Ne Vit On En Société Que Par Nécessité

grâce, entre autres, aux échanges étudiants, mais certains ne comprennent pas les effets bénéfiques que donnent les échanges étudiants. Ces échanges permettent aux étudiants de devenir de meilleurs citoyens et ainsi, pouvoir apporter leur part à la société. L’apprentissage d’une autre langue, d’une autre culture ainsi que d’organiser et planifier son voyage sont les principaux points appris dans ces échanges. David Provencher, un étudiant universitaire de l’UQAM, a fait un échange étudiant en

extérieures. La révolution industrielle, qui débute à la même époque, provoque une formidable accélération de la mobilité des hommes. Les individus se déplacent de plus en plus et ils sont de plus en plus nombreux à le faire, souvent poussés par la nécessité. Au-delà des péripéties de l'actualité, la plupart des problèmes que pose aujourd'hui l'immigration résultent de la contradiction fondamentale qu'a provoqué cette double révolution. D'une part, avec les progrès techniques et le développement du capitalisme

l’homme peut aussi « perdre son âme » a) Avec le machinisme, le travailleur s’aliène b) La société peut augmenter les besoins artificiels et pervertir l’homme ③ À quelles conditions l’homme peut-il alors gagner son humanité sans se perdre ? a) Par le travail, l’homme accède à la conscience de lui-même b) Le travail est libérateur s’il ne répond pas seulement à des besoins vitaux, mais à une nécessité culturelle La réalité du travail semble paradoxale : à la fois recherchée et à la fois évitée

une essence propre au travail. Au-delà d’une nécessité vitale, l’homme peut se livrer à une forme d’activisme dans lequel il peut aller jusqu’à perdre son âme. Alors pourquoi travailler ? Que gagnons-nous à travailler ? À cette question qui peut sembler provocatrice, on peut d’abord répondre que par la transformation directe de la nature, ou par le biais d’un salaire, le travail semble nous donner les conditions de notre survie. Au-delà de cette nécessité vitale, le travail peut même nous permettre

mérite-t-elle d’être vécue? Aujourd’hui, les médias cherche à influence grandement la pensée des gens et à véhiculer l’idéologie de notre époque. Malheureusement, la plupart d’entre nous se contentent de ces idées véhiculées et ne pensent pas à la nécessité d’«examiner», d’où il faut se poser la question : «une vie sans examen mérite-t-elle d’être vécue?». Plus précisément, avoir un esprit critique et savoir se poser la question sont-ils nécessaires? Une personne a-t-elle besoin d’«examiner» et de

personnelle de l’homme. Pourtant le travail apparait comme le moyen de profiter des loisirs. Si le travail en tat qu’emploi peut donner à l’homme des conditions de sa survie, on s’aperçoit qu’il peut engendrer des formes d’aliénation. A part la nécéssité vitale, l’homme peyt se livrer à une forme d’activisme dans lequl il peut aller jusqu’à perdre son ame. Alors pourquoi travailler ? le travail n’a-t-il pas des limites ? nous verrons donc dans une prmière partie les différentes raisons qui nous

obstacles, la liberté n'a-t-elle pas de limites ? La liberté c'est l'harmonie à l' « état de nature » : d'après Rousseau l'état nature serait un modèle théorique, obtenu par abstraction, de l'homme tel qu'il serait s'il ne devait rien à la vie en société. La liberté naturelle est une liberté d'indépendance (autarcie) qui consiste à faire tout ce qui est nécessaire pour assurer sa propre conservation. Le naturel en l'homme n'est pas cependant une abstraction mais ce que chacun doit à sa nature avant

un instrument autrefois utilisé. Avant d'être pensé comme pure nécessité pour l'homme, le travail semble être ressenti comme une peine, une punition. Il évoque d'abord l'idée d'une activité pénible, à laquelle l'humanité semble devoir se résigner. A travers son texte « Réflexion sur l'éducation », Emmanuel KANT, philosophe allemand du XVIII ème siècle possède une tout autre vision du travail. En effet, il s'agit pour lui d'une nécessité pour l'homme, pour sa conservation et même pour son bonheur; d'autre

serait présente antérieurement au travail, ou en son absence. En revanche, les conditions sociales d’organisation du travail le transforment fréquemment en facteur de déshumanisation, ce qui n’empêche pas le chômeur de souffrir de son rejet hors de la société. Plan proposé Introduction I – Peut-il exister une humanité antérieure au travail ? II – Qu’est-ce que le travail d’un point de vue philosophique ? III – Le travail rend-il plus ou moins humain ? Conclusion UTILISER SES CONNAISSANCES • Rousseau

Au contraire, ce qui est digne de l’homme, c’est d’avoir un comportement toujours en conformité avec la raison. Cet idéal était, dès l’antiquité, l’idéal auquel tendait le sage. La figure du sage désigne celui qui a su maîtriser ses passions, qui vit avec modération, loin de tout emportement passionnel. Mais les passions humaines excluent-elles vraiment toute conscience ? N’est-il pas précipité de les juger comme toujours mauvaises et de les opposer à la raison ? * Le raisonnement d’Alain