Mozart Assassiné

par la Chronique de Séville. XIVe siècle : fils de l'amiral Alonso Jofre Tenorio, Don Juan Tenorio aurait tué le commandeur Ulloa dont il avait séduit la fille, et les moines du couvent où fut enterré le commandeur, outrés de cet acte, l'auraient assassiné et fait disparaître le corps, racontant ensuite qu'il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer comme châtiment de ses fautes et de son refus de se repentir. Mais les Cronicas de Sevilla et les archives des familles Tenorio et Ulloa sont

goût de la satire lui valent à plusieurs reprises de sérieux ennuis auprès de ses supérieurs hiérarchiques, qu'il n'hésite pas à caricaturer . Passionné de musique, il abandonne son troisième prénom, « Wilhelm », pour celui d'« Amadeus » en hommage à Mozart, son modèle, et devient critique musical, puis compositeur. Il est ainsi l'auteur de plusieurs opéras dont : Ondine . C'est en raison de son activité littéraire que Hoffmann est célèbre. Connu sous le nom d'« E. T. A. Hoffmann », il est l'auteur de

donc à la fois jouisseur et cynique, également égoïste et destructeur. L'usage établi veut que l'on écrive « Dom Juan » lorsqu'il s'agit du nom de l'œuvre de Molière ou du poème de Baudelaire, « Don Giovanni » ou « Don Juan de Mozart »1 lorsqu'il s'agit de l'opéra de Mozart et Da Ponte, « Don Juan » lorsqu'il s'agit d'une  autre œuvre. -------------------------------------------------

MALRAUX : La condition humaine GIONO : Un roi sans divertissement ; Regain SARTRE : Les Mots ARAGON : Le paysan de Paris COLETTE : La maison de Claudine ; Le blé en herbe TROYAT : L'Araigne ; La neige en deuil G CESBRON : C'est Mozart qu'on assassine M. DEL CASTELLO : Tanguy R; Le manège espagnol J. BOURRIN : Les amours blessées J. GRACQ : Le rivage des syrtes A. MARINE : Le testament français S. DERVEV : La vénitienne A. FERNEY : Grâce et dénuement H. HABERT : Les braises

classes sociales, de tous styles différents puis est décédé assassiné. Il y a aussi l’œuvre de Tirso Molina : Le trompeur de Séville et l’invité de Pierre (1638), cette pièce dénonce les personnes qui défient la religion. Il raconte l’histoire de Don Juan qui tue un commandeur étant le père d’une fille qui l’a séduite, il est ensuite envoyer en enfer par la statue du commandeur. C’est alors Molière qui a repris Dom Juan en 1665 et Mozart en fait un opéra en 1786.

devoir, la fraternité, la solidarité, l’importance d’appartenir à un groupe, un pays. Dénonce la crise de la situation Dans « Les hommes », dans le wagon où des familles polonaises sont rapatriées « C’est un peu, dans chacun de ces hommes, Mozart assassiné ». Idéal humain Style S.E. écrit dans une langue pure et dense. Sa phrase habilement agencée, chante à l’oreille. Son style est soutenu, les scènes décrites sont parfois dramatiques, parfois épiques. Les descriptions sont claires et imagées

amené à se marier. Grace à l’ellipse qu’il fait en passant directement de cette période à aujourd’hui, l’auteur insiste sur le fait que bien que ces gens là ont pu être heureux un jour ça n’aurais pas pu durer. Et cela s’applique aussi à l’enfant : « Mozart est condamné » L’idée de paradoxe entre les parents qui représentent la déchéance humaine et l’enfant qui au contraire symbolise l’espoir et la réussite est constamment soulignée dans la troisième partie du texte. Elle repose sur l’utilisation

délaisse et tue son père au cours d’un duel. Lors d’un voyage il fait halte dans un couvent où se trouve la statue du Commandeur. C’est ici qu’il disparaît pendant la nuit. Pour les moines, il a été foudroyait, pour d’autres ce sont eux qui l’ont assassiné. A la suite de ce fait-divers et de ses différentes versions plusieurs récits seront créés, notamment le premier Le Trompeur de Séville et le Convive de pierre de Tirso de Molina en 1620. Sa pièce est située dans un contexte social particulier lui

légende, il aurait vécu au XIVe siècle : fils de l'amiral Alonso Jofre Tenorio, Don Juan Tenorio aurait tué le commandeur Ulloa dont il avait séduit la fille, et les moines du couvent où fut enterré le commandeur, outrés de cet acte, l'auraient assassiné et fait disparaître le corps, racontant ensuite qu'il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer comme châtiment de ses fautes et de son refus de se repentir4. Mais les Cronicas de Sevillaet les archives des familles Tenorio et Ulloa sont

personnage lui-même. Le personnage mythique de Dom Juan est né d’un fait divers. Il aurait vécu au 14ème siècle. Dom Juan Tenerio aurait tué le commandeur Ulloa après avoir séduit sa fille. Les moines du couvent où fut enterré le commandeur auraient assassiné Juan Tenerio et fait disparaître le corps. Ils racontèrent que l’homme avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer en châtiment de ses fautes et son refus de se repentir. Mais si cette histoire reste très incertaine, il est plus vraisemblable