Moucheron

tentés de choisir le parti du plus fort, « Dans toutes les fables où le lion est l’un des personnages ,comme c’est d’ordinaire le plus brillant, l’enfant ne manque point de se faire lion … Mais quand le moucheron terrasse le lion , c’est une autre affaire ; alors l’enfant n’est plus lion il est moucheron. » Par l’intermédiaire des fables, ils apprennent à tirer profit des défauts et des faiblesses des autres. « Le plus odieux de tous les monstres seraient un enfant avare et dur qui saurait ce qu’on

s'entendre ! -> ON A BESOIN D'AMIS Ours devient émoucheur, therme qui vient de gargantua : Emoucher ! Ce verbe est inventé par la fontaine. Fait ce travail : premiere allusion a la morale. But : enelever les mouches : allusions au Lion et au Moucheron, moucheron petit mais habile ! 2. Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami; Mieux vaudrait un sage ennemi. Dit que les coups des sages ennemis sont prévisible mais qu'un ami stupide ne l'est pas. D'ailleurs : l'ours le tue en VOULANT FAIRE

foisonne; est-il besoin d'exécuter, L'on ne rencontre plus personne.»= tjrs plus facile à dire qu'à faire 6) Le lion et le moucheron(p.53) Un lion agressa un moucheron en lui disant qu'il n'était rien. Le moucheron attaqua le lion pour lui prouver le contraire : il appela d'autres moucherons qui s'attaquèrent au lion et il finissent par l'achever. En fêtant sa victoire, le moucheron s'est pris dans une toile d'araignée et s'est fait manger. Morale : « Les plus à craindre sont souvent les plus petits;Qu'aux

entière joue de la distinction entre le faire et le paraître. On retrouve personnage de la mouche ds « le Lion et le moucheron » : l’insecte est ici aussi présenté de façon peu plaisante : il sera puni au terme d’un récit enlevé qui mêle placere et docere. Le Lion et le Moucheron "Va-t'en, chétif insecte, excrément de la terre! " C'est en ces mots que le Lion Parlait un jour au Moucheron. L'autre lui déclara la guerre. "Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi Me fasse peur ni me soucie ? Un boeuf

c'est d'ordinaire le plus brillant, l'enfant ne manque point de se faire lion ; et quand il préside à quelque partage, bien instruit par son modèle, il a grand soin de s'emparer de tout. Mais, quand le moucheron terrasse le lion, c'est une autre affaire ; alors l'enfant n'est plus lion, il est moucheron. Il apprend à tuer un jour à coups d'aiguillon ceux qu'il n'oserait attaquer de pied ferme. Dans la fable du loup maigre et du chien gras, au lieu d'une leçon de modération qu'on prétend lui donner

penser au fil de la vie. Strophe deux on parle d’un lac, cela peut faire penser aux sticks, lac qu’il fallait traverser pour arriver en enfer A la 3ème strophe, le narrateur est comparé aux moucherons, il serait donc une sorte de pâture. Tarentule et trompe d’éléphant : il y a une différence d’échelle. Le moucheron qui infiniment petit rejoint l’infiniment grand. On remarque qu’il y a de nombreuses références aux animaux : bestiaire Scarbo réserve une mort in vivo au poète et lui fait part de nombreuses

de noble avec « haine », « courage », «  gloire » . De plus, les coqs sont aussi comme des hommes arrogants, prêt à défier le destin au lieu de faire preuve de prudence. « Le Lion et le Moucheron » "Va-t'en, chétif insecte, excrément de la terre! " C'est en ces mots que le Lion Parlait un jour au Moucheron. L'autre lui déclara la guerre. "Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi Me fasse peur ni me soucie ? Un boeuf est plus puissant que toi : Je le mène à ma fantaisie. " A peine il

l'histoire et aurai peur que cette situation lui arrive, il pourra donc plus avoir tendance à se comparer au personnage inférieur de l'histoire et non à celui qui le domine physiquement ou moralement.Dans « Le Lion et le Moucheron », on voit par exemple le Lion qui se fait battre par le moucheron, l'enfant retiendra que même s'il est plus fort que l'autre, il ne faut pas pour autant se moquer de lui par peur que quelqu'un d'autre ne lui fasse la même chose. Les fables sont aussi une bonnes chose dans

c’est d’ordinaire le plus brillant, l’enfant ne manque point de se faire lion ; et quand il préside à quelque partage, bien instruit par son modèle, il a grand soin de s’emparer de tout. Mais, quand le moucheron terrasse le lion, c’est une autre affaire ; alors l’enfant n’est plus lion, il est moucheron. Il apprend à tuer un jour à coups d’aiguillon ceux qu’il n’oserait attaquer de pied ferme. Dans la fable du loup maigre et du chien gras, au lieu d’une leçon de modération qu’on prétend lui donner

On lui fait apprendre » : c'est contre la nature de l'enfant. *Morale confuse pour l'enfant -Exemples (§3 à 6) : *(l.17-18), « le fromage » (corbeau et le renard) , « la fourmi » (cigale et la fourmi) *(l.25), « lion, partage » (le lion et le moucheron) *(l.40), fable du loup et du chien §7 -> commence par « ainsi » = Conclusion + arguments ad hominem (l.59) Dernier § --> s'addresse à la Fontaine : « Composons » -> il en conclut que les fables sont pour les adultes On voit donc qu'il