Notion D Impot Proportionnel Et D Impôt Progressif

dotées des mêmes habitus. La classe dominante parce qu’elle détient un fort capital global impose sa culture aux autres classes qui chercheront à les imiter. Cette domination se reproduit de génération en génération. Ainsi, Bourdieu remet en cause la notion d’égalité des chances (la reproduction sociale est le contraire de la mobilité sociale). Les inégalités ne sont donc pas seulement du à une différence de mérite. b. Les inégalités issues du marché sont un véritable gâchis social

légale (loi de finances). V. Sources du droit fiscal : 1) Loi – Constitution : C’est le texte fondamental de tout pays – Les traités internationaux, bilatéraux ou multilatéraux ratifiés – Codes des impôts (C.I.D, C.T.C.A, C.I.I, C.E, C .P.F, C.T) – Législation complémentaire (code des investissements, codes des douanes…) – Règlement (décret exécutif, arrêté, circulaire …) 2) Jurisprudences (décisions judiciaires

------------------------------------------------- Droit fiscal I. Définition : Impôt Prestation pécuniaire requise des personnes physiques ou morales par voie d’autorité et à titre obligatoire perçu à titre définitif et ayant le caractère d’une prestation unilatérale. L’impôt est appliqué sous forme numéraire. Tout le monde est concerné par l’import. II. Les buts de l’impôt Missions essentielles : * Collecte des fonds nécessaire à l’accomplissement des missions de l’Etat

Révolution. Ce qui est en cause est l’injustice, la mauvaise répartition fiscale entre les sujets de la monarchie. Dans ce contexte, on comprend que l’une des premières préoccupations des révolutionnaires est précisément celle de la réforme de l’impôt, des impôts. On constate ainsi que 2 des 17 articles de la DDHC du 26 août 1789 sont consacrés à la question de l’impôt. Ces deux articles sont les articles 13 et 14. L’article 13 indique que « pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration

l’impôt (absence d’immunité fiscale), selon une certaine idée de justice fiscale (notion d’impôt équitable, à l’origine proportionnel, puis devenu progressif). Le principe du consentement à l'impôt par les citoyens ou leurs représentants, affirmé dès le 17 juin 1789, sera ensuite repris dans l’article 14 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789. Il exige que les impôts soient consentis par les citoyens ou par leurs représentants, ce qui implique concrètement

français [Maurice Lauré](file:///C:wikiMaurice_Laur%25C3%25A9), alors directeur adjoint de la [Direction générale des impôts](file:///C:wikiDirection_g%25C3%25A9n%25C3%25A9rale_des_imp%25C3%25B4ts). Son idée convainc les dirigeants politiques par son efficacité : la TVA est levée sur chaque entreprise au fur et à mesure du processus de production. Auparavant, la mise en place d'un tel impôt indirect (on parlait de la Taxe sur le Chiffre d'Affaires) suscitait la méfiance car il avait été pensé seulement

par plusieurs lois. Bail emphytéotique : Bail de longue durée, pouvant atteindre 99 ans, portant sur un immeuble et conférant au preneur un droit réel susceptible d’hypothèque. Barème de l'impôt sur le revenu L'impôt sur le revenu est un impôt progressif : chaque fraction de revenu imposable est soumise à un taux d'imposition particulier, jusqu'à un taux maximal, dit taux marginal. Pour consulter le barème en vigueur pour l'année 2002, se référer à la loi de finances pour 2002. Certains types

Table des matières INTRODUCTION 3 SECTION 1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 3 1. Définition des notions et importance du langage juridique 5 2. L'interdisciplinarité des finances publiques 5 A. l'approche juridique 5 B. L'approche économique 7 C. La sociologie 7 3. Les caractéristiques des finances publiques 8 A. augmentation des volumes des budgets publics 8 B. la primauté du principe de la capacité contributive 8 C. Le recourt à la contrainte à la dissuasion ou à l'incitation. 8

La taxe sur la valeur ajoutée a été inventée par le haut fonctionnaire français Maurice Lauré, alors directeur adjoint de la Direction générale des impôts. Son idée convainc les dirigeants politiques par son efficacité : la TVA est levée sur chaque entreprise au fur et à mesure du processus de production. Auparavant, la mise en place d'un tel impôt indirect (on parlait de la Taxe sur le Chiffre d'Affaires) suscitait la méfiance car il avait été pensé seulement comme prélèvement final auprès d'un

qui s’articule en deux parties : La première partie sera consacrée à la notion de la justice sociale et ses différentes approches et conceptions. La deuxième partie mettra en évidence les différentes politiques publiques, au Maroc et ailleurs, qui contribuent à la réalisation de la justice sociale. Imane SADIQUI & Mounir ELHADDADI 3 Finances publiques comme outil de justice sociale Première partie : La notion de la justice sociale I. Tocqueville et l idéal démocratique La justice