Mythe des races

apparaissait en mettant en scène la provenance du monde. Cette provenance trouvait son origine dans un temps qui précédait le temps humain : le temps des dieux, des immortels. Ainsi le mythe de Prométhée et d’Épiméthée commence ainsi : « C'était au temps où les dieux existaient, mais où n'existaient pas encore les races mortelles. » Donc, quand les hommes vivaient sous le régime du muthos (fable), le sens du monde était donné à l'origine une fois pour toutes et les hommes transmettaient ce sens

race supérieur en fonction d’une catégorisation des individus selon leur couleur de peau, « leurs différences physiques ou culturelles ». Comme le dit l’auteur, « le contexte spécifique des empires coloniaux détermina l’identification des différentes races, ainsi que leur position relative dans un système hiérarchisé où les Européens blancs si situaient en haut, les Africains noirs en bas et les jaunes, bruns et rouges de l’Asie, l’Inde et des Amériques entre les deux ». Pendant très longtemps, on

vision du monde est dominée par la société : la survie ne pourra être accessible qu'aux races humaines les plus fortes et les plus pures. Il place la race Aryenne ( population blanche du nord de l'Europe) au plus haut niveau de «  l'échelle raciale » et les juifs au dernier. Afin de « sauver la race germanique », il affirme que l'anéantissement des juifs est nécessaire. A partir de 1926, il développe le mythe du Führer (guide) qui consiste en le respect absolu de la hiérarchie. En 1933, le NSDAP

et les mêmes références juridiques. Les anthro : au départ anthro physique c.-à-d. étudier l’homme en tant qu’être physique (étude faite par Cheikh Anta Diop, et les nationalistes et les racistes l’ont utilisés pour faire la distinction entre les races) (à voir conférence de C.A.D en 1984 au Niger) (théories de C.A.D polymorphique et uni morphique, origine commune à tous les hommes et que la avaient présence de la mélanine sur la peau des hommes blancs prouve que les européens avaient le même ancêtre

Paradis perdu à l’écart du monde « civilisé ». On parle du mythe du « bon sauvage » pour cette première représentation. La deuxième est très dévalorisante. Elle présente les non-Européens comme des sauvages, des paresseux, en tout cas des êtres inférieurs à l’homme blanc. On parle du mythe du cannibale pour cette deuxième représentation. 2ème partie : confrontation aux textes. - recherche par les élèves de Bougainville et du terme mythe. 1) Quel est le vocabulaire employé dans chacun des

humaine renvoie à la capacité des hommes à se perfectionner, à développer leurs facultés. Cela suppose que l'homme à l'origine n'est pas parfait, pas achevé. 2Le mythe de Prométhée Le mythe de Prométhée, raconté par Platon dans le Protagoras, illustre cette idée. Ce mythe décrit la façon dont les dieux, au moment de la création des races mortelles, confient à deux frères la tâche de répartir les qualités des espèces. Épiméthée donne ainsi aux animaux de la force, de la rapidité, des instincts, des

plus au 19e sicle nous sommes dans une conception raciste de l’humanité , l’homme croit en l’inégalité des races «  Inférieurs / Supérieurs » , cette croyance est même soutenu par les scientifiques ( schéma , théorèmes .. ) Les Européens se considèrent comme la race « supérieure » considèrent qu’ils ont une mission civilisatrice c’est-à-dire de rependre la civilisation aux peuple , aux races qui ne la connaissent pas . « White Man burden » R.Kipling ce qui veut dire le « Fardeau de l’homme blanc

l’utilisation d’un outil, de la nature, d’une personne, on le méprise. A force, la science fait disparaître le sens de l’interdit, du sacrée. « Le Mythe de Protagoras » de Protagoras Mythe : Imagination de l’origine Protagoras est un sophiste, ils prônent la technique. Dans le mythe, Prométhée et Epiméthée dotent des qualités, des capacités, aux différentes races, à la création du monde. Chaque animal a de quoi survivre, sauf l’homme, il est l’être qui a le moins de qualités. L’Homme est le plus fragile

nettement guerrière il était destiné aux élites (aux professionnels : les gladiateurs). Les femmes n’étaient pas représentés pendant l’antiquité mais certains mythes attestent de certaines pratiquent sportives comme le mythe des Atlantes évoqués par Platon et Aristote et le mythe des amazones. Les Jeux Olympiques inventé huit siècles avant le Christ sont une référence en terme de discipline sportive (le javelot, la lutte, le poids, le marteau, l’athlétisme, la gymnastique) et en terme de valeurs

lequel il s'inscrit, avec une très grande liberté d'invention et de remodelage[9]. Dans l’Iliade, le précepteur d'Achille est un humain, Phénix, et non le centaure Chiron comme dans d'autres versions. Lorsqu'au chant XIX Phénix raconte à Achille le mythe de la chasse du sanglier de Calydon[10], il l'adapte afin de faire de Méléagre, le principal protagoniste de son récit, un anti-modèle victime de son tempérament colérique, afin de montrer à Achille qu'il a tort de persister dans sa propre colère en