Médée La Magicienne

autres  monstres.  Les  mystères  de  l’antiquité  païenne :  Mystères  d’Eleusis.           « Hymne homérique à Déméter ». Gustave Courbé, L’Origine  du  monde.    Edward Burne Jones, Proserpine. Les magiciennes et les sorcières : Héphaïstos, Asclépios, Hermès, Isis, Hécate, Séléné, Baubô ; Médée, Circé…    La  mythologie  orientale :  Ishtar,  Astarté, Inanna et Isis : la thématique du corps en morceaux.  Le  corps  mutilé  de  Dionysos.  « Hymne  homérique  à  Dionysos ».  Naissance  du  théâtre

comique et tragique. Le roman porte également la marque de ce mélange des genres. Les thèmes de l’illusion et de l’apparence trompeuse sont repris sous des formes multiples dans les œuvres littéraires : introduction d’éléments merveilleux (fées, magiciens, animaux enchantés, etc.), construction en abyme (le « théâtre dans le théâtre »), récurrence des thèmes de l’eau fuyante et insaisissable, du feu volatile et impalpable, etc. L’idée qui prédomine est que « le monde entier est un théâtre » (Shakespeare)

PROTOGÈNE. César en doutait-il? César est pâle. En effet, ce matin, CALIGULA. Un rêve, ensuite cet orage. PROTOGÈNE. César n'ignore pas que tout rêve est présage. CALIGULA. Celui-là qui saurait trouver un sens au mien, Par Drusille! serait un grand magicien. PROTOGÈNE. César a quelquefois éprouvé ma science, En veut-il de nouveau faire l'expérience ? CALIGULA. Soit ! écoute-moi donc... Serein et radieux, J'étais assis au ciel près du maître des dieux, Quand vers moi tout à coup il tourne un front

heureux. C’est en Italie que les auteurs français cherchent des modèles tels que l’Aminta du Tasse ou le Pastor Fido de Guarini ; ou encore en Espagne, avec le roman pastoral de Montemayor, La Diana. L’atmosphère devient féerique, avec l’apparition de magiciens et de satyres, et l’intrigue se charge de péripéties. Racan fait jouer ses Bergeries et Mairet donne Sylvie puis Sylvanire. Formation de la tragédie classique : On assiste à la veille du Cid (1637) à toute une floraison de tragédies contraires à

ce qui a été compté et ce qui manque encore. Ainsi l'attention se fixe sur cette place vide, qu'un mot bref et fort vient juste remplir comme par miracle, « Contre tant d'ennemis que vous reste-t-il ? - Moi ». La beauté propre de ce vers célèbre de Médée est en ce que le vers est incomplet, et sans remède, croit-on. Autant à dire du « Qu'il mourût » et de tant d'autres traits, qui se trouvent ainsi deux fois justes, pour le sens et pour le rythme ; ainsi le corps prête toute sa force selon l'esprit

parvint au terme d’un long voyage sur son navire Argo (le rapide) et avec l’aide de ses compagnons, les Argonautes, parmi lesquels Orphée, Castor et Pollux. Il revint dans son pays après avoir réussi d’autres épreuves terrestres, grâce à Médée, princesse et magicienne. Œdipe © Groupe Eyrolles Abandonné par son père, recueilli par le roi de Corinthe, il devint parricide sans le savoir. Poursuivant sa route, il rencontra le Sphinx, monstre ailé, mi-animal, mi-femme qui dévorait ceux qui ne répondaient

beau et de ce qui est bon, il est viril, résolu, ardent, c'est un chasseur redoutable ; il ne cesse de tramer des ruses, il est passionné de savoir et fertile en expédients, il passe tout son temps à philosopher, c'est un sorcier redoutable, un magicien et un expert 400. Il faut ajouter que par nature il n'est ni immortel [203e] ni mortel. En l'espace d'une même journée, tantôt il est en fleur, plein de vie, tantôt il est mourant ; puis il revient à la vie quand ses expédients réussissent en

 96). Enrichir son vocabulaire a. se faire une fausse opinion de la réalité ; rêver. b. tromper en donnant de la réalité une apparence trompeuse. c. perdre ses rêves, voir la réalité telle qu’elle est. Un illusionniste est un prestidigitateur, un magicien. S’exprimer à l’oral Vous pourrez consulter les sites Internet : http://les.femmes.dans.lhistoire.over-blog.com et www.persee.fr/web/revues. Histoire des arts 1. a. L’image est une affiche de cinéma pour le film Jane Eyre de Franco Zeffirelli, sorti

Moyens pour lutter : pour Médée, appel à l’aide des dieux infernaux (invocation l. 1-9, l. 7, 9, 12) ; pour Camille, provocation pour mener Horace au paroxysme de la colère en lui peignant (verbe voir, v. 15-16-17) un tableau de Rome apocalyptique, insupportable ; en l’amenant à la tuer, elle fait de lui un fratricide et ternit sa gloire. Texte 1 : Sénèque, Médée, I, 1 (Ier s.) Texte 2 : Corneille, Horace, IV, 5 (1640) COMPAREZ LES TEXTES 1. La situation des deux héroïnes – Médée  : alors qu’elle a tout

qui démontrent comment, par tradition, de l'époque classique au moyen âge, les peintres se refusaient à reproduire la douleur même dans ses formes les plus élémentaires et les plus profondes (la douleur maternelle) : dans les peintures pompéiennes, Médée qui étrangle les enfants qu'elle a eus de Jason est représentée avec la figure recouverte d'un voile parce que le peintre estime que donner une expression à son visage serait surhumain et inhumain. En attendant je prendrai des notes et, le cas échéant