N Est En Heureux Qu En Imagination

car cela serait source de malheur. L'Homme ne se distingue-t-il pas de l'animal de par son intelligence ? N'a-t-il pas en plus d'un instinct naturel ou de survie, cette capacité à choisir ce qui est bien ou mal, et surtout ce qui peut le rendre heureux ? De fait, l'Homme dispose d'une conscience qui lui permet d'avoir connaissance de lui et des autres, qui lui permet de choisir en connaissance de cause. La conscience permet à l'Homme de se représenter aussi bien le monde que lui-même. Être conscient

Tout le monde dit rechercher le Bonheur, si nous demandons à la plupart des personnes ce à quoi elles aspirent dans la vie beaucoup donneront un réponse assez simple : être heureux. Mais qu'est que le bonheur réellement ? Le Bonheur existe t'il vraiment ou bien est est-ce simplement un mirage de notre imagination ? Peut on vraiment atteindre le bonheur ou bien reste t'il inaccessible ? Mais surtout le bonheur est-il une fin ou bien un moyen ? Le Bonheur n'est il qu'un idéal ? Dans un premier

l’imagination est la clef d’une vie heureuse, voire plus même : que l’on ne serait jamais heureux, qu’en imagination. Tout homme est-il heureux comme il le souhaiterait ? Certainement pas, pour cela il faudrait que tous ses désirs soient contentés aussi irréalisables qu’ils soient et seul l’imagination en est capable car elle n’a pas lieu dans le réel même si elle en donne l’illusion. Joseph Droz : essai sur l’art d’être heureux 1806 « Ils ont des idées étranges, ces prétendus sages qui voient, dans les secours

Faut-il désirer pour être heureux ? “Faut-il” désigne une obligation sous sa forme interrogative, quelque chose de nécessaire en fonction de certaines raisons. Le désir, à l’inverse d’un besoin, est un souhait, un appétit irrationnel et insatiable à posséder un bien ou une personne. Le désir se renouvelant sans cesse, il est considéré comme étant une souffrance. Nous ne pouvons jamais le satisfaire. “être heureux” est un état de satisfaction complet, stable et durable. Ainsi, nous ne voyons pas

à l’imagination ? » ou, autrement dit, doit-on se méfier de l’imagination ? A première vue laisser courir l’imagination ne peut-être que profitable à l’individu, en entrant dans un monde qu’il s’est lui-même crée. Mais nous verrons que cette imagination nécessite une certaine méfiance. Enfin nous nous demanderons si, en fait, nous sommes vraiment libres de penser. I/ Il faut laisser courir l’imagination A / L’imagination est le remède à l’ennui Lâcher la bride à l’imagination peut apparaître

s’agit semble-t-il de la capacité que nous avons de nous représenter quelque chose même en son absence; c’est en quelque sorte la capacité de représentation ou de figuration. Cette capacité dc représentation soumet ce que l’on se représente à notre imagination qui va se charger, quant à elle, de mettre en images ce que l’on désire. Ainsi on comprend que cette force venue du ciel, autrement dit cette capacité de représentation ou de figuration, va rendre « sensible » (L. 6) ce que l’on désire c’est-à-dire

peuvent être désastreuses dans la vie de la personne qui est directement concerné mais aussi par son entourage de celle-ci. La libération des désirs mène t-elle au bonheur ? Ou au contraire fait de nous des êtres immoraux et dans ce cas comment être heureux ? Faut-il libérer les désirs ou se libérer des désirs ? Dans un premier tant nous analyserons le fait qu’il faut libérer les désirs. Ensuite, nous analyserons le fait qu’il se libérer des désirs. Enfin nous tacherons de répondre à la question

en nous détachant du monde réel, et donc de toute rationalité. La raison, comme l’imagination, sont donc le propre de l’Homme. Elles sont essentielles à l’Homme du fait de leur condition humaine, ne pouvant se détacher et vivre sans raison ni imagination. Cependant, leur usage reste accidentel, puisque l’Homme reste soumis à ses émotions et passions. Pascal va plus loin en montrant l’attirance de l’Homme pour l’imagination, par la satisfaction qu’elle procure. Ce bonheur est plus grand que celui

plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie

BOTTERO Anouk TL 712 PHILOSOPHIE - DISSERTATION Qu’attendons-nous pour être heureux ? (note: 16/20) Nous ne sommes pas heureux. Du moins, c’est ce que nous soupirons assez souvent en notre for intérieur. Il y a tant de choses que nous désirons et qui pourraient nous rendre heureux… Nous avons tous sensiblement les mêmes; que ce soit du désir le plus « superficiel » (la richesse) au plus raisonnable (une bonne santé par exemple). Mais malgré tout cela, nous sommes toujours en train