Moucheron

c’est pourtant l’une des moralités de « Le Lion et le Moucheron », du Livre II des Fables de La Fontaine. Le Lion, fat animal, du haut de son statut de Roi, insulte le Moucheron, « chétif insecte ». Piqué au vif, ce dernier met un point d’honneur à faire ravaler sa fierté au Fauve. La Bête est harcelée « en cent lieux », « tantôt (...) [à] l’échine, et tantôt [au] museau » et le lecteur souffre avec lui, suit les mouvements frénétiques du moucheron, s’en agace, mais la rage et les griffes de Lion ne

c’est d’ordinaire le plus brillant, l’enfant ne manque point de se faire lion ; et quand il préside à quelque partage, bien instruit par son modèle, il a grand soin de s’emparer de tout. Mais, quand le moucheron terrasse le lion, c’est une autre affaire ; alors l’enfant n’est plus lion, il est moucheron. Il apprend à tuer un jour à coups d’aiguillon ceux qu’il n’oserait attaquer de pied ferme. Dans la fable du loup maigre et du chien gras, au lieu d’une leçon de modération qu’on prétend lui donner,

personnifiés, ce sont des courtisans hypocrite qui imite la tristesse du roi, suite au décès de sa femme. La Fontaine fait le procès de l'hypocrisie qui règne à la cour. De même pour le lion et le moucheron, le lion représente une personne à haut pouvoir qui craint personne et qui est insouciante et le moucheron une personne vantarde et confiante. « Les fées » de Charles Perrault est un conte vivant et merveilleux qui illustre une morale avec une dimension argumentative. Il conte l'histoire d'une mère

prose satirique. Écrit par Panayotis MOULLAS (Encyclopédie Universalis), professeur de littérature néo-hellénique à l'université de Salonique 2. Un petit extrait… 1. La mouche n'est pas le plus petit des êtres ailés, si on la compare aux moucherons, aux cousins, et à de plus légers insectes ; mais elle les surpasse en grosseur autant qu'elle le cède elle-même à l'abeille. Elle n'a pas, comme les autres habitants de l'air, le corps couvert de plumes, dont les plus longues servent à voler; mais

fois en vers, contiennent une morale. Pourtant certaine fois la morale n’est pas perçut par tout le monde et demande une grande réflexion sur le sens de celle-ci, comme par exemple pour la fable « le lion et le moucherons » de Lafontaine, qui dans la forme raconte l’histoire d’un moucheron qui tue un lion malgré sa petite taille; la morale dit : «Les plus à craindre sont souvent les plus petits ; L'autre, qu’aux grands périls tels a pu se soustraire, Qui périt pour la moindre affaire. » Pourtant

pris quatre. implicite L’aigle et l’escarbot Un escarbot se venge de l’aigle, qui ne l’a pas écouté quand il prenait la défense d’un lapin, en se prenant à ses oeufs. Se mefier des plus petits. explicite Le lion et le moucheron Lion et moucheron, bagarre, par ruse le moucheron remporte en faisant se tuer le lion lui-même. Mais il se fait tuer par une araignée. Entre nos ennemis les plus a craindre sont les plus petits explicite Le lion et le rat Un lion laisse la vie a un rat, et un jour il

brutale et injuste et utilise des verbes d’actions qui expriment la brutalité: “dévorer” (V29) ; “tondis” (58) ; “étaient frappés”(V7). De même, dans “Le Lion et le Moucheron” le lion renvoie à un personnage royale. Le fabuliste critique non seulement le roi, mais les courtisans également. En effet, ces courtisans sont associés au Moucheron. De plus, nous remarquons que La Fontaine critique la monarchie absolue dans ses fables. Le discours critique permet donc aux adultes d’analyser et d’interpréter

Corbeau et le Renard, de La Fontaine le lecteur s’identifie dans un premier temps au renard qui est rusé et qui triomphe mais dans un second temps il en tire une leçon de la plus basse flatterie. De même, dans la fable le Lion et le Moucheron, il se comparera au moucheron qui gagne un combat déloyal contre le Lion puis se remettra en question. En conclusion, L’apologue est depuis très longtemps une forme d’argumentation qui paraît toujours aussi efficace. Son efficacité est dû, avant tout parce

Rousseau adresse-t-il aux gens qui font apprendre des fables aux (2 points) enfants pour les éduquer (texte F) ? À quelles fables fait-il allusion ? Écriture • Commentaire (16 points) Vous ferez le commentaire de la fable « Le Lion et le Moucheron » de La Fontaine (texte C). • Dissertation La Fontaine écrit dans sa préface aux Fables : « L’apologue est composé de deux parties dont on peut appeler l’une le Corps, l’autre l’Âme. Le Corps est la fable ; l’Âme, la Moralité. » Le critique Sainte-Beuve

Dissertation :Sujet : Dans Le Dictionnaire des idées reçues , Flaubert, d’une formule provocante, défini la poésie : « Tout à fait inutile et passée de mode ». Peut-on partager ce jugement ? Du grec « poïeïn », qui signifie « travail » et « création », la poésie est un langage particulier utilisé par les poètes pour exprimer leurs sentiments, s’engager ou embellir le quotidien. A ce sujet, nous avons à étudier le point de vue de Flaubert, qui nous dit dans Le Dictionnaire