars bien noirs… forts comme des lions » (p. 37) et on voit au passage le terme « noir » devenir ici positif d’un point de vue esthétique plus sensible et proche, alors qu’il était négatif avant, et souvent remplacé par « négro », et peut le redevenir

groupes aux personnes du pluriel (si ce n’est que –iez était, en AF, presque systématique à la P5, et que les finales –iez / -iés demeurent e courantes en moyen français) ; des désinences analogues à celles du 3 groupe aux P du singulier : désinence Ø à la P1, le passage à –s en moyen français étant imperceptible du fait de l’infixe, désinence –s à la P2, enfin désinence –t à la P3. La combinaison de la marque de groupe et de la marque de personne aboutit à une finale -is à la P2, –ist à la P3 (voir

Ce soleil dont on lui parle en classe n'a pour lui aucun rapport avec celui qu'il voit. On l'arrache à l'univers qui l'entoure, comme on arrache les petits Polynésiens à leur passé en les forçant à répéter : « Nos ancêtres les Gaulois avaient les cheveux blonds. » Ce qu'on appelle aujourd'hui instruire les masses, c'est prendre cette culture moderne, élaborée dans un milieu tellement fermé, tellement taré, tellement indifférent à la vérité, en ôter tout ce qu'elle peut encore contenir d'or pur, opération