Ne Désirons Nous Que Ce Dont Nous Avons Besoins

contrôler Source : Gaëtan Morin Éditeur L’entreprise Vision globale et mondialisation, 3e édition P, comme processus Où sommes-nous et où allons-nous? (Analyse de la situation) Où voulons-nous aller? (Détermination des objectifs) Quels efforts désirons-nous y mettre? (Affectation des ressources humaines) Comment voulons-nous y aller? (Composition commerciale) Comment procéder? (Mise en œuvre) Source : Processus de gestion marketing, - François Colbert P, comme processus Où sommes-nous et

que c’est parce que nous avons à travailler avec des gens dans le besoin. Il est vrai par contre que ces responsabilités asymétriques nous apportent un lot de responsabilités différentes. Nous avons des devoirs et des obligations face à la société en tant que travailleurs dans les services publics. Mais faut-il les voir comme une sorte de dévouement pour cette société? Sommes-nous tous des « Mère Thérésa » pour les gens dans le besoin? Jonas et Souryal ont chacun leur version et il sera intéressant

me donne l'énergie de travailler à me perfectionner, à moins que ce ne soit la crainte d'être battu par eux. Elles sont motrices parce que leur satisfaction est la finalité de notre pensée : « nous ne cherchons à connaître que parce que nous désirons de jouir » (l.3-4). Tout effort de connaissance vise un gain, un plaisir. Toute recherche de savoir réalise un désir ou soulage une crainte Cela est nécessaire. Et Rousseau le prouve par l'absurde. Raisonner sans être motivé par un désir ou une

qu'il faut combler. Il créé une tendance vers quelque chose. D'après Épicure, philosophe de la Grèce Antique, les désirs se hiérarchisent. Dans la vie de tous les jours, nous possédons des désirs nécessaires à notre bien être comme le confort, les besoins naturels, l'amitié. Mais en contre partie, tous les désirs que l'on pense être nécessaire (ce qui ne peut pas ne pas être), se révèle non nécessaire tel que avoir un nouveau jouet parmi tant d'autre pour l'enfant, ou une nouvelle voiture pour un adulte

Le désir naît du manque ; Nous désirons sans cesse ce que nous n’avons pas, et aussi ce que nous ne pouvons pas avoir. L’homme est partant un être de désir en tant qu’il ressent le manque et le besoin. Se demander si être heureux c’est accomplir tous ses désirs, revient à se demander si le désir, qui est l’essence de l’homme, créer aussi son bonheur. Dans quelle mesure l’accomplissement de tous ses désirs peut-il rendre l’homme heureux? Le désir, qui naît du manque, n’est-il pas plutôt source de

supposée est toujours un manque, càd la marque d'une incomplétude en l'homme. Ce manque ne peut être comblé que par une réalité extérieure au sujet ; par conséquent, le désir instaure une dépendance par rapport au monde extérieur. Cependant si nous désirons toujours ce qui nous fait défaut, ou ce que nous ne possédons pas, il reste à savoir si l' « objet » convoité est nécessairement la cause du désir que nous éprouvons pour lui : qu'une chose nous paraisse désirable ne constitue pas la preuve que la

manque de rien et ne saurait désirer. Quant à l'animal, il ne désire pas mais reste cantonné à la sphère du besoin. Le désir n'est pas le besoin. Le besoin est vital et ne pas le satisfaire conduit à la mort. Le désir, lui, n'a rien de vital. L'animal, parce qu'il répond à ses instincts, parce qu'il est le produit d'une adaptation, vise à satisfaire ses propres besoins qui sont les besoins de l'espèce. Seul l'homme est mu par le désir. Or, justement, le désir n'est pas seulement corporel (le corps

sensible qu'à l'intelligible? Pourtant le désir en tant que recherche du bien entretient une forte relation au savoir, c'est il pas une construction de l'avenir de l'homme, et inversement, le savoir ne construit, ordonne, hiérarchise-t-il pas le désir dont la fin essentielle, qui permet son assouvissement ne serait elle pas le savoir? * Mais le désir obscurcit-il la raison ? Suis je réellement conscient de l’objet de mon désir ? * I) L'homme a par nature le désir de connaître. a) Le désir

comment parvient-on à ces décisions ? Autrement dit, comment parvient-on à choisir pour qui l’on va voter ? Pour répondre à cette question, il y a un arrière-plan qu’il ne faut pas négliger : la formation de l’opinion durant la période électorale dont les circonstances permettent d’expliquer l’irrationalité du vote. En effet, les citoyens reçoivent les informations et sont exposés à la pression de ceux qui « font » l’opinion durant la période électorale (les journalistes et les médias par exemple)

communiquer d’égal à égal, avec réciprocité : l’échange des idées, des sentiments. Or, s'il y a un ou des intérêts à échanger, c'est qu’on suppose qu’on peut en tirer profit. On peut donc échanger dans le but de gagner, c'est-à-dire s'accorder ce dont on est privé. Mais si échanger, c'est gagner, que gagne-t-on à échanger ? De quel gain s'agit-il ? Il peut s'agir d'un gain matériel, comme d'un gain immatériel aussi. Doit-on dire pour autant que tout échange mène au gain ? N'y a-t-il pas un risque