Nombre d'or

règle d’or, par exemple, est un outil fondamental pour la création d’harmonie en composition architecturale. Les formes élémentaires de base : Les formes primaires utilisées dans la composition sont le cercle, et les formes qui s’y inscrivent à savoir, le carré ; le triangle et tous les polygones. Le nombre d’or :   Il est utilisé pour définir des proportions harmonieuses en géométrie, et a même été qu–––alifié de divine proportion, notamment pendant la Renaissance. Le nombre d’or est

Le Beau de la Mesure. Le nombre d’or serait un rapport numérique exprimant une harmonie parfaite. Dans l’Antiquité, le mathématicien ce sera Euclidele premier qui va axtraire ce rapport. Plus tard, le franciscain Luca Pacioli, ami de Léonard de Vinci (auteur du dessin dit L’Homme de Vitruve), le baptise « divine proportion ». Ce n’est qu’au xxe siècle qu’il va s’appeler le nombre d’or. Sa valeur serait de 1,618033, et il représenterait les proportions parfait de l'homme: on peut l'appliquer au corps

alors [pic]. L’aire du cercle vaut donc [pic] ce qui est supérieur à [pic]. C Rectangle d’or. Les Grecs considéraient qu’un rectangle est particulièrement bien équilibré lorsque le rapport de la largeur à la longueur est égal à celui de la longueur au demi périmètre. 1. Déterminons la longueur d’un rectangle d’or ayant une largeur unité. La règle d’or s’écrit :[pic] ou encore [pic] Si on prend une largeur unité, c’est à dire l = 1, on a [pic]

rectangle d'or ». Le groupe des Vents : à gauche du tableau et le personnage de la Grâce, à droite, occupent des « rectangles d'or » et plus précisément le long des diagonales de ceux-ci. Il est possible également de tracer deux cercles dont le diamètre correspond au côté de ces rectangles d'or. Le cercle de gauche renferme le groupe des Vents et Vénus, le cercle de droite Vénus et le personnage de la Grâce. Le Nombre d'Or apporte donc une clef à la composition de ce tableau Le «rectangle d'or » : l'histoire

III- Ses inventions : Leonard de Vinci a étudie les Mathématiques en se concentrant sur la géométrie, la proportion et la perspective appliquée dans le cadre des différents travaux et de ses œuvres artistiques. Ses carnets présentent un grand nombre d'« inventions », souvent pratiques et réalistes, notamment des pompes hydrauliques, des mécanismes à manivelle comme la machine à tailler les vis de bois, des ailettes pour les obus de mortier, un canon à vapeur , le sous-marin, plusieurs automates

terre et le ciel- figure l’homme régénéré, rayonnant comme la lumière, au milieu des ténèbres du monde profane». (1) Elle est le centre de notre réflexion de compagnon, de même que le chiffre cinq, somme du premier nombre pair et du premier nombre impair (2+3), milieu des neufs premiers nombres qui est celui du centre, de l’équilibre et de l’harmonie. Elle est aussi la représentation symbolique de la Loge puisqu’il suffit de joindre par des droites l’emplacement occupé par les cinq qui l’éclairent pour

d’un mouvement boursier (ligne bleue), puis 3 écarts type à la hausse (bandes rouges) et 3 à la baisse (bandes vertes). Les amplitudes de ces écarts type sont toujours des proportions du nombre d’or 1,618. Et l’on se rendra compte, après avoir étudié cet indicateur sur une centaine de marchés différents que ce nombre magique est bel et bien imprimé dans le cerveau de l’être humain, quelque soit sa race ou ses origines. 1. La première constatation est que tous les marchés financiers oscillent autour

qu’une suite d’entiers dans laquelle chaque nombre équivaut à la somme des deux termes précédents. Cette suite commence généralement par 0 et 1 (occasionnellement 1 et 1) et va comme suit : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, etc. Nous allons également parler de l’homme qui inventa cette suite, Leonardo Fibonacci, un mathématicien italien du 13ème siècle et de comment il est parvenu à trouver cette suite de nombres qui est fortement liée au nombre d’or. Le rôle de notre support visuel sera d’illustrer

architectes de l’époque ( paume, palme, empan, pied et coudée ) . Ces mesures suivent une progression liée à la suite de Fibonacci. Je rappelle que dans cette suite, un nombre est égal à la somme des deux précédents ( 0,1,1,2,3,5,8,13,21,34…) et que le rapport d’un élément de cette suite avec le précédent se rapproche du nombre d’or ( phi=1,618.. ) au fur et à mesure que la suite grandit ( 34/21 est plus près de phi que 8/5 ). La coudée est donc égale au pied plus l’empan. Le pied est égal à l’empan

nature ou les œuvres d’art seraient belles parce qu’elles obéissent aux règles de l’harmonie entre les sons, les couleurs ou les distances. Existence du nombre d’or 1,618 (lettre grecque phi en hommage au sculpteur grec Phidias (5ème av. J.C.) qui décora le Parthénon à Athènes. Le rapport entre la longueur et la hauteur est égal au nombre d’or de même que les rapports entre d’autres dimensions du bâtiments.. [pic] Le Parthénon, Athènes [pic] Phidias, la statue d’Athéna