Nègres Blancs D

mouvement des Lumières, et tous publiés au 18ème siècle. Il s’agit du chapitre 5, Livre 5 de l’Esprit des Lois de Montesquieu (1748), du fameux chapitre intitulé « le nègre de Surinam » extrait de Candide de Voltaire (1759), de l’article « traite des nègres » écrit par Jaucourt et publié dans l’Encyclopédie (1766) et enfin d’un dialogue imaginé par l’abbé Raynal dans Histoire de deux Indes (1770). Ces quatre textes s’inscrivent dans le combat des philosophes des Lumières contre l’esclavage. Nous verrons

entre les années 30 et 60 du XXe siècle,enfin l’Indianité, dans les années 70-90, mouvement de revendication culturelle des descendants des Indiens de l’ Inde arrivés comme travailleurs sous contrat après l’abolition définitive de l’esclavage des Nègres en 1848.,Négritude et Indianité,si elles procèdent d’horizons idéologiques fort différents,elles possèdent au moins un point commun .Elles véhiculent l’idée de la racine unique,de l’ancêtre unique sans jamais l’avouer ouvertement. Négritude et Indianité

définition précise de ce qu'était le temps de lumières puis la visée de ces trois textes qui est de nous faire réfléchir sur la nature de Dieu et de l'âme humaine. Extrait de Ziméo écrit par Saint-Lambert (p.72) : «  John, ou plutôt Ziméo, car les Nègres marrons quittent d'abord ces noms européens qu'on donne aux esclaves qui arrivent dans les colonies, Ziméo était un jeune homme de vingt-deux ans : les statues d'Apollon et de l'Antinoüs n'ont pas des traits plus réguliers et de plus belles proportions

comprend le maître du nègre et répond au "nous" qui représente les esclaves qui souffrent - Culpabilité des esclavagistes des nègres - Jeu sur l'onomastique (= dénomination des personnages): reproche du traitement dégradant des esclaves et de l'atteinte à l'intégrité physique - Mutilation "spirituelle" (les nègres sont privés de leurs croyances et racines et l'homme blanc impose au nègre de l'adorer) - Ils sont exploités + les mères sont aussi victimes (elles vendent leurs enfants) - Intolérance

présenter est le premier homme noir dépu­té à Saint Dominique : Jean-Baptiste Belley. Il est probablement né le 1er juillet 1747 à Gorée, au Sénégal un haut lieu de transit de la traite des noirs, La traite des noirs désigne l'esclavagisme de nègres d'Afrique déportés aux Amériques pour des raisons économiques (1789-1815). Il a été déporté comme esclave à Saint-Dominique à 2 ans. Il demeure esclave dans sa jeunesse , Il devient marchant vers l'âge de dix-sept ans et arrive à payer son af­franchissement

Christianisme = civilisation ; paganisme sauvagerie, d'où ne pouvaient Aimé Césaire : Discours sur le colonialisme — 5 — que s'ensuivre d'abominables conséquences colonialistes et racistes, dont les victimes devaient être les Indiens, les Jaunes, les Nègres. Cela réglé, j'admets que mettre les civilisations différentes en contact les unes avec les autres est bien ; que marier des mondes différents est excellent ; qu'une civilisation, quel que soit son génie intime, à se replier sur elle-même, s'étiole

signifie effacer, supprimer la culture et le travail des écrivains « C'est à Fahrenheit 451° que les livres s'enflamment »(incipit) ou bien « les nègres n'aiment pas Little Black Sambo. Brûlons-le. La case de l'oncle Tom ne plaît pas aux Blancs. Brûlons-la. » (ligne 11). Bradbury utilise aussi un vocabulaire impropre à l'utopie tel que les mots « nègres » ou « Blancs » qui signifient le symbole d'une différence, d'une inégalité et donc du non-bonheur. Il centre son récit sur l'oubli des personnes défuntes

Voltaire I. La description de l'esclave. Le personnage est amputé « il lui manqué a ce pauvre homme la main droite et a jambe gauche [...]droite» -Ses vêtements sont guenilles «n'ayant plus que la moitié de son habit» -La position physique du nègres , ressemble plutôt a un animal qu’un humain «étendu par terre» et «j’attends mon maître» -On découvre progressivement une réalité horrible , le registre pathétique est utilisé pour suscité l'émotion chez le lecteur. -Avec le manque d'exclamation

dans le complexe du Noir, force ontologiquement dominée face à un Blanc éternellement, Être puissant et dominateur. Ainsi, cette pièce de théâtre de Joseph Ngoué se réduit à un croisement de regards de personnages blancs et noirs, et à l’expression du spectacle observé. On est frappé par la pertinence de l’emploi de la notion de regard, notion sur laquelle joue probablement le théâtre de Ngoué pour montrer qu’en même temps que le Blanc regarde, il n’échappe pas au regard de l’Autre, du Noir. On peut

message serait plus fort. Ensuite, l’ANPCC décida d’inviter plusieurs personnes importantes connues du grand public et d’avis divers (pasteurs, politiciens, noirs, blancs). Le but était qu’il y ait un débat d’organisé. La conférence fut un succès et les intervenants ont pu échanger leurs différents points de vue. Nègres et hommes blancs ont pu parler de vive voix. Plusieurs discours furent énoncés et même applaudi. Il fut regrettable de ne pas retransmettre ces discours sur les fréquences radios car