Métaphore Du Cerveau

piraterie et le poète a une attitude de soumission. Le paradoxe de la strophe est que la première personne fait son apparition pour être aussitôt détruite. L'affirmation de la possession ("mon") se déroule en même temps que la destruction, l'image du cerveau a cédé place au crâne, ossature vide. "plante" est en position forte, après la césure. II) La fleur du mal.....On a ici la description d'une souffrance mentale, dont la progression est inexorable, linéaire, implacable, soutenue par le rythme lent

tendance à mettre l’ironie. On monte en peu plus dans les vetements et on arrive à la cravate, les adjectifs « lâche », « grand plis nombreux » ont une marque péjorative et le coté hyperbolique « s’y enterrer le visage jusqu’au nez », Ainsi que la métaphore « sa figure bourgeonnée », les adjectifs évaluatifs « gros nez long couleur de brique », « bouche démeublé, mais menaçante », montre tous l’ironie de la description. Il y a insistance sur les matières « acier », « or ». On a la description du

Bérénice commence à parler de ceux qui sont proches d’elle, elle dit qu’elle est «le général» et qu’ils sont «les forteresses à prendre» (p.43, l.110-111) et qu’ils sont également ses batailles. Cette métaphore montre que Bérénice se trouve dans une constante bataille dans son intérieur, où son cerveau et sa pensée l’obligent à rester ferme dans sa décision de ne pas aimer, mais son cœur et ses sentiments veulent aimer inconditionnellement. Elle veut vraiment aimer, mais elle veut s’empêcher de le

inclinée sur la gauche.... Quant aux cheveux, l’homme a des cheveux mi- long et la femme a des cheveux courts, cela fait ressortir la féminité de l´homme et la masculinité de la femme. Selon cette publicité, l´homme devient le personnage qui n´a pas de cerveau, il fait tout ce que la femme dit; c’est la femme qui dirige, qui a la supériorité et la domination sur l’homme. Dans la publicité de JBS, c’est une «femme-masculine», on emploi le contre-pied de la femme vulnérable et dépendante du mâle

Je réponds de la petite ». Cette tirade permet au spectateur de comprendre que Lorenzo est un habitué et presque un expert de la débauche. En même temps il apparaît comme un homme très éloquent ; il emploie un vocabulaire soutenu et utilise des métaphores : « Une jeune chatte qui veut bien des confitures mais qui ne veut pas se salir la patte ». Lorenzo apparaît aussi comme un espion. A la scène 4 de l'acte I le Duc dit de lui qu'il est « glissant comme une anguille ; [qu'] il se fourre partout

On retrouve ici une métaphore récurrente dans le roman, celle de la dévoration : "le droit des forts que gênent les faibles, et qui les mangent", appuyée par un présent de vérité générale. Notons l'emploi que Jacques fait ici des tournures impersonnelles et du lexique du "devoir"

synonymes plus soignés. Retrouve deux figures de style dans ce premier chapitre, détermines-en le genre dingue: fou truc: chose pisser: uriner ça ne tourne pas rond: ça ne va pas « légères comme des papillons »: comparaison « jour de marin »: métaphore 3. Porter une appréciation personnelle A ton avis quelle pourrait être la raison de l'utilisation de ce vocabulaire familier? Est-ce un procédé efficace selon toi? Selon toi quel effet produisent ces figures de style? Le langage familier permet

ne perdant jamais une occasion de faire sourire par son humour tendrement ironique dans "La boîte noire" : "L'opium ne m'a procuré strictement aucun effet, la relecture de Tintin et le lotus bleu aurait été bien plus efficace.", avec l'art de la métaphore subliminale : "Je ne sais pas ce qui s'est passé mais, juste après avoir dit ça, il y a eu une sorte de silence un peu craquant, comme une corde de pendu qui sé détend après le lynchage." "On se demande souvent ce que l'on ferait si la chance nous

aux états d’âme de la mère, il est directement «  branché «  sur les émotions de celle-ci. Son cerveau en gestation s’adapte à ce que lui dicte son environnement; s’il est très angoissant, les synapses transmettent plutôt la peur, l’agitation, le stress que la joie ou la satisfaction. Si la femme est épanouie, heureuse, le fœtus sent qu’il est désiré. Autant d’éléments qui s’inscrivent dans son cerveau et qui font que le fœtus possède déjà une histoire gravée dans sa mémoire inconsciente à la fin

Suite à ces mots, la tirade permet de comprendre que Lorenzo est un habitué voir un expert de la débauche mais pourtant, il apparaît tout de même comme un homme très éloquent, très bon orateur ; il parle de façon soutenue et utilise de nombreuses métaphores telles que : « Une jeune chatte qui veut bien des confitures mais qui ne veut pas se salir la patte ». Le personnage principal apparaît ensuite comme un espion. A la scène 4 de l'acte I, le Duc de Medicis dit de lui qu'il est « glissant comme une