Micro Trottoir

« stérilisation » est généralement réalisée à 115 ou 120 °C pendant 10 à 30 minutes. 2) Le four Pasteur permet la stérilisation à sec du matériel en verre ou en métal et doit pouvoir atteindre une température de 170 - 180°C. 3) Les système de micro ou ultra filtration à membrane sont utilisés pour les milieux de culture liquides non autoclavables et pour l’analyse e liquides (eau par exemple). Contrôle microbiologique des aliments – Manuel technique. Polytech Département STIA. Page 6

spectre électromagnétique. Principe actif : Lorsqu'un micro-organisme est exposé aux UV-C, le noyau des cellules est modifié sous l'effet du processus photo-lytique, empêchant toute division et donc reproduction. Dose d'ultraviolet : La dose d'UV nécessaire est le produit de l'intensité des UV (exprimée en énergie par unité de surface) par le temps de résidence. → DOSE = I x T Elle s'exprime généralement en mJ/cm2 (1mJ/cm2=1000 micro Watt second/cm2) La dose minimale donnée par Willand fournit

Paramètres mesurés …………………………………………………………………………………………………………… 42 4.3. La régulation …………………………………………………………………………………………………………………… 42 5.1. Objectifs et choix des méthodes ………………………………………………………………………………………… 5.2. Méthodes de séparation des particules et des micro-organismes du milieu de culture ………………… 5.3. Extraction du produit ………………………………………………………………………………………………………… 5.4. Concentration et purification du produit ……………………………………………………………………………… 4. Suivi de la fermentation et régulation ……………………………………………………………………………

· II. Conservation par élimination de l'eau. · La désydratation : Il s'agit de l'une des plus anciennes méthodes de conservation connues. Cette méthode consiste à appauvrir l'aliment en eau. Les micro-organismes pourront alors cesser de se dévellopper. Après réhydratation, l'aliment ne reprend pas son gôut de bas ainsi que sa forme.[->0] Dans la conservation des aliments il existe différent types de déshydratation, les plus utilisés sont : · La lyophilisation. La lyophilisation consiste

XIXe Siècle, Sir William Jenner a apporté la première définition de la fièvre typhoïde en distinguant clairement cette maladie du typhus transmis par des poux et présentant des symptômes différents. Karl J. Eberth a ensuite été le premier à isoler le micro-organisme à l'origine de la maladie en 1880, fournissant ainsi les bases d'un diagnostic définitif. Avant cela, il était difficile d’établir un diagnostic, mais au vu des travaux publiés sur la typhoïde, certains chercheurs ont réussi à prouver que

laboratoire apporter le plus rapidement possible mon bilan. Pourquoi ? J’explique à Mme R, le soin que je vais faire, et lui demande son consentement car elle est en droit de refuser : UE 1.3 J’effectue une friction de SHA pour éliminer les micro-organismes présents sur mes mains. UE 2.10, compétence 2 Je mets des gants non stériles : Précautions standards afin de limiter le risque d’AES. UE 2.10, Compétence 2 Je prends une compresse de Bétadine alcoolique, et la passe sur la peau de la

Ces critères sont fixés pour chaque catégorie de denrées d’origine animale. Il est nécessaire que ces critères figurent sur le bulletin d’analyse. Ces critères sont des valeurs maximales à ne pas dépasser. Interprétation des résultats : Micro-organismes aérobies cultivant à 30 °C = M.A.C. 30 °C = flore totale = flore aérobie mésophile Ils renseignent sur la « charge bactérienne globale » de l’aliment. Un excès de M.A.C. 30 °C est la conséquence soit d’une pollution (malpropreté générale)

nez Mouvements des cils vibratiles au niveau de l’arbre respiratoire Lavage sous pression de la muqueuse urétrale par l’ urine ... à s’opposent à l’implantation des micro-organismes 2. Facteurs chimiques : sécrétions comme la salive, le mucus nasal et bronchique, le suc gastrique... → Luttent de façon toxique, ou engluent les micro-organismes. IV. REACTION IMMUNITAIRE 1. La R.I non spécifique ou innée C’est la première réaction contre l’antigène. Elle est non spécifique

AGBODOSSINDJI Pulchérie M. AMOUSSOUGA Franck AKOWANOU Edwige AKPOME Belmonde ADOMOU Rachelle GNANGUE Marc AGASSOUNON Cédric I- INTRODUCTION II- DEFINITION III- EPIDEMIOLOGIE DE QUELQUES MALADIES MICRO BIENNIES DE GRANDES PREVALENCES DANS NOS REGIONS. A- Poliomyélite B- Tétanos C- Rougeole D- Fièvre typhoïde E- Choléra F- Tuberculose IV- TABLEAU MONTRANT QUELQUES BACTERIES ET LEURS MODES D’ACTIONS EFFET SUR L’ORGANISME (SYMPTOME). V- CONCLUSION

BACTÉRIOLOGIQUE DES DENREES ALIMENTAIRES AZIZI DJAMAL DIFFERENTES METHODES D’ANALYSE ANALYSE BACTERIOLOGIQUE DES ALIMENTS: • Buts de l’analyse? • Paramètres recherchés? • Dénombrement des micro-organismes? • Définition des germes recherchés? Buts de l’analyse? Rechercher et dénombrer les micro-organismes: Qualité marchande Germes qui provoquent l’altération de l’aliment. Saveur, odeur… Qualité hygiénique Germes potentiellement pathogènes qui provoquent l'intoxication alimentaire