Nouveaux Essais sur l'entendement humain

| |ESQUISSE | |D’UN TABLEAU HISTORIQUE DES PROGRÈS DE L’ESPRIT HUMAIN | | | |

vigueur des débats autour du pape en est la preuve objective. Benoît XVI nous invite à « scruter les signes des temps » et à reconnaître qu’à l’origine de la plupart des crises spirituelles contemporaines se trouve un usage défectueux de la raison humaine. L’Église n’est pas sauve de ce constat. Elle a autant besoin que le monde d’approfondir aujourd’hui ce sujet. Le pape incite en effet les croyants à toujours plus et à toujours mieux se servir des lumières naturelles de la raison afin que la foi

qui peut parfois recouvrir des réalités différentes et qui est souvent employé dans un sens religieux ou théologique. cogito Ce terme signifie « je pense » en latin. Formulé par Descartes, le cogito est un terme qui désigne la conscience humaine en tant que sa caractéristique première est d’être pensante et d’être le propre d’une subjectivité. Le cogito est donc la certitude première de toute conscience et le fond sur lequel tout acte de conscience prend naissance. Descartes le formule

s’il ne repositionnait les "catégories" artistiques, les unes par rapport aux autres. D’autant que ce travail convoque l’architecture pour aborder les nouvelles créations qui emploient l’espace comme matière. Le champ élargi. Ainsi dans son essai la sculpture dans le champ élargi [2], lorsqu’elle cherche à penser la sculpture contemporaine (dont aucune des définitions jusque-là employées n’est satisfaisante), elle utilise comme élément basique, comme catégorie, pour reprendre ses termes, l’architecture

les hommes, d’ordonner l’espace public de la communauté. Le pouvoir est alors l’ensemble des règles qui aménage et organise la vie en commun des hommes dans l’espace de la cité. Partout où existent des groupes humains constitués, le pouvoir existe puisque le fonctionnement du groupe humain suppose que des décisions y soient prises. Le pouvoir est donc la puissance autorisée et efficace par laquelle des décisions légales ou légitimes sont prises au sein d’un groupe. - D’où la notion de pouvoir politique

son intérêt pour ce qu'on nommait alors la «psychoanalyse» de Sigmund Freud qu’il découvrit dans un manuel au cours de l'été 1916. Sa correspondance permet de mesurer au jour le jour le bouleversement que cela produisit en lui. Au premier plan des nouveaux horizons entrevus : l'accent mis par la psychanalyse sur la parole, par laquelle s'établit la relation entre le sujet et le médecin. Il essaya vainement de convaincre de son utilité dans la recherche poétique Valéry et Apollinaire, à qui il écrivit

Le roman :notions I) Origine du « genre » 1)Rapport à l'épopée 2)Un produit de la Renaissance 3)Généricité douteuse a)Critère thématique b)Critère compositionnel c)Critère pragmatique II) Nature du « genre » romanesque 1)Essai de typologie 2)Le roman et le récit 3)Le roman et le réalisme 4)Le personnage 5)Les lieux 6)Le temps III) Fonctions du « genre » romanesque 1)Le désir de parole 2)La fonction rituelle 3)Fonction didactique IV) Panorama

nouveau visage : oisiveté, libertinage, subversion. Dans ces nouvelles formes « a priori » de la sensibilité, la folie devient déraison et paresse, relâchement moral. Et, pour que cette intuition ne soit pas aveugle, que le concept ne soit pas vide, l’entendement rationaliste va ajuster une catégorie sociale à cette intuition morale : ce sera l’Enfermement. Foucault tente de repérer le moment oublié où s’effectue cet alignement paradigmatique entre le concept de l’internement et l’intuition d’une marginalité

son intérêt pour ce qu'on nommait alors la «psychoanalyse» de Sigmund Freud qu’il découvrit dans un manuel au cours de l'été 1916. Sa correspondance permet de mesurer au jour le jour le bouleversement que cela produisit en lui. Au premier plan des nouveaux horizons entrevus : l'accent mis par la psychanalyse sur la parole, par laquelle s'établit la relation entre le sujet et le médecin. Il essaya vainement de convaincre de son utilité dans la recherche poétique Valéry et Apollinaire, à qui il écrivit

entités ou choses qui ne permettent pas de recouvrir les besoin primaires de l'Homme. Beaucoup de savants tiennent à cette définition car ils voient là le propre du genre humain (ce qui le différencie des animaux). Cette activité donne à l'existence humaine une tonalité d'ouverture, contrairement à l'animal. L'être humain est ouvert vers l'infini, en quête de quelque chose qui n'a pas de nom. L'Art est une expression, par laquelle l'artiste recherche quelque chose qui nous dépasse. On se reconnaît