Nike Veille Commerciale

travail sportif. • En fonction des différentes branches dominantes grâce à l’internationalisation du sport les firmes mondiales ont intégré un certain nombre de stratégies commerciales permettant de saisir des opportunités économiques et également de créer le dynamisme de la croissance de secteurs industriels. Ex : Nike, Adidas • En fonction des grandes orientations économiques. Le financement du sport jusque dans les années 1915-1920 était assuré par le pratiquant (par les ménages)

l’action des concurrents influe sur sa stratégie. Pour répondre à ces contraintes, elle doit trouver des solutions adaptées. La connaissance, l’étude et la prévision de son environnement jouent en ce sens un rôle fondamental : par des systèmes de veille concurrentielle, technologique ou juridique, l’entreprise pourra anticiper, et donc mieux s’adapter et mieux survivre. 2. Les organisations publiques 2.1 Comment atteindre les objectifs fixés par les pouvoirs publics ? A. Les politiques publiques

– Produit : Le produit ne doit plus plaire à « tout le monde » mais plaire à « chacun ». Le consommateur doit être vu en tant qu'individu et non en tant que segment. Nous passons d'un consommateur de masse à du sur-mesure de masse. Par exemple, Nike donne la possibilité aujourd'hui de créer ses propres baskets sur son site internet, c'est la personnalisation. – Prix : Il est devenu un élément indissociable au produit et doit avoir du sens car la notion d'information sur la valeur d'un produit

inédits pour tout firme qui cherche à décrocher le prix d’excellence le cheminement historique : les optiques production et vente ne sont plus de mise aujourd’hui , le marché n’accepte plus ce qu’on désire ( nous lui vendre) , aussi la pression commercial et l’agressivité d’une équipe de vente sans le moindre connaissance des besoins et des désires du consommateur n’arrivent plus à garantir la pérennité voire la survie des entreprises c’est ainsi que persister dans un environnement de plus en

industriels sont en position de force. Les délais importent peu car le marché est prêt à attendre pour être servi. La qualité n’est pas la préoccupation première. Il faut savoir ou pouvoir produire pour réussir. On « domine » le client, la fonction commerciale est inexistante. L’administration des ventes gère les files d’attente. La fonction production est privilégiée, nous sommes en économie de production. Actuellement, nous pouvons citer comme exemples la location des parasols le long des planches par

-Automobile: General Motors, Ford, Caterpillar... -Electronique, logiciel et informatique: Intel, Microsoft, Apple, IBM, Motorola... -Electricité: General Electric... -Agro-alimentaire: Coca-Cola, Pepsi, Mcdonald, Pizza hut... -Textile: Gap, Nike, Levis... En valeur, les États-Unis sont la première puissance industrielle du monde avec 1 545,4 milliards de dollars. Le secteur secondaire emploie 13,6 millions de personnes en 2005 et représente 22,8% du PIB. 81,54% des exportations américaines

l’Apple III, qui corrigeait presque tous les gros problèmes de la version initiale. Un Apple III+ sortit même en 1983. Mais les problèmes à ses débuts découragèrent les acheteurs et eurent raison de l’Apple III, qui devint le premier grand échec commercial d’Apple. Seuls 65 000 exemplaires auront finalement été vendus, alors qu’Apple comptait en vendre des millions comme l’Apple II. Les machines qui sortirent dans les années suivantes reprirent d’ailleurs le nom d’Apple II (IIe en janvier 1983, IIc

Brésil En 1904, on décide de créer une fédération internationale de football : la FIFA (Fédération Internationale de Football Association) est née. Huit ans plus tard, ce sont 21 associations qui sont affiliées à la fédération, puis 36 en 1925, 40 à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, et 73 en 1950 lors de la coupe du monde au Brésil. Cette organisation doit gérer le football professionnel moderne. En 1928, Jules Rimet, président de la FIFA, crée la première compétition internationale de football

––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– page 9 1- Objectifs commerciaux––––––––––––––––––––––––––––– page 10 a) b) c) d) L’image–––––––––––––––––––––––––––––––––––––– page 11 La notoriété–––––––––––––––––––––––––––––––––– page 11 Redondance avec la publicité––––––––––––––––––page 12 Les autres moyens––––––––––––––––––––––––––––page 12 2- Objectifs institutionnels––––––––––––––––––––––––––––– page 12 B) Les cibles––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– page 14 1- Les cibles du sponsoring commercial––––––––––––––page 14

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 III.2.C. Les enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 III.2.D. Pratique commerciale qui m’a étonné. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20 CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .