Négation du Génocide arménien

-Mutineries mai-juin 1917 C) Civils, nouvelles victimes de la guerre -Des populations rationnées (blocus all, ERSATZ) -Des civils de plus en plus menacés (cibles bombardements, plus de limite combats/civils) -Le génocide Arménien (empire ottoman, déportation, extermination) III) La mobilisation dans une guerre totale A) Une mobilisation militaire sans précédents -Une guerre mondiale (dimensions planétaires) -L’appel aux populations coloniales (dominions

effort ». C’est l’idée de la nécessité d’un retour à la tradition d’interprétation des textes. B/ La diversité culturelle 1. Le thème de l’inégalité raciale et culturelle. Histoire du racisme, Christian Delacampagne, 1999 L’Etat criminel, le génocide au XXI° siècle, Yves Ternon, 1995 Très brèves relations de la destruction des Indes, Bartolomé De Las Casas, 1542 a. Racisme ordinaire, racisme doctrinal et antisémitisme. Lorsque l’on aborde ce thème, on remarque qu’il est très courant

religieuses sanctionnées : excommunication. Il existe des règles de droit qui sont sanctionnées. Ex : règles mémorielles, lois de la mémoire, mémoire historique. Lois du Génocide non normatives : Le législateur n’a pas à dire ce qu’est l’Histoire. Loi prévoyait une sanction de ceux qui ne reconnaissait pas le Génocide. Cette loi a été invalidée. Le législateur ne dois pas choisir ce qui relève ou non de l’Histoire. Une loi qui ne prévoit pas de sanctionner n’est pas une loi. Il s’agit d’une

des individus (Répression de l’insulte publique, de la diffamation, lutte contre le racisme et le négationnisme, droit d’auteur ou copyright, …) D’autres notions comme le blasphème (tenir des propos outrageants envers le sacré/divin), le déni de génocide ou la promotion d’objets ou de méthodes incitants au suicide sont aussi répréhensibles par la loi, mais varient d’un pays à l’autre. Exemples : * Blasphème : Une religion blasphémée dans un pays où elle est majoritaire conduira plus facilement

les considérant comme parties intégrantes de la nation turque, et n’accorde le statut de minorité qu’aux communautés reconnues par le Traité de Lausanne. Seules trois minorités sont alors reconnues par le nouveau pouvoir à Ankara, il s'agit des Arméniens, des Grecs et des Juifs. Cet état de fait appelle à une double remarque. Tout d'abord, on constate alors que le critère religieux constitue un marqueur exclusif dans la reconnaissance d'un groupe en tant que minorité par la Turquie5. En effet

chaque Etat avant l’adoption par les parlements. -          Génocide. Sarkozy aurait promis au premier ministre turc Erdogan de renoncer au projet de pénaliser la négation du génocide arménien. La France a reconnu ce génocide (perpétré entre 1915 et 1917) en 2001. Le génocide aurait fait 1,5 millions de morts. Les députés français ont voté une proposition de loi qui punit d’un an de prison et 45 000 euros d’amende la négation d’un génocide reconnu par la loi. Le président turc Gül a exhorté la France

d'AlsaceLorraine ; quatre cent mille Hongrois, deux cent mille Bulgares, plus d'un million de Grecs fuyaient des pays où ils étaient en minorité pour se réfugier dans celui dont ils représentaient la nationalité titulaire ; il faut y ajouter les réfugiés arméniens de Turquie, les Russes fuyant le bolchevisme, etc. Au total, on comptait soixante millions de victimes (blessés et réfugiés compris), dont la moitié en Russie. C'était un désastre sans précédent à l'échelle du continent, même si la guerre de Trente

reporter à l'Accompagnement du programme de la série S, II. 2, qui fournit des précisions pour le cas français). La brutalisation des rapports humains invite à poser la question des liens entre la violence de la période (ainsi du massacre des Arméniens, premier génocide du siècle) et celles des totalitarismes. La Première Guerre mondiale est la matrice des révolutions en Russie. L'empire affronte au début des années 1910 une transition instable (industrialisation rapide, état d'ébullition social récurrent

les points politiques non résolus : le statut du Kosovo (dont l'indépendance vis-à-vis de la Serbie n'est pas reconnue par la Serbie ni par tous les États-membres de l'UE), le nom de la République de Macédoine (contesté par la Grèce), la négation du génocide arménien par la Turquie ou encore son occupation du nord de Chypre. Chronologie L'historique des adhésions et des retraits est le suivant : * 1957 : les six membres fondateurs :  Belgique,  France,  Italie,  Luxembourg,  Pays-Bas,  Allemagne

de liberté des cultes. Si presque 99 % de la population turque se déclare musulmane, des estimations officieuses indiquent la présence de 60 000 Arméniens chrétiens orthodoxes, 20 000 Juifs, 20 000 catholiques et 2 500 protestants. Or, les associations religieuses non islamiques ne jouissent pas du droit à la personnalité juridique. Seules les Arméniens et les Juifs sont reconnus comme minorités selon la terminologie dérivée du Traité de Lausanne de 1923. Les œuvres et les fondations religieuses