Métaphore Animal Poéme

diviser en 2 hémistiches de 6 syllabes. La coupure souvent marquée par une virgule est alors appelée césure. Les accents et les coupes Les accents créent le rythme du poème et portent en général sur la dernière syllabe d'un mot. Les coupes marquent une pause et se trouvent généralement à la fin du vers, elles contribuent à l’harmonie du poème ou mettent un mot en évidence. L'enjambement et le rejet Il y a enjambement quand la pause à la fin d'un vers est supprimée car la phrase se prolonge au vers suivant

succès fulgurant et lance, avant Victor Hugo, la poésie romantique. « Le lac » est le dixième poème du recueil. C’est un poème élégiaque constitué de dix- sept quatrains, d’hexasyllabes et d’alexandrins en rimes croisées, mais notre extrait s’arrête au douzième. Le poète évoque auprès d’un lac le souvenir de sa bien-aimée disparue, dans une longue élégie sur le tempus fugit. Il y file une métaphore concernant l’eau et la vie, et se plaint que l’on ne puisse arrêter le temps. On se demandera

propos d'Horace » est un poème écrit en alexandrins où l'auteur évoque ses souvenirs de collège. Il est extrait des Contemplations. Il a été rédigé par Victor Hugo, un grand écrivain de la littérature française, en 1856. D'Erasme au XVIème siècle jusqu'à Victor Hugo au XIXème siècle, on se demande quelle est la meilleur méthode d'apprentissage. C'est pourquoi ce poème est au service d'une dénonciation d'une forme d'enseignement en faisant appel à l'imaginaire. Ce poème fait aussi partie du registre

se révoltant contre la misère sociale. * Présentation de l’extrait  : Le poème « J’aime l’araignée… » est issu du livre III intitulé « Les luttes et les rêves ». Il est composé de quatrains composés en alternance de décasyllabes et de pentasyllabes (vers de 5 syllabes). V. Hugo y fait l’éloge paradoxal de l’araignée et l’ortie, un animal et une plante malaimés car laids ou dangereux. LECTURE * Mouvement  :

eau symbolise le tps Paradoxe → lac tranquille ≠ mer active Dessine comme un paysage intérieur → médita° sur tps → cinfie amour en nature (omniprésente ds poème) Symbiose ac la nature. Retrouve écho à ses sentiments poème très romantique 1er strophe chaque vers «où» → sonorité ouverte → longueur, forme d'écho, prolonge vers Poème commence par «Ainsi», impression° de sentiment dja éprouvés «nuit» évoque passé, univers assez négatif → associé à la mort ? «sans retour» ≠ «nouveaux

Rappel des différentes tentatives (surréalisme, dadaïsme…). Cocteau préconise une poésie du quotidien mais qui « dévoile » le monde qui nous entoure par la magie des mots. Situation du texte : ici, Réda, qui revient apparemment à la tradition (poème en vers), choisit un objet du quotidien, banal, mais il nous en donne une vision tout à fait inattendue. Annonce du plan : un décor et un objet du quotidien – une bicyclette – vus au cours d'une promenade, décrits dans leur réalité et comme mis en

Montrer que ce poème est un portrait du poète maudit et incompris Mouvements du texte :1er mouvement : les deux tercets : recherche de l’origine d’ un chant mystérieux, ambiance fantastique 2ème mouvement  : les deux quatrains : beauté et laideur du crapaud maudit chute  : dernier vers, explication du poème 1er

Ce poème se trouve dans le cycle de Jeanne Duval la maîtresse métisse de Baudelaire. Le poème suit « Parfum exotique » comme le voulait B. poème pour Jeanne Duval = Parfum exotique, Sed Non Satiata (Jamais rassasiée), le serpent qui danse, Le Chat, Duellum L'inspiration exotique, de l'ailleurs vient d'un voyage fait en 1841 à L'île Bourbon (=île Maurice). Forme du poème = 7 quintils en Alexandrin. = peu habituelle. Le poème témoigne de la puissance du rêve, l'imagination et la poème = les

durablement sur le sens et la forme de sa quête poétique, dont l’unité vole en éclats. Ce poème raconte une forme de prise d’otage d’un village : des SS et Miliciens torturent des villageois pour savoir où se trouve un résistant. Il se dégage du poème de la violence, de la colère, de l’amour et du soulagement. Sur le plan formel, c’est un poème en prose composé de 4 paragraphes. Problématique : En quoi ce poème est-il un récit personnel engagé ? Annonce de plan linéaire (découpage en mouvements)

quatre-vingt-cinquième poème de la section Spleen et Idéal ». Composé de six quatrains d’alexandrins, le poème montre la victoire du Spleen, car il présente le temps comme un monstre qui assoit sa cruauté et sa victoire sur l’homme. Nous nous demanderons en quoi le temps est présenté ici comme une menace pour l’homme. Nous verrons dans un premier temps que l’évocation de la fuite du temps est source d’angoisse, puis nous montrerons en quoi cela est tragique. Plan détaillé: I-Un poème sur le temps 1-Omniprésence