Métaphore Océan Mer

« s’opposait à mon avancé » -> Métaphore : « les cymbales du soleil » « le glaive éclatant jaillit » -> réverbération sur le couteau => Le soleil est comparé à une arme b. La lumière -> « Éclatement rouge » « la lumière a giclé » « pleuvoir du feu » « ombre sur son visage » « épée de lumière » « longue lame étincelante » => Meursault se sent menacé -> « la sueur amassée […] d’un voile épais » -> aveugle, confusion de perceptions c. La mer -> Personnification de la mer « océan de métal bouillant »

Au-delà du drame amoureux, le spectacle des ruines de Brest, transformé en paysage de cauchemar, désespère le poète. En effet, la guerre cesse mais elle laisse des stigmates dans le cœur des hommes.  Ce désespoir s’exprime par une métaphore et une comparaison. La métaphore se situe au vers 50 et n’est pas originale pour désigner la violence et le malheur (l’orage) car elle s’applique à la pluie. La comparaison est celle des nuages avec des chiens : on note le terme « crever » (= s’ouvrir en s’éclatant)

pour l’exprimer : langue à forger, à créer, à retrouver ? L’imaginaire littéraire est en effet structuré par l’espace insulaire lui-même, à la fois clos et ouvert à tous les voyages, entre totalité autonome et réalité en mosaïque ou, pour filer la métaphore, en archipel. Les écrivains insulaires francophones de l’Océan Indien sont donc partagés entre un désir d’autochtonie et la nécessité, pour se forger une identité cohérente, de se concevoir comme morcelés, et fondamentalement autres. C’est, semble-t-il

Bulletin of the Board of Celtic Studies 30 (1983): 274-277 [on medieval metaphor of earth as paper, ocean as ink]. Brown, Alan. "Bede, a Hisperic Etymology, and Early Sea Poetry." Mediaeval Studies 37 (1975): 419-432. Buti, GianGabriella. "Itinerari antichi nella evocazione della nave." Istituto Universitario Orientale. Annali. Filologia germanica 25 (1982): 101-123. Carolus-Barre, Louis. "'Aventure de mer' et naufrages en Méditerranée au mileu du XIIIe siècle." Comptes-rendus de l'academie des inscriptions

nouvelles et leur dépeint un pays extraordinaire, la Bétique. Le fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein. Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d’Hercule1 et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis2 d’avec la grande Afrique. Ce pays semble avoir conservé les délices de l’âge d’or. Les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons3 n’y soufflent

humaine (l.19) « nous et nos confrères » Cette bienveillance dissimule une ironie féroce -les propos du narrateur remettent en questions la grandeur humaine ex (l.17) → présent l’Homme comme un animal si près du sol qu’il a l’air de ramper - métaphore de la taupinière (l.13) confirme la dévalorisation ironique car il dit que comme les taupes (myope), l’Homme à un champs de vision très réduit avec beaucoup de choses hors de la portée de sa connaissance - « nous et nos confrères habitants de ce

montrent que Robinson se comporte comme une bête. 3. Que risque-t-il de perdre s’il continue à mener cette vie ? Vendredi ou la vie sauvage / Michel Tournier 8 Fiche 4 Robinson naufragé sur une île déserte IV – Il tourna le dos à la mer… 1. Quelle est la solution de Robinson pour échapper aux dangers du désespoir ? Retrouvez page 40 les trois remèdes contre la tentation de la souille. 2. Que cherche-t-il à recréer sur l’île sauvage ? 3. Relisez attentivement les chapitres 7

8 1. 2. Des paysages littérairement et culturellement construits 9 1. 2. 1. Poétique de l'eau 9 1. 2. 1. 1. La mer et l'océan 9 Le Tombeau de Virgile 12 1. 2. 1. 2. L’eau douce

s’isole elle-même du groupe des femmes et ne déploie aucun effort en vue de nouer des liens avec elles et au lieu de se défendre elle –même contre leurs attaques verbales, elle ne le fait pas et «laissa les langues aller leur train» (l.52). Cette métaphore traduit l’insouciance de Blanche envers le groupe et son rejet par ce dernier. L’abstention de prononcer un mot peut être par insouciance ou par mépris et cela parait dans cette phrase emphatique «Sans échapper elle-même une parole» (l.53). En plus

puis dans d'autres pays d'Amérique latine. 30) Mall : Le Mall of America est le plus grand centre commercial des États-Unis avec une superficie totale de 390 000 m² dont 258 000 m² de surface de ventes. 31) Melting pot : Melting pot' est une métaphore utilisée pour désigner un phénomène d'assimilation de populations immigrées de diverses origines en une société homogène. Toutes les différences initiales s'effacent pour ne plus former qu'un seul et même ensemble. 32) Poverty Belt : Poverty Belt