Ne Pas Représenter La Mort Sur Scene

Lazhar (Mohammed Fellag) venant d’Algérie qui commence à enseigner à une école primaire à Montréal après une enseignante, Martine, s’est tuée dans sa salle de classe. Il essaye de se familiariser aves les élèves pendant qu’ils essayent de surmonter la mort de l’ancienne enseignante. Il y a Alice (Sophie Nélisse), une élève favorite de Lazhar qui écrit une rédaction sur le suicide, et Simon (Émilien Néron), un élève désobéissant qui apporte toujours avec lui une photo de cette enseignante sur laquelle

réduit, le dramaturge a besoin d’inventer une solution non- verbale afin d’extérioriser les non-dits. Il faut tenir compte d’une partie d’une scène qui n’est pas faite des mots mais du langage de la scène et du langage du corps. Le théâtre dépasse la simple parole, il sort du domaine de l’articulation des mots, et met en relief tous les détails ainsi que la scène, les gestes, les mouvements, les changements et même la lumière. Le langage scénique vient s’ajouter au langage présent et fait voir tout

gigantesque tableau sur le thème de la guerre et de la mort. Guernica s’agit d’un dessin figuratif, mais qui ne cherche pas la ressemblance. Picasso représente simultanément plusieurs points de vue : on voit un visage de profil, mais les yeux sont de face. Les éléments sont structurés par une forme triangulaire principale, au premier plan, qui définit un espace relativement clair, tandis que l’arrière-plan est nettement plus sombre. Picasso représente les bombardements de Guernica au moyen de la forme

 La mort de Marat Par David J-L David, La mort de Marat, 1793, Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts, 165 X 128 Jacques Louis David a peint de nombreuses œuvres dont La mort de Marat (ou Marat assassiné). Cette œuvre est conservée aux musées Royaux des Beaux-Arts de Bruxelles. Cette peinture date de 1793 et mesure 165cm par 128cm. C’est précisément une huile sur toile. Sur cette toile David représente Jean-Paul Marat assassiné dans son bain le 13 juillet 1793. Pour commenter cette

« La Guerre » Otto DIX I-Introduction 1) Identification Artiste :Otto Dix est né à Untermhaus près de Gera le 2 décembre 1891 et est mort à Singen en 1969. C’est un peintre allemand « objectif » et « expressionniste ». Il faisait parti de l'artillerie lors de la première Guerre Mondial. Il fut une figure centrale du courant artistique de la Nouvelle Objectivité qui s’attacha à porter un regard réaliste, souvent acerbe, sur la société de l’entre-deux-guerres en proie à un profond

d’intensité dramatique. Metteur en scène (n. f.) : il dirige la mise en scène, en respectant ou en s’éloignant du texte et des intentions initiales de l’auteur. Il prend souvent un parti-pris artistique, symbolique, voire idéologique. On parle ainsi parfois de réécriture scénique. Toutefois, il peut être à la fois auteur et metteur en scène comme Molière qui mettait en scène les pièces qu’il avait écrites. Mise en scène (n. f.) : art de faire représenter une pièce de théâtre par des comédiens

MISE EN SCENE DE BLUWAL - 1965 Le Dom Juan de Marcel Bluwal (1965) apparaît comme la première oeuvre spécifiquement télévisuelle. Sa conception de la pièce Marcel Bluwal met en scène l’histoire d’un homme suicidaire : Dom Juan a choisi de mourir, et la pièce de Molière nous montre comment se passent les dernières heures de sa vie. Cette attitude ne correspond pas néanmoins à un acte désespéré ; le libertin a toujours pris des risques mortels : sous Louis XIV, certains actes de libertinage

peintre Allemand du 20ème siècle, né en 1891 et mort en 1969. Il se porta volontaire dans l’artillerie allemande en 1914 durant la guerre. L’année suivante il reçut une formation de mitrailleur et participa à de nombreuses batailles telles que la Somme et en Russie où il en sortit vivant en 1918. Suite à cette guerre et à ses nombreux combats il décida de partager ses sentiments dans des peintures comme Les joueurs de Skat (cartes) en 1920 qui représente les gueules cassés de cette guerre jouant aux

paradoxe ; à la simplicité, le baroque oppose la complexité. En règle générale, la littérature baroque est marquée par une forte implication de la mort et du jeu de l’illusion. Comme dans les vanités en peinture, la mort est utilisée comme métaphore du temps qui passe, de l’irrémédiable, et de l’éphémère. Contrairement au romantisme, la mort ne représente pas une souffrance morale, mais plutôt une évidence métaphysique. L’illusion est aussi caractéristique du baroque qui se présente, étymologiquement

l’objet d’étude qui correspond à la mort et à sa représentation au théâtre. Il s’agit de la scène 7 du deuxième acte de Les mouches écrite par JP Sartre en 1943 et d’un extrait d’Agamemnon d’Eschyle datant de 458 avant J.-C. Ces deux scènes sont toutes deux inspirées des mythes antiques des Atrides et représentent une scène meurtrière. Nous nous demanderont dans un premier temps quels sont les points communs entre les deux scènes puis comment le crime commis hors scène communique sa part de terreur