Mon beau-père et moi

Gertrude est la mère d'Hamlet, elle est donc la femme de ce dernier, roi du Danemark. Quand celui-ci meurt empoisonné par son frère Claudius, Gertrude décide d'épouser Claudius. Hamlet mettra tout en œuvre pour montrer que Claudius est l'assassin de son père. Gertrude meurt en buvant un poison préparé par son mari et destiné à son fils. Elle a sûrement compris que Claudius était responsable de la mort de son défunt mari et qu'il voulait maintenant tuer son fils qui en savait trop, pour protéger Hamlet

et dénonce le mauvais traitement qu’il subit par son grand frère Olivier, en expliquant que le testament de leur père n’est pas respecté. Olivier devait faire de son frère un gentilhomme mais il le considère comme un valet. (Olivier entre sur la scène et Adam part).Orlando menace Olivier de partir avec la part du testament qui lui revient de droit, et affirme que l’esprit de son père est avec lui. (Orlando sort de la scène et Charles arrive).Charles, le lutteur, apprend à Olivier que Orlando prévoit

s'en détourne aussi pour voir la beauté de la vie. Composition A la Lumière d'Hiver /!\ Le recueil A la Lumière d'Hiver possède 3 grandes sections : « Leçons » → écrit à la mort de son beau-père (père de sa femme), Louis Haesler → voir p9 où tu découvriras une dédicace dédiée à son beau père, mais il ne précise pas dans le livre pour qui est dédiée la dédicace. « Chant d'en bas » → Morts d'amis proches → Mort de sa mère en 1974 « A la lumière d'hiver » → Aucune raison particulière

fut envoyé par son père à Trézène en Argolide pour revendiquer le trône de son aïeul Pitthé. Ce jeune homme qui était un excellent chasseur construisit un temple à la déesse Artémis, ce qui lui attira ses faveurs. Phèdre tomba amoureuse d’Hyppolite à son retour n'osa pas révéler cette passion à son beau-fils mais elle se confia à sa nourrice qui la conseilla d'envoyer une lettre à Hippolyte dans laquelle elle lui avouait son amour et lui racontait les aventures de son père qui avait abandonné

Mais le père s’intéresse aussi à l’argent (« les affaires » (l.36)). Il demande d’ailleurs à son fils si sa femme est aisée et est « ému » (l.41) par sa richesse, ce qui nous pousse encore plus à penser qu’elle est grande et surtout que les parents sont pauvres, et ce qui créé un rapprochement entre la femme et l’argent, comme tout au long du roman. A ce moment, nous remarquons aussi l’intimité, la complicité entre Duroy et son père, qui prend « son fils par le bras »

véritable identité à Marius, Valjean devientpersona non grata dans la demeure du jeune couple. Il sombre dans une mélancolie absolue, et sera sauvé d’une mort cruelle et solitaire par Cosette et Marius qui, à son chevet de mourrant, l’appelleront « Père ». Heureux, il pourra enfin rendre l’âme, à la lueur des chandeliers de l’évêque. -Dans le texte « La mort de Gavroche » par Les Misérables les faits se développent le 5 juin 1832 quand une manifestation républicaine dégénère en émeute. Gavroche est

|Baudelaire perd son père à 6 ans et vit le remariage de sa mère un an plus tard comme une | | |trahison. Au gré des mutations de son beau-père, il poursuit ses études et devient bachelier. Il| | |s’installe alors dans une pension de famille où vivent des poètes et se lie avec une prostituée.| | |Son beau-père devenu Général, le fait embarquer pour les

ECRITURE D’INVENTION JACQUES. – C’était il y a quelques années. A cette époque, mon père, possédait une grande plantation de canne à la Martinique et nous y vivions avec ma mère. Etant son fils unique, je devais reprendre la plantation et la faire prospérer à sa mort. Un jour, alors que je me promenais sur le port de Saint-Pierre, j’aperçus une négresse qui descendait la rue, un grand panier sur sa tête. Elle marchait vite, la tête haute, un bras soutenant le panier et l’autre se balançant au rythme

Paris. Son père déja agé de soixante ans à sa naissance meurt six ans plus tard, laissant Charles vivre quelques mois seul avec sa mère avant qu'elle ne se remarie avec un officier promis a un bel avenir. Ses études furent remplis de rêverie, les supportant difficilement. Il a déjà un grand intérêt pour la poésie. Il lit Victor Hugo et Sainte-Beuve. Composant quelques vers, il se fait renvoyer avant de terminer son baccalauréat, qu'il terminera dans un autre collège. Son beau père, maintenant

vieux chien dans la chambre de service. Il le prend tout de suite dans ses bras, mais quand il remarque le visage triste de sa mère, il le repose vite. C’était la nuit suivante, lorsqu’il a inventé un frère. Contrairement à lui, son frère est fort, beau, courageux et talentueux. Il protège Philippe, mais fait aussi obstacle au développement de sa propre personnalité. Les parents de Philippe, Maxime et Tania sont les deux des sportifs et comme son frère invisible beaux et en bonne santé. Ils aiment