Ministre d'État

roi possède le pouvoir exécutif fédéral4. Il nomme et révoque les ministres5. Pour cela, la tradition héritée de Léopold Ier veut qu’il nomme un « formateur » chargé de composer un ministère6. Ce choix n’est pas seulement le choix du futur premier ministre mais aussi, à travers lui, le choix d’une coalition et d’une majorité au Parlement7. Le gouvernement doit cependant obtenir un vote de confiance au Parlement et l’on constate aujourd’hui que le roi ne peut plus nommer que le candidat proposé par

DE NOMINATION DU PREMIER MINISTRE. Le premier ministre, personnalité politique choisit par le président de la République, dispose de plusieurs pouvoirs qu’il exerce seul. Le pouvoir réglementaire et de nomination, ce sont les pouvoirs mis a la disposition du premier ministre pour pouvoir gouverner la France de manière efficace. On peut voir que sous les républiques qui précèdent la V°, notamment dans les républiques ou la présidence est en retrait, le premier ministre a une marge de manœuvre

gouvernement est responsable devant l’assemblée et devant le chef de l’État. -De façon concrète l’indépendance de l’exécutif se caractérise par certaine disposition: La désignation et la nomination du 1er ministre par le Président de la République La dispense de contreseing par les ministres prévue à l’article 19 de la Constitution pour certains actes du Président de la République, ceux qui lui permettent d’exercer sa fonction d’arbitrage (notamment le référendum, la dissolution…)

autorités décentralisées et qui s’exerce sous un régime de puissance public. Il faut noté que du point de vu matérielle l’administration peut être identifier par rapport au contenu des activités administratives. Au niveau de l’État c’est le premier ministre en vertu de l’art 21 qui exerce le pouvoir réglementaire. L’activité administrative consiste aussi a fournir des prestation d’utilité. C’est deux fonctions exprime le double aspect de la dimension matérielle du concept d’administration. La définition

« Le Conseil d’Etat un organne de conseil bien spécial … » Le Conseil d’Etat est en partie l’héritier du Conseil du Roi de l’Ancien Régime, qui exerçait déjà des tâches de consultations administratives et certaines fonctions contentieuses. Le Conseil d’Etat naît en l’an VIII Frimaire (15 décembre 1799), dans les termes de l’article 52 de la Constitution de cette année ci : « Sous la direction des consuls, un Conseil d'Etat doit rédiger les projets de lois et les règlements d'administration publique

proposition du Premier ministre, le Président de la République a nommé : M. Alain Juppé, ministre d’Etat, ministre de la défense et des anciens combattants ; Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes ; Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement ; M. Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés ; M. Brice Hortefeux, ministre de l’intérieur, de

marque le passage à la Troisième République. Concernant le pouvoir règlementaire, il semble nécessaire de rappeler la loi de 1872 marquant le passage à la justice déléguée, avec l’indépendance du Conseil d’Etat, et la mise en place du recours en annulation. Ainsi, le contrôle du Conseil d’Etat commence en 1872. Ensuite, les Constitutions de 1946 et de 1958 conditionnent les évolutions du pouvoir règlementaire. Comment l’évolution du pouvoir règlementaire marque-t-elle la réaffirmation du pouvoir

République désigné par la raison et le sentiment des Français pour être le chef de l’Etat et le guide de la France. » Cette décision, tirée d’un discours du Général de Gaulle, s’accorde parfaitement avec l’ambiance de l’arrêt rendu par le Conseil d’Etat le 10 septembre 1992 : l’arrêt MEYET. En effet, dans les années 1992, l’Europe s’élargit et une volonté de mettre en place un référendum en vue de ratifier les institutions et les normes nouvelles issue du traité de Maastricht se dévoile nécessaire

 Lionel Stoléru, secrétaire d’Etat auprès du ministre du Travail et de la Participation (Travailleurs manuels et immigrés) affirme, à Metz (Moselle), qu’"il n’est plus questions d’accueillir un seul étranger en France" ; le 15, condamnation des propos de M. Stoléru par les syndicats CGT et CFDT et par la Fédération des associations de solidarité avec les travailleurs immigrés (FASTI). 8 juillet 1981 Déclaration de politique générale de M. Pierre Mauroy, Premier ministre, qui présente le programme

le Sénat 1°- Le Gouvernement Deuxième pôle de l’exécutif (bicéphalisme) L’évolution du rôle du chef du Gouvernement (le poids de l’article 8) La fonction politico-administrative du Gouvernement : les ministres sont des affidés politiques du chef de l’Etat mais aussi des chefs de département ministériel ayant sous leurs ordres des fonctionnaires. 2°- Le Sénat - Deuxième pôle du pouvoir législatif (bicamérisme) - Chambre