Nom de scène

Commentaire d’un extrait de la scene 3 de l’acte I de Marion de Lorme de Hugo (1829) Plan : I. Une scène d’exposition classique et efficace. 1) Une écriture classique 2) La présentation de l’intrigue 3) Présentation des personnages

nouvelle, Phèdre, désespérée, met fin à ses jours en se pendant. Les nom d'Hippolyte est révélateur puisque « Ἱππόλυτος» en grec signifie «celui qui dompte les chevaux», alors qu'il mourra justement écrasé par son char; la tragédie se retrouve jusqu'aux noms des personnages. II.La représentation grecque Sophocle aurait composé une pièce sur Phèdre mais elle est aujourd'hui perdue. Euripide est l'auteur de deux pièces mettant en scène Phèdre. La première fait représenter à Athènes un Hippolyte voilé

Acte I : Scène 1: On voit Oreste se confiait à Pylade. On apprend qu'Hermione aime Pyrrhus, que ce dernier aime (et hais) la veuve d'Hector : Andromaque et qu'il élève son fils. Mais Oreste aime Hermione ! On comprend alors que Oreste avait quitté la Grèce à cause de cela, mais qu'au début de cette tragédie, il venait d'y poser les pieds à nouveau. Scène 2: Oreste essaie de dissuader Pyrrhus d'élever le fils d'Hector. Pyrrhus l'envoie vers Hermione. Scène 3: On apprend qu'en fait Pyrrhus n'aime

LECTURE SUIVIE Les précieuses ridicules Molière TEXTE N°1 : La scène d’exposition scène I Découpez en deux parties la scène d’exposition et donnez un titre à chacune d’elles. L1 à L31 : L’exposition des faits ; on apprend la cause de leur colère L30 à 52 : La mise en place d’une vengeance ; mise en place d’un stratagème Que nous apprend cette scène des événements passés ? On apprend que deux seigneurs ont rencontré deux femmes sottes : « donzelles ridicules , pecques ». Caractérisation péjorative

partage en effet des points communs avec la bande dessinée bien que le découpage des scènes y soit moins net ; ses textes ont une fonction comparable bien qu’inégale et l’on emploie beaucoup de colorations vives. Comme dans les bandes dessinées, chaque scène est centrée sur deux ou trois héros, cela montre un goût pour la simplification. Cependant l’intention artistique ne se situe pas du tout au même niveau. Les ressemblances avec le dessin animé où le film ne sont pas très concluantes : des historiens

dénouement, cette troisième et dernière scène détermine la fin fatale du héros, entraîné dans les flammes de l’Enfer. Dans ces deux textes, trois éléments retiendront notre attention : la main, le repas du mort longuement développé chez Molina, mais omis par Molière et, après le retour au réel, la réaction du valet privé de son maître. (Passer deux lignes) I. La main Dans les deux pièces, un mot et un geste sont présents sous la même forme ; ils donnent à la scène un de ses sens constants, puisqu’ils

Définition : La critique, texte de type informatif qui vise à l’objectivité doit étayer par des arguments pertinents et nuancés, un jugement sur une production théâtrale imposée. Elle traite successivement de l’auteur, de l’œuvre dramatique, de la mise en scène, des conceptions de la production et de l’interprétation des comédiens. Présentation obligatoire : La critique compte cinq paragraphes et environ 1000 mots (environ quatre pages). Le texte dactylographié à interligne double est imprimé noir sur

III Le prologue. A) Qu’est-ce qu’un prologue ? 1) Il s’agit de l’exposition, de l’introduction de la pièce. PRO= AVANT LOGUE=DISCOURS 2) Nom donné au personnage qui présente la pièce B) La situation d’énonciation (Qui parle à qui ?) 1) Qui parle ? Que désignent les pronoms « vous » et « nous » ? Le prologue s’adresse directement au public, il l’interpelle, il rompt par conséquent l’illusion théâtrale. « nous »=le prologue + les spectateurs « vous »)=les

ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. ACTE 1 : Scène 1 : Florence est en plein carnaval. La scène se passe dans un jardin où le duc Alexandre de Médicis accompagné de Lorenzo de Médicis attend avec impatience l'arrivée d'une jeune adolescente de quinze ans; une jeune fille dont Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre

Titus ne peut mettre en danger sa mission à la tête de Rome au nom de la passion qui l’unit à Bérénice. La pièce aurait pu procéder par revirements et coups de théâtre pour unir puis éloigner successivement les deux personnages. Racine choisit au contraire de supprimer tous les événements qui pourraient faire de l’ombre à l’unique action du drame : l’annonce, par Titus, du choix qu’il a fait de quitter Bérénice. Titus, à l'acte II, scène 29, après que Paulin lui a annoncé que Rome refuse qu'il épouse