Négociation Commerciale Banque

Societé REACTING filiale de KEMATEC PLAN I. Environnement du projet A. Présentation de l’entreprise d’accueil : REACTING B. Responsabilités de l’étudiante II. Relation de REACTING avec la Banque A. Relation de l’entreprise avec la Banque B. Relation du responsable de vente avec la banque Conclusion I. ENVIRONNEMENT DU PROJET A. Présentation de l’entreprise : REACTING 1. Vue générale sur l’entreprise Fondée en 1997, REACTING est une entreprise privée, Société marocaine spécialisée

Banque Populaire Atlantique Agence Les Sorinières 2010/2011 Actuellement en première année de BTS MUC, Management des Unités Commerciales, j’ai choisi d’effectuer mon stage en agence bancaire. Après avoir postulé dans diverses banques, j’ai rejoint le groupe de la banque populaire atlantique. Tout d’abord, je vais vous présenter un descriptif de cette unité commerciale. Ensuite, un récapitulatif des missions et activités que l’on a pu me confier dans le cadre des

Publication : Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie Rapport de fin de formation, en tant que chargé d’accueille dans une agence de la BMCI à Rabat Elaboré par : Encadré par: Mois d’Avril 2006 Remerciements Je remercie Monsieur CHIHI, Directeur de l’agence Rabat Ville Nouvelle, de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie, et toute son équipe, qui ont eu l’amabilité de m’accepter parmi eux pendant ma deuxième tournée, dans le cadre de ma formation

accompagné d’une garantie bancaire, le crédit documentaire est un engagement irrévocable, émis par une banque, à la demande de son client donneur d’ordre, de payer une somme d’argent à une échéance convenue en faveur d’un bénéficiaire dûment avisé par un intermédiaire financier contre remise des documents requis strictement conformes aux termes du crédit. Il doit être le reflet financier du contrat commercial pour fonctionner correctement. Le crédit documentaire est conseillé dans toutes les opérations lorsque

Comme tout marché il a aussi pour fonction de déterminer les prix d'échanges, c’est-à-dire le taux de change entre chaque couple de devises. Le plus grand marché au monde En avril 2013, le rapport de la BRI (Banque des Règlements Internationaux) sur l'enquête triennale des banques centrales estime le volume quotidien des échanges à près de 5 300 milliards de dollars (soit presque trois fois plus qu’en 2004 et 6 fois plus qu’en 1992). Cela en fait le marché le plus vaste et le plus liquide au

des encaissements ..........................................................55 Section II : Centralisation et concentration des décaissements ...................................58 Section III : Choix d’une banque Pivot et Spécialisation des banques ........................64 Section IV : Négociation de l’Escompte des effets à recevoir ....................................66 Section V : Aménagement des comptes bancaires .....................................................66 Section VI : Organisation

comme adjudicatrice. IV- Etude technique et commerciale des offres : 1) Vérification des offres : A la réception des offres ouvertes et visées par la commission l’acheteur procède aux vérifications suivantes : 1.1) Vérification de forme : L’acheteur vérifie que toutes les pages des offres sont visées par la commission S’assurer que les indications portées sur le PV et les documents conformes. 1.2) L’acheteur vérifie les conditions commerciales des offres : Prix unitaire Mode de paiement

l’exportateur. L’acheteur veut recevoir la marchandise en temps et en heure, exempte de tout vice. Le vendeur quant à lui veut recevoir le paiement du prix dans le délai imparti. Pour parvenir à leur fin, les deux protagonistes auront recours aux banques. Il est donc impossible de concevoir la sécurité des transactions internationales uniquement en terme de garantie pour les deux parties au contrat d’achat ou de vente internationale de marchandise. Cette garantie doit s’élargir à l’ensemble des opérateurs

PLAN DE VENTE 4 CONCRETISER Conclure et prendre congé I - CONCLURE A - ATTITUDE PSYCHOLOGIQUE : ETRE CONFIANT Le vendeur Ce que le commercial peut ressentir : peur de conclure par timidité naturelle, par crainte du refus, par manque de professionnalisme, par manque d’écoute (non repérage des signaux d’achat…) Ce que le commercial doit ressentir : N'être ni trop pressant (le client peut penser qu'il est le seul espoir du vendeur ou qu'on lui cache quelque chose). Ni trop détaché (le client peut penser

différents niveaux d’évaluation du risque.CHAPITRE II LES TECHNIQUES DE GESTION DU RISQUE La première technique de gestion du risque consiste à éclairer par l’information l’engagement, la prise de risque potentiel que représente la proposition commerciale, c’est la prévention. La seconde garantit à l’exportateur la récupération d’une partie de sa créance sous la forme d’une indemnité versée par un assureur crédit, c’est la couverture du risque. Parfois, l’exportateur externalise tout ou partie