Moïse Le Legislateur Hébraïque

il est en partie dans l’existence négative, en partie dans le créé. Quant à l’Archange de Kether, Metatron, il est en qualité d’Archange à mi-chemin entre l’émanation divine et l’Ange. Il est le moyen utilisé par Dieu pour « parler » à l’Initié : Moïse, Abraham, Noé. METATRON : Mem, Tet, Tet, Resh, Vav, Nun (final). Mem Tet Tet Resh Vav 40 en plénitude 9 en plénitude 9 en plénitude 200 en plénitude 6 en plénitude 964 Rappelons que : Mem : Tet : Resh : Vav : Nun : féminité universelle corde d’argent

Numa, est réputé avoir édicté les premières lois de Rome, sous l’inspiration d’une nymphe divine nommée Egérie. Le droit est un droit d’essence divine, un droit donné ou inspiré aux hommes par les dieux, mais aussi civil. Cas du droit hébraïque, Dieu s’adressant à Moise et lui dicte les 10 commandements. Code d’Hammourabi 1850 AV JC déesse lui donne les lois. Ce schéma demeure lorsqu’en 509 AV JC Rome devient une république. Le droit demeure d’essence divine le fas. C’est un droit secret dont seul les

différence de révélation est perceptible suivant que les sociétés sont polythéistes ou monothéistes. Dans les sociétés Poly les dieux d’une manière générale font preuve de plus de souplesse que chez les Mono. (Dans la société hébraïque c’est le dieu Yahvé qui était le véritable législateur, ses commandements doivent être respectés à la lettre et ne peuvent être interpréter par les hommes). Vers le 8eme siècle av JC les monarques qui eux sont établis en Grèce seront remplacés par des systèmes oligarchiques

politique. L’écriture y apparaît vers l’an 3000 avant J.C., outil indispensable à une administration efficace et aux activités d’échanges. Au ProcheOrient, des témoignages nous renseignent principalement sur les droits cunéiformes (A) et sur le droit hébraïque (B). Au-delà de leur différence, ces droits présentent des analogies qui dessinent une physionomie générale, marquée par la religion, la morale et l’empirisme. A. LES DROITS CUNEIFORMES. Il s’agit de textes rédigés en écriture cunéiforme, qui combine

l’origine du droit. Contenu du droit = prescription religieuse. Ce cas de figure se retrouve notamment en Mésopotamie, chez les Hébreux et en Egypte. (Loi révélée) Le second (présent en Grèce et à Rome) : La loi est inspirée par les dieux à un législateur légendaire (Solon pour Athènes, Lycuage pour Sparte). La loi est au dessus de tout en Grèce, cette place supérieure trouve son fondement car elle est l’œuvre des hommes, d’un consentement initial. La loi n’est pas révélée mais est faite ici de

assurer le bien-être de ses sujets, assurer leur bonheur matériel pour cela il est assisté d'une administration a laquelle le roi délègue quelques fonctions : il y a donc décentralisation du pouvoir. Il est important de noter que le roi n'est pas législateur car la loi est considérée comme l'œuvre de Dieu. Son rôle est de sauvegarder le droit et faire régner la justice en tant que juge mais il n'est pas le seul comme nous l'avons vu : il partage cette fonction. Il peut déléguer l'exercice de son

Formation historique au droit Bibliographie : * Carbasse (petit livre rouge (droit grec) * Lovisi (Mésopotamie, droit hébraïque) * Castaldo * Ellul (institutions de l’antiquité) Thème 1 : L’orient ancien, la naissance du droit L’idée de justice, liée à celle du droit, est également ancienne. Dès que l’on trouve une civilisation on trouve du droit. (Ex : Mésopotamie). Il existe une constante dans le monde entier (connu), les 3 religions monothéistes s’accordent toutes sur

| |Septante, traduit de l'hébreu mashakh, "oindre" (le plus souvent la forme nominale mashiakh, | | | |"celui qui est oint", d'où est dérivé le mot "messie"). La conception hébraïque de l'onction | | | |provient de l'idée selon laquelle l'application d'huile conférait à la personne ou à l'objet | | | |certaines qualités supérieures ou même surnaturelles

différentes qui ont des finalités différentes et des ressorts dissemblables. Il existe dans certains pays une confusion entre les deux qui a donné naissance à des entités remarquables : les droits religieux. Il existe ainsi un droit musulman, un droit hébraïque. Dans la tradition romaine, la confusion n’existait pas, la religion était une affaire privée qui intéressait l’individu, et, jusqu’à la fin de la République, on a toujours considéré que le droit n’avait pas vocation de s’immiscer dans les affaires

de la codification du Droit de la Mésopotamie. Il faut savoir que le code d’Hammourabi est le plus célèbre des codes de l’Antiquité. Cette codification avait pour but de réunir l’ensemble des règles de Droit d’une société. Le Droit Hébraïque Le Droit hébraïque hérite de certains aspects du Droit Mésopotamien. Le peuple hébreu est issu d’un groupe de sémites qui quittent la Mésopotamie pour la Palestine. La famille d’Abraham hérite du Droit par la Bible, l’ancien Testament fait office de