Nom de scène

signalent dans le même temps la présence d'une autre tonalité, volontiers qualifiée de lyrique, poétique ou galante. A ces remarques s'en ajoutent évidemment d'innombrables autres, qui situent les attitudes héroïques tout autant dans la salle que sur la scène, que ce soit pour moquer « les chevaliers Hernaniens [...] [dont la] victoire n'a pas été moins glorieuse que celle de Don Quichotte » ou pour louer le courage de Hugo, dont le « drame va [...] opérer la dissolution prochaine des anciens partis littéraires

représentation ? Qui sont celui qui montre, celui qui regarde ? Quelle est en définitive la nature de ce regard, sa fonction, son effet ? Le théâtre entretient sans aucun doute un rapport privilégié avec le réel, qui est ce qui est représenté sur la scène. Mais cette représentation ne saurait avoir lieu sans le filtre que constitue le double regard de celui qui crée le spectacle et de celui qui y assiste. Ainsi l’art théâtral passe-t-il par une nécessaire déformation du réel, qui n’est peut-être que

Médicis qui contrôle la ville de Florence. En effet, les citoyens veulent restaurer la république à laquelle les Médicis avaient mis fin en 1512. Mais en 1530, Charles Quint (empereur du Saint-Empire germanique) envahit la ville de Florence au nom du pape Clément VII, qui appartient à la famille Médicis. En 1532, le pape rétablit donc l’autorité des Médicis : il proclame son fils, Alexandre de Médicis, duc de Florence. La république de Florence doit capituler. Le régime d’Alexandre est tyrannique

Lycée S. Allende Première STG1 BAC BLANC TEXTE A: TEXTE B: TEXTE C: (1947) TEXTE D: (1988) MARIVAUX, L'île des esclaves, scène 1 et 2 ( 1725) Jean ANOUILH, Antigone, extrait (1944) Jean-Paul SARTRE, Les Mains sales, 6ème tableau, scène 2 Bernard-Marie KOLTES, Le Retour au Désert, extrait forme de conflit (D) et met en évidence des rapports de force à la hauteur des comportements humains en question : inversion dominant/dominé (A), le conformisme (B), le meurtre politique (C), la relation au

suivante : « Georges Kaplan un personnage à part entière ? » Dans le film « la mort aux trousses » d’Alfred Hitchcock, sorti en 1958, le réalisateur met en scène une comédie d’action et d’espionnage. Cary Grant interprète M. Thornhill, publiciste mondain charmant mais sans grande personnalité .Par un concours de circonstance il prendra le nom de M. Kaplan super-agent du FBI. M. Thornhill part alors a la recherche de M. Kaplan A ce moment-là, M. Kaplan est un personnage de fiction et qui pourtant

Titre que l’on pourrait donner à cet extrait « Une scène carnavalesque entre maître et servante ». L’adjectif « carnavalesque » évoque la période du carnaval, qui permettait, le temps d’une journée, d’inverser les rapports sociaux et hiérarchiques sur un mode ridicule. En ce sens, cette scène relève complètement d’une mascarade carnavalesque, Toinette la servante jouant les raisonneuses face à son maître, mis dans une position infantilisée.Cette scène possède un côté carnavalesque car le rôle de la

Les Méditations Poétiques  En 1816, Lamartine s'est lié avec Julie Charleselle ; elle meurt l'année suivante. Lamartine l'immortalisera sous le nom d'Elvire dans ses éditations où l'on on retrouve une tonalité élégiaque, réservé aux circonstances douloureuses tels le deuil, l'amour ou le malheur On n'a plus d'alexandrin On a l'alternance avec pour chaque quatrième vers un hexamètre Ce poème est réservé à une circonstance douloureuse (deuil, amour, malheur). Le Lac Quand il écrit le lac, Julie n'est

précepteur du duc de Bourbon, le petit fils du Grand Condé, prince de sang, Grand du royaume. Il découvre alors une noblesse pleine d’orgueil, violente et cruelle. Elu à l’Académie, il prend le parti des Anciens contre les Modernes. Paru tout d’abord sans nom d’auteur en 1688, Les Caractères de Théophraste traduits du grec, avec les Caractères ou les Mœurs de ce siècle connaissent un succès immédiat . Les cinq éditions successives s’enrichissent de nombreux

Oral de Français ! Acte II, scène 2 Victor Hugo, écrivain français, il est un auteur d'une stature incomparable et inégalée.  Sa devise « Ego Hugo », qui traduit son orgueil légendaire, a inspiré à Jean Cocteau la formule suivante :  « Victor Hugo était un fou qui se prenait pour Victor Hugo ». Il n'en reste pas moins qu'à l'âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, a révolutionné le théâtre et inventé un nouveau langage poétique, et qu'à cinquante ans il a eu le courage

............................................2 SCENE PREMIERE............................................................................3 SCENE 2 ..............................................................................................7 SCENE 3 ............................................................................................14 SCENE 4 ............................................................................................18 SCENE 5 ............................................