Métaphore Océan Mer

commence dans le vers précédant la phrase ou la proposition se terminant dans le vers suivant). Rejet et contre-rejet servent à mettre en évidence un élément particulier. • Exemple de rejet : Et dès lors, je me suis baigné dans le poème De la mer, infusé d’astres et lactescent (Arthur Rimbaud, Le bateau ivre) • Exemple de contre-rejet : Souvenir, souvenir que me veux-tu ? L’automne Faisait voler la grive à travers l’air atone (Paul Verlaine, Nevermore)

Pour elle eussent vendu leur ombre Je suivis ce mauvais garçon J'ai hiverné dans mon passé Qui sifflotait mains dans les poches Revienne le soleil de Pâques Nous semblions entre les maisons Pour chauffer un coeur plus glacé Onde ouverte de la Mer Rouge Que les quarante de Sébaste Lui les Hébreux moi Pharaon Moins que ma vie martyrisés Oue tombent ces vagues de briques Mon beau navire ô ma mémoire Si tu ne fus pas bien aimée Avons-nous assez navigué Je suis le souverain d'Égypte Dans

donc un témoignage des personnages de la société de son auteur. Dans le roman Pierre et Jean de Maupassant édité en 1888, l'auteur décrit avec un réalisme froid la société du XIX ème siècle et ses idées préconçues sur la famille. Par amour pour la mer, Monsieur et Madame Roland déménagent au Havre. Leurs fils : l'aîné, Pierre, médecin, et Jean, avocat, s'installent avec eux une fois leurs études terminées. Une somme d’argent conséquente est laissée en héritage à Jean par un ami de la famille, Maréchal

Le fait que le soleil efface les derniers filets d’eau sur son visage souligne la toute puissance de l’astre. Celui-ci rend une fois de plus le monde étranger : le sable devient rouge, le soleil se brise en morceaux sur le sable et la mer, l’océan devient un « océan de métal bouillant », le ciel s’ouvre et laisse pleuvoir du feu. Pour vaincre le soleil, Meursault serre les dents et s’enfuit à la recherche d’eau. Mais le soleil est partout, même dans sa tête. Si Meursault tire sur l’Arabe ce n’est

l’intermédiaire des métaphores : l’écrivain tente alors de dépasser le peintre en ouvrant pour le lecteur le champ de l’imaginaire. Les choses ne sont plus simplement des éléments du réel : elles trouvent une équivalence métaphorique dans une autre réalité, fantasmatique. Deux univers se superposent donc, quand le peintre ne serait confiné qu’à un seul. Nous ne citerons qu’un exemple : « c’était la Cité, cette proue de l’antique vaisseau, éternellement dorée par le couchant ». Par ce jeu de la métaphore, la Seine

qu'elles reflétaient ! Insouciants et taciturnes, Des Ganges, dans le firmament, Versaient le trésor de leurs urnes Dans des gouffres de diamant. Architecte de mes féeries, Je faisais, à ma volonté, Sous un tunnel de pierreries Passer un océan dompté ; Et tout, même la couleur noire, Semblait fourbi, clair, irisé ; Le liquide enchâssait sa gloire Dans le rayon cristallisé. Nul astre d'ailleurs, nuls vestiges De soleil, même au bas du ciel, Pour illuminer ces prodiges, Qui brillaient

d’aujourd’hui. 1 Catherine ELKAR paysage Charles COTTET (1863 - 1925) Ferme au bord de la mer, 1904 Huile sur carton - 46,2 x 60,1 cm Musée de Brest - Acquisition 1986 suite page 2 n° 24 décembre 1999 - janvier 2000 photo Olivier BIHANNIC sommaire édito : par Catherine ELKAR p. 1 sommaire : p. 2 suite de la page 1 . paysage paysage : Ferme au bord de la mer 1904 de Charles COTTET (1863 - 1925) par René LE BIHAN p. 1 et 2 clichés : Jean-Paul GOARIN «Le bien-être

(IIeme partie) * Registre dominant Réaliste/tragique . Les grands mouvements du texte : * 1er : L1 à L9, description du marché * 2ème : L10 à L19, la foule (singulier collectif) * 3ème : L19 à L32, réflexion sur la générosité de la mer * 4ème : L32 à la fin, Piracci, focalisation interne . Description vivante : * Les odeurs * Les lumières = HYPOTYPOSE * La foule en mouvement * Le bruit + parole de la foule

fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein ». - Un univers hors des atteintes du monde extérieur et de ses lacunes : « Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d'Hercule et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis d'avec la grande Afrique ». Un havre de paix face aux incertitudes de la nature. - La terre elle-même est porteuse de modération : « Les hivers y sont

Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein ». - Un univers hors des atteintes du monde extérieur et de ses lacunes : « Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d'Hercule et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis d'avec la grande Afrique ». Un havre de paix face aux incertitudes de la nature. - La terre elle-même est porteuse de modération : « Les hivers y sont