Ne Désirons Nous Que Ce Dont Nous Avons Besoins

dans le « Banquet », celui qui désire une chose désire une chose qui lui manque et ne désire pas ce qui ne lui manque pas. Ainsi le bonheur est la satisfaction de tous nos désirs. Or si le désir est une manque comme l'affirme Diotime, et si nous désirons le bonheur, c'est qu'il nous manque. Alors l'Homme n’appellerait « bonheur » que l'objet manquant justement a son bonheur. Plus généralement le bonheur se définit comme étant État de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du cœur et de

retrouve aussi naturellement mise en doute par des situations ou nous nous rendons compte que ce que nous voulions, ce n'est pas nous qui le voulions ; l'exemple le plus commun, est celui de l'amour, nous ne disons jamais que nous avons choisi celui dont nous tombons amoureux, l'amour est quelque chose qui apparaît en nous sans prévenir, un désir qui vient de l'intérieur de nous-mêmes. Il serait faux de dire que tous les hommes se pensent toujours libres. Nous avons naturellement l'intuition avec

d’Emile ou de l’éducation, traite de nos désirs ainsi que de nos facultés. D’après lui, notre insatisfaction des désirs résulte de la disproportion entre ceux-ci et le pouvoir de nos facultés. En effet, nous ressentons notre faiblesse chaque fois qu’un besoin ou un désir dépasse la puissance de nos facultés propres : celui qui pourrait se suffire à lui-même ne connaîtrait donc jamais sa faiblesse car il ne la ressentirait pas. Il faut dès lors tendre vers une « égalité parfaite » entre la volonté et la

fondamentalement irrationnel. Il n’y a pas d’explication rationnelle au désir de tel ou tel objet. Comment contrôler l’incontrôlable ? Puisque le désir n’est pas rationnel, et qu’il est le plus souvent ce qui nous amène à déraisonner. Distinction désir/besoin. On désir souvent ce que l’autre désir (à développer). Contingence de nos désirs. Le désir ne dépend pas de nous car il est conditionné par notre milieu socio-culturel. Freud : le désir ne dépend pas de nous car il est inconscient (cf Cours). Mais

corrompus par l'opinion, comme la peur de la mort et la crainte des dieux. Ainsi, c'est parce qu'il craint de sombrer dans l'oubli après sa mort que le sot cherche à se faire un nom, sacrifiant les plaisirs simples du présent à une postérité hypothétique dont il ne sera par définition jamais le témoin. Car le propre des désirs non naturels et non nécessaires, c'est d'être ouverts à ce qu'il faut bien nommer la spirale de l'illimité : celui qui a soif d'honneur n'en aura jamais assez, tout comme celui qui

comme un "appétit avec conscience de lui-même", autrement dit le désir est comme une soif de quelque chose et cette soif est consciente d’elle-même. On désirs une chose et nous somme conscient de la désirer, car nous nous rendons compte que nous désirons cette chose plus qu’au monde. Le terme d’appétit qu’utile Spinoza peut sous entendre aussi que cette faim de désirs est comme la faim d’un homme, quand l’homme à faim il assouvit cette faim et il mange, pendant un moment il n’a plus faim, mais au

desquelles il se pose parfois en arbitre pour le présent et pour le futur (voir par exemple les articles 339, 357 ou 374 du traité de Versailles). Ce souci de ménager l'Allemagne provoquera des tensions avec la Belgique, l'Italie et surtout la France, dont il écarte les revendications territoriales et les exigences de garanties militaires. Avec le soutien de Lloyd George, il propose, en échange, à Clemenceau (lettre du 6 mai 1919), un pacte tripartite contre une éventuelle agression allemande, que le

d'honneur sur notre grande et puissante mère nature», à l'opposé Descartes déclarait « La technique nous rend comme maîtres et possesseurs de la nature », ici, nous tiendront compte de ces deux opinions en nous demandant si notre bonheur passe par les besoins que nous apporte la technologie ou au contraire par une dénégation de celle ci, et donc, d'un rapprochement avec la nature ? Pour traiter cette interrogation nous verrons en quel mesure la technique nous avantage t-elle mais aussi quel sont ses limites

Dissertation de philosophie N°2: A-t-on besoins d'apprendre à être libre? La liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement sans contrainte, sans soumissions de servitude servis par d'autres personnes ni de pouvoir tyrannique ou de puissance étrangère. Elle s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration . Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Dans son sens originel le mot liberté était assez proche de celui actuel car l'homme libre

manque, ou bien faut-il concevoir le désir non plus de manière négative, mais comme une force en mouvement ? C'est vrai dans le cas des besoins: si une personne n’a pas ce dont elle a besoin, on peut dire qu’il lui manque quelque chose (pour survivre, ou pour pouvoir bien se développer). Est-ce vrai dans le cas d'une simple envie? Quand on n'a pas ce dont on a envie, il ne semble pas que l'on ressente un manque. Mais l'envie ne provient-elle pas d'un manque par comparaison (comparaison avec les