Nécessité Du Controle De Gestion Dans Les Ong

contractuellement avec l’entreprise mais qui peuvent affecter ou être affectées par l’entreprise (les pouvoirs publiques, les associations, les ONG…). Elles n’ont pas toujours des relations volontaires avec l’entreprise. Dans le cas de L’Oréal, la théorie de Caroll s’applique de la façon suivante : PP PRIMAIRE PP SECONDAIRE Dirigeants Riverains Actionnaires ONG Salariés Générations futures Fournisseurs et sous-traitants Associations de consommateurs Consommateurs Concurrents Banques et

nous verrons ensuite, de quelles façons ces institutions favorisent les intérêts des puissances occidentales pour aboutir enfin, aux corrections possibles à apporter à leur action. I- LE F.M.I ET L’O.M.C : REALITES Nés respectivement de la nécessité de réguler le système monétaire et de favoriser les échanges commerciaux, le Fonds Monétaire International (FMI) et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) se sont dotés de structures appropriées qui les prédisposent à jouer des rôles déterminants

mis en place ? Quelles possibilités de mettre en place le dispositif dans les petites entreprises ? A noter : dans les grandes entreprises, le salaire des dirigeants n’est pas seulement une récompense pour le risque, mais également un moyen de contrôle. Décisions qui vont dans le sens des actionnaires. - l’audit : le reporting social = s’assurer que certaines normes étaient bien appliquées de manière à limiter certains risques juridiques. Est-ce que cela vaut le coup d’un point de vue économique

pas tels quels dans la réalité. De quelles entités s’agit-il ? LES ETATS. Mais l’Etat est une figure historique. Avant l’Etat, il existait d’autres entités. En 2008, il y a des Etats mais aussi des organisations intergouvernementales. EX : ONU ; ONG. De quelles interactions s’agit-il ? Elles sont extrêmement variées. EX : La guerre ; les relations pacifiques, amicales (dans amicales, on entend économiques, militaires, culturelles, idéologiques). Le système actuel dans lequel nous vivons fait

généralement à garantir l’opération de leasing. La propriété de l’actif constitue pour le bailleur une sûreté solide. o L’utilisateur final transfère généralement les risques d’obsolescence au bailleur propriétaire o L’opération de leasing ne nécessite le versement d’aucun acompte (ou peu élevé) et seule la valeur de l’équipement est financée. Celle-ci diminue normalement dans le temps. Le client a généralement la possibilité d’acheter l’équipement à sa valeur résiduelle au terme de la période

insiste donc sur - la diversité de cet espace • variations dues aux différences d’emprise du froid (les marges, le centre…) • variété des paysages (toundra, banquise…) • appartenance à des pays différents et donc gestions différentes • diversité des peuples et des occupations humaines (carte Atlas des pôles p. 19) - la pluralité des regards et les variations de territoires (« mondes ») • mer/terre puisque le froid fabrique

réalité économique et sociale du pays car un seul et unique texte ne peut pas répondre à la fois aux missions et exigences d’une association d’embellissement d’un quartier donné, d’édification d’une mosquée, de création d’une équipe de football ou d’une ONG nationale. b) l’identification de voies de recours en cas d’abus d’autorité : L’ignorance des textes par certains responsables ou plus grave la résistance à leur application, comme c’est le cas du décret exécutif n° 93-156 du 7 juillet 1993 relatif

termes de management, de division des rôles et de mécanismes de prise de décision. Tout d’abord, il nous semble qu’au cours de ce séminaire on a affirmé, de manière explicite, que le développement local est un processus dynamique et évolutif qui nécessite une mise à contribution de tous les acteurs locaux. Cette perception, qui a été partagée par l’ensemble des intervenants, implique néanmoins un principe d’importance majeure : la reconnaissance de l’autre en tant que partenaire potentiel. Mais

..................................................................... 5 4 Le comité 133 carrefour du lobbying................................................................................. 5 5 Le partenariat transatlantique : Un processus sous contrôle public-privé.......................... 6 6 Y a-t-il lobby et lobby ? ..................................................................................................... 7 6.1 Les lobbies à l’américaine..........................................

ou absence totale d’automatisation -Les lenteurs et autres blocages organisés par les agents publics pour amener l’usager à les corrompre -L’absence de contrôle, de suivi et d’évaluation systématiques 2 -La faible rémunération et l’insuffisante motivation des agents publics -Le manque de rigueur et d’objectivité dans le recrutement et la gestion du personnel avec notamment la nomination à des postes de responsabilité sans tenir compte ni du profil, ni des compétences et du mérite ; l’absence de