Métaphore Animale

comparaison image : procédé de langage qui consiste à employer concret dans un contexte abstrait sans l'élément pouvant faire penser a une comparaison. Ex : «  la misère râpée » métaphore filée : reprendre plusieurs fois la même métaphore. On dit qu'on file la métaphore. Dans une scène de Molière, la poésie est assimilé à un repas métonymie : designer une réalité par une réalité qui lui est proche, pour raccourcir l'expression ou pour créé une image politique.

que par leur odeur et non par leur apparence. Donc l’auteur ne lui donne pas d’apparence. - Il vraisemblabilise la dimension existentielle de sa quête, de son parcours. - Ca permet le suicide par anthropophagie sans scandale. 2) Etude de la métaphore de la tique( chap.4) - « dur, résistant et frugal » Prépare la lecture du passage de la retraite dans la montagne. COMPOSITION annonce cette retraite. VRAISSEMBLABILISATION qui rend cet épisode réel par la PERVERSITE. Ce qui n’est pas réaliste de

appelé parfois mot-outil, ou « comparatif », se traduit très souvent par le mot « comme ». Comparaison et métaphore sont très similaires en langues. Malgré que la comparaison utilise le terme ‘comme’ pour permettre de la distinguer de la métaphore, on continue à les confondre.    12. La métaphore Le mot métaphore vient du mot grec « metaphora » qui peut se traduire par transport. La métaphore est un type particulier d'image qui associe deux termes appartenant à des champs lexicals différents afin

DISSERTATION Fondé par le grec Esope, le genre de l’apologue se compose tout d’abord d’une centaine de fables en prose mettant en scène des animaux et possédant une morale facile à comprendre. De même l’antiquité voit aussi apparaître des fables en vers écrites principalement par Phèdre ainsi que des paraboles de l’Evangile. Puis, la fable est délaissée peu à peu au Moyen-âge au profit du fabliau, mais réapparait et connaît un grand succès pendant le classicisme avec des auteurs très connus tels

Zola illustre parfaitement la démesure des débordements érotiques qui avaient lieu à cette époque. Cette métaphore filée revient avec des termes tels que « flamboiement des torches », « soufflé la dernière bougie » etc.. Ce rapport au feu dans le texte met en avant cette évidente défaite de l’intelligence face au contentement instinctif et purement charnel du désir. Cette brutalité animale avec laquelle les hommes traquent les femmes comme un lion traque une gazelle, les prennent, les souillent

comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est fort comme un lion. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Mon mari, c'est un lion ! La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le soleil jouait à cache-cache avec les nuages. L’allégorie : on utilise

Comment le texte met-il en valeurs la violence de l'Usine Ford ? Abattoir = scatologie, machine qui broie l'homme animalité = champ lexical des animaux : chimpanzé mécanisation = homme machine, travail à la chaine abrutissement physique et moral hiérarchisation (capitalisme → monde machine à faire de l'argent) texte narratif et descriptif → temps : imparfait et passé composé registres : 1) pathétique 2) polémique 3) tragique (1) champ lexical de la déshumanisation, comparaison

comparaison établie. Dans cet exemple, le garçon timide et tout rouge est le « comparé ». La tomate est le « comparant ». L'outil de comparaison est « comme ». La métaphore : il s'agit d'une comparaison entre deux éléments mais sans mot-outil. On parle donc d'assimilation. Un élément est assimilé à un autre. Notons au passage que la métaphore est souvent plus frappante que la comparaison. Exemple : « Ma parole, ce garçon est une vraie tomate ! » En voyant le garçon timide et tout rouge, on pense tout

vivre dans le luxe et vivre dans la misère, qui transforme l'enfant. En effet, ses deux enfants sont aussi beaux même si celle de l'enfant pauvre est caché comme le montre la comparaison avec l'œil du carrossier et la métaphore de la patine de la misère. .A travers cette métaphore, Baudelaire se moque des bourgeois. Il les critique car ils ne voient pas au dehors des apparences, pour eux seul l'argent et le paraître comptent. Alors que les artistes eux, comparés à des « connaisseurs » avec la figure

poularde, Voltaire se sert du dialogue philosophique très en vogue à l'époque (notamment chez Diderot) pour dénoncer de manière efficace l'intolérance et la cruauté des l'espère humaine. Ce qu'a d'originial le texte, c'est qu'il met en scène des animaux et non des humains comme c'est ke cas habituellement. Comment Voltaire dès lors, à paritr d'un dialogue qui tient plus de la fable qui de la philosophie, parvient-il à dénoncer la cruauté humaine ? On verra que, si le texte se présente d'emblée comme