Mon beau-père et moi

littéraire qui naquit en Europe au XIXème siècle. Il se caractérise par la volonté de décrire la société le plus précisément possible, de manière objective et totale, sans idéaliser le quotidien et omettre le banal. Honoré de Balzac est considéré comme le père de cette philosophie, au même titre que Stendhal. Son œuvre, appelée La Comédie Humaine, décrit minutieusement la lutte des classes et témoigne de la place de l’argent dans les rapports sociaux. La société est représentée exhaustivement dans tous ces

monoparentales ou recomposées, figurent désormais parmi les multiples facettes de l'institution familiale. Ces changements ont créé des situations auxquelles le droit n'a pas toujours été en mesure de répondre. Comment par exemple jouer pleinement son rôle de père quand on se sépare de sa compagne ou de sa femme ? Un couple homosexuel peut-il prétendre aux mêmes droits qu'un couple marié ? Comment concilier le respect de la femme qui souhaite accoucher dans le secret et le désir légitime de l'enfant qui veut

Document 1 : Christine Castelain-Meunier, Pères, mères, enfants (1998) Document 2 : Philippe Geluck, Entrechats (1999) Document 3 : Nicolas Jonas, La famille (2007) Document 4 : Victor Hugo, Les Misérables, Tome III, Livre III, « Le grand-père et le petit-fils » (1862) DEUXIÈME PARTIE : ÉCRITURE PERSONNELLE ( / 20 POINTS) Selon vous, les liens intergénérationnels s’imposent-ils ou se construisent-ils ? Vous répondrez à cette question de façon argumentée en vous appuyant sur les documents

Document 1 : Christine Castelain-Meunier, Pères, mères, enfants (1998) Document 2: Philippe Geluck, Entrechats (1999) Document 3 : /' Nicolas Jonas, La famille (2007) Document 4: Victor Hugo, Les Misérables, Tome III, Livre III, « Le grand-père et le petit-fils» (1862) DEUXIÈME PARTIE: ÉCRITURE PERSONNELLE ( 120 POINTS) Selon vous, les liens intergénérationnels s'imposent-ils ou se construisent-ils? Vous répondrez à cette question de façon argumentée en vous appuyant sur les documents du

château de toute agression extérieure.              Cent ans plus tard, comme c'était prévu, un jeune et beau prince, de retour de la chasse aperçoit le château et va délivrer la Belle endormie. Le jour même ils se marient. De cette union naissent deux enfants, une fille Aurore et un fils, Jour. Pendant deux ans, le couple vit heureux mais quand son père meurt, le prince doit succéder à son père et retourne vivre avec sa famille dans le palais paternel. Or il se trouve que le prince a pour mère une

Auguste Lantier : ouvrier tanneur (fait sac) puis chapelier(fait chapeau), beau parleur, dépensier et infidèle ; père de Claude et Étienne ; après avoir dépensé l'héritage de Gervaise, il l'abandonne, il a une mentalité de parasite ; il réapparaît au cours du roman et s'installe chez les Coupeau. Coupeau : ouvrier zingueur, honnête et travailleur au début du roman ; jusqu'à sa chute d'un toit, il reste sobre en souvenir de son père, alcoolique ; sa rancœur envers le travail et la peur de remonter sur

étant quelqu'un d'important, porteur de valeurs et faisant preuve d'un grand courage. Ces deux héros se trouvent au centre d'une situation tragique; Phèdre aime d'une passion coupable et honteuse, Hippolyte, son beau-fils et Rodrigue, à la demande de son père, doit aller tuer le père de sa bien-aimée Chimère. En les comparant, nous montrerons tout d' abord leurs points communs, puis nous essaierons de voir leurs différences afin d'évoquer leur héroïsme. En effet, Phèdre et Rodrigue sont

GEORGE DANDIN MOLIÈRE George Dandin ou Le Mari confondu Comédie Acteurs. GEORGE DANDIN, riche paysan, mari d'Angélique. ANGÉLIQUE, femme de George Dandin et fille de M. de Sotenville. MONSIEUR DE SOTENVILLE, gentilhomme campagnard, père d'Angélique. MADAME DE SOTENVILLE, sa femme. CLITANDRE, amoureux d'Angélique. CLAUDINE, suivante d'Angélique. LUBIN, paysan, servant Clitandre. COLIN, Valet de George Dandin. La scène est devant la maison de George Dandin. Acte I Scène I GEORGE DANDIN

ni religieux. Comme le dit si bien Ex 20,17 : « Tu ne voleras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartient ». La femme est toujours et nécessairement le bien d'un homme : père, mari, fils, beau-frère, beau-père, beau-fils, cousin, etc. Bien malgré elle, la femme adultère1 devient l'enjeu d'un groupe d'hommes, scribes et pharisiens. Ceux-ci faisant fi de sa vie, s'en servent pour piéger Jésus. Femme, elle est nécessairement la propriété de quelqu'un

cet homme était son ancien beau-père qui avait dû faire de la prison à cause d’elle et de son fils qui s’était sauvé. L’homme mystérieux raconta tout l’histoire en détail. Les hommes conclus qu’elle était coupable et que sa sentence serait la peine de mort. Dans cette scène on peut voire quelques personnages principaux qui joue un rôle très important. D’Artagnan est un jeune homme courageux de 18 ans souhaitant devenir mousquetaire. Il a perdu la lettre de son père lui permettant de devenir