Mise au tombeau

spirituali) de Palestrina et cette polyphonie simple qui se développe dans le cercle de l’Oratoire, sous l’impulsion de saint Philippe Neri (mort en 1595) dont la Congrégation se mettra au service des pauvres (Les Sept œuvres de Miséricorde, de Naples, mise en scène dramatique d’un thème qui remonte à la fin du Moyen Age, sont bien représentatives de ce militantisme caritatif). Cette musique nouvelle, qui oppose volontiers la voix en solo à l’architecture riche et complexe de la polyphonie médiévale et

(comique de répétition, termes à double entente, ironie de Don Juan). Une scène qui renforce l’ambiguïté de la pièce Tonalité comique et tragique mêlées dans l’alternance des scènes : cette scène est située entre deux scènes tendues (visite au tombeau et remontrances du père). Dans la scène elle-même l’image de Don Juan est ambiguë (voir ci-dessous). Intérêt dramatique de la scène On a parlé de l’acte IV comme de l’acte des « fâcheux » : quatre visiteurs (M. Dimanche, Elvire, Don Louis

situation du poète, prise de conscience de l’approche de la fin. Le poème commence sur « maintenant que », hypozeuxe et anaphore reprise trois fois dans les quatrains introductifs du poème afin de souligner l’importance du moment de réalisation. Cette mise en situation déroutante marque un aboutissement, le poète est face à une situation à laquelle il ne peut échapper, et qui marque une rupture avec un avant qui sera développé dans le reste du poème. Cela fait écho à la datation du poème, qui marque

de Pitié datée de 1476, une charmante sculpture Fuite en Egypte de la fin du XVe siècle, ainsi qu'un admirable Christ roman du XIIe siècle, et enfin une mise au tombeau de 1485. Vierge de Pitié (1476) Fuite en Egypte Christ roman du XIIe siècle Abbaye Saint Pierre de Moissac - La mise au tombeau La nef possède, près du chœur, un « document » du plus grand intérêt historique : une plaque datée de 1063. Le texte, traduit du latin, dit : «C'était

sous les couvertures. Bruno avant de s'endormir eu une idée. Il avait toujours eu l’envie de visiter un tombeau égyptien.Le lendemain, en se réveillant, son idée ressurgit. Il élabora un plan pour partir en Égypte découvrir des trésors. Malheureusement, il n'avait plus assez d’argent pour prendre l'avion. Alors il se dit que la pierre pourrait le téléporter directement à l'intérieur du tombeau. Bruno trouva son idée géniale et se prépara. Il mit dans son sac un sandwich, de la pâtée pour chat car

d'appliquer la sentence de mort à Antigone. Après un long débat avec son oncle sur le but de l'existence, celle-ci est condamnée à être enterrée vivante. Mais au moment où le tombeau va être scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, fiancé d'Antigone, s'est laissé enfermer auprès de celle qu'il aime. Lorsque l'on rouvre le tombeau, Antigone s'est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, s'ouvre le ventre avec son épée. Désespérée par la disparition du fils qu'elle adorait, Eurydice

acte IV : Le tombeau ; acte V : La noce. 3 2°) Les scènes Changement de scènes quand un personnage sort ou entre. C) Aménagement de l’espace théâtral 1°) Une seule scène pour plusieurs lieux : Par exemple : Le balcon : Barbier de Séville ; Roméo et Juliette de Shakespeare La trappe : Ubu-roi ; Alfred Jarry Mise en abyme : théâtre dans le théâtre, ex. : Hamlet, Illusion comique, Montserrat 2°) Les décors et les objets 6 Décors différents dans Dom Juan. Une statue, un tombeau. Les objets

d'enfreindre cet ordre pour accomplir un devoir qu'elle considérait comme sacré. Pour sa désobéissance, Créon la condamna à être enfermée vivante dans le tombeau des Labdacides, et ainsi, la faire mourir de faim. Le devin Tirésias conseilla au roi sous peine de malédiction d’"enterrer les morts et déterrer les vivants". Créon comprit et se précipita au tombeau, mais il était déjà trop tard. Antigone s'était pendue et son amant, Hémon, chercha à tuer son père. En le maudissant il se suicida à son tour, suivit

moments, ô Dieu, je voyais, à travers La pierre du tombeau, comme une lueur d'âme ! Oui, jadis, quand cette heure en deuil qui me réclame Tintait dans le ciel triste et dans mon coeur saignant, Rien ne me retenait, et j'allais ; maintenant, Hélas !... - Ô fleuve ! ô bois ! vallons dont je fus l'hôte, Elle sait, n'est-ce pas ? que ce n'est pas ma faute Si, depuis ces quatre ans, pauvre coeur sans flambeau, Je ne suis pas allé prier sur son tombeau ! III Ainsi, ce noir chemin que je faisais

pour la patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau. Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère ; Et, comme ferait une mère, La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau ! Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour elle ! Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts ! À ceux qu'enflamme leur exemple, Qui veulent place dans le temple, Et qui mourront comme ils sont morts ! C'est pour