Métaphore Mort Sommeil

à l’aide d’une simple description poétique et presque enfantine ? Pour tenter de répondre à cette question, nous étudierons la force d’une seconde lecture à rebours, la dénonciation du tragique qui donne à la mort l’apparence de la vie, et enfin la dénonciation de la guerre et de la mort. Afin de montrer d’abord que ce poème exige une seconde lecture à rebours, nous évoquerons la première lecture qui conduit sur une fausse piste, puis la solution donnée par le dernier vers. Le poème essentiellement

il relate assez longuement les propos accusateurs du procureur et ces deux paragraphes (l'extrait étudié) seulement sont consacrés à la plaidoirie de son avocat. Pour Camus, il s'agit d'une occasion de dénoncer, à travers son personnage, la peine de mort. LECTUREComment Camus parvient-il à mettre en évidence l'absurdité de la peine capitale ?I Une satire de la justiceII Un accusé étranger à son propre procèsIII L'expression des sentimentsI – De la focalisation interne résulte un regard neutre.• Camus

commenter : Émile Zola, La Bête humaine, 1890 0,5pt x2 -La consigne : de « Vous ferez de » à « pathétique de sa fin ». 0,5pt x2 2- Relevez, dans le texte, des mots pouvant appartenir aux champs lexicaux suivants : la bête, l’humain, la blessure, la mort, la douleur. 2,5pts R.A2 : Relevons les champs lexicaux de : - La bête : Ses flancs ouverts, le souffle, une bête de luxe, ses entrailles, haleine, bave. 0,5pt - L’humain : Ses joues, ses paupières, les yeux, un cadavre humain, des bras

1ère personne, avec un narrateur personnage énigmatique : Meursault. Antihéros qui fait face à un monde absurde ; pour lui, la vie n’a pas de sens. Le roman s’ouvre sur la mort de la mère du narrateur, qui semble alors « sans conscience apparente ». À la suite d’un concours de circonstances, il tue un Arabe, puis est condamné à mort. • Situation de l’extrait : à la veille de son exécution, Meursault reçoit puis expulse de sa cellule un aumônier, «  dernier représentant du monde des pères  » (formule

peint le tableau d’une Hélène en fin de vie. On ne peut manquer de percevoir une cruauté volontaire de la part du poète Verbe à l’imparfait « Du temps que j’étais belle » La rose n’est pas seulement le symbole de la vie : elle est aussi métaphore de la beauté, qui elle aussi se fane rapidement. Ainsi, la beauté d’Hélène n’est évoquée que comme une chose passée, à l’imparfait. Transition : Cette morale épicurienne de l’instant présent se met donc au service de la cour amoureuse de Ronsard

Analyse « La mort des pendus » Charles Baudelaire, poète issu du 19e siècle, est devenu tout particulièrement célèbre pour son œuvre « Les fleurs du mal ». Son ouvrage compte en tout 129 poèmes qui se consacrent à la mort, l’amour et au « Mal de vivre ». Baudelaire se nourrit de romantisme, tourné vers le classicisme et à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme. Dans ce poème et selon lui, la mort rendra justice aux plus démunis de cette terre. Les pauvres seront les plus dorlotés

Poésie. Les Fleurs du Mal, la Mort. Ébauche de commentaire du poème « la mort des pauvres ». Introduction : Baudelaire, un poète du XIXème siècle est rendu célèbre pour son recueil de poèmes Les Fleurs du Mal. La mort des pauvres est un poème tiré du chapitre « La mort ». Dans ces quelques vers, Baudelaire fait appel à un sujet occupant toutes les convoitises : la mort, malgré le peu de connaissances que nous avons ; le poète tente malgré tout de lui attribuer un sens. Plan en trois parties

expressions qui s’opposent, et représente des êtres vivants. Ensuite, nous avons : « Elle avait la fin tragique d’une bête de luxe » (ligne 11) , cette métaphore compare la locomotive à une bête, à un être vivant. De plus, « Le souffle [...] s’achevait en une petite plainte d’enfant qui pleure » (ligne 9) , cette métaphore nous montre bien que l’auteur compare les bruits de la Lison à celui d’un enfant. Ensuite, nous avons différentes figures de style qui décrivent encore

de centrer certains vers comme « Morne Matouba »; « O mort »; « les triomphales ». Ce qui donne une forme visuelle particulière à ce poème. Césaire, utilise le champ lexical de la nature pour décrire la Guadeloupe « pollen », « îles », « rivières », « couleuvres », « campêches », « palmier », « plages », « fleurs », « mangliers ». Le début de cet extrait nous plonge dans une atmosphère presque mystique. En effet, le « rêve », le « sommeil du peuple », le « ciel », nous donne une sensation d’immobilité

utilise → passé composé, l’accompli du présent.- verbe « embrasser » = surprenant car personnifie l’aube, justifier l’aube ensuite assimilée à une déesse. D’abord l’immobilité des choses.- début de la strophe → immobilité de la nature voisine de la mort (« rien ne bougeait ») et obscurité (« Les camps d’ombre »), -se situe dans un bois, sombre à l’accoutumée. -Même l’eau n’est pas agitée par le moindre plissement dû au vent : « l’eau était morte ». - l’eau est au synonyme de vie : on la cherche sur