Metaphore Dans Sous L Orage

thème de l eau et est présentée comme une cruelle douleur. Lecture: Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,Et la mer est amère et l'amour est amer,L'on s'abîme en amour aussi bien qu'en la mer,Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau,Le feu

présente comme une maladie, une pathologie. Ce poème du désespoir se déploie en 5 quatrains d’alexandrins à rimes croisées, à partir du sentiment d’oppression peut-être déclenché par des conditions atmosphériques ressenties comme pesantes avant un orage. Baudelaire en développe les conséquences sur le physique, les sens, mais aussi sur le mental. Le poème propose donc une sorte de paysage état d’âme fantasmagorique qui évolue pour retracer l’histoire d’une crise nerveuse. Il s’agit ici d’une ultime

L'ennemi Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique

indirectement d'Esope) et de la fable versifiée Nous pouvons parler de réécriture car: - reprise des mêmes éléments constitutifs: Un récit (corps) et une morale, explicite ici v 5 et 6 (âme). Mais morale originale car elle est posée sous la forme d'une question rhétorique et non sous la forme d'une affirmation. L'autre originalité réside dans le fait que c'est l'un des personnages qui la formule. Même schéma narratif: discussion entre deux végétaux sur leur résistance respective, tempête, vent et combat

explicite la relation de ressemblance entre le comparé et le comparant. Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage. (Dubellay) METAPHORE Comparaison elliptique où l’outil de comparaison et parfois le comparé sont absents. Le point de comparaison n’est pas explicite. De grands corps énormes qui paraissent avoir des ailes blanches. (Fontenelle) METAPHORE FILEE Métaphore qui se trouve développée à travers une succession de termes. Au début, il y a les terres immenses du jeu, les grandes prairies

devenue maintenant » = Amour brisé 2) Destruction HOMMES – Deuil, tristesse > métaphore « pluie de deuil terrible et desolée» - Les morts et les blessés > « est il mort disparu ou bien encore vivant » « sang » PAYSAGES - Pays ravagé > « Brest dont il ne reste rien » « tout est abimé » = vision apocalyptique - Bombardements > métaphore filée « pluie de fer » « orage de fer d'acier de sang » 3) Impuissance Regret & tristesse > exclamation « Oh

existait. « ...duels d’artillerie » cela nous donne l’impression que nous observons une dispute entre deux personnes qui vont tirer sur l’un l’autre chacun à son tour et que la victoire dépend de celui qui ne tombera pas après le coup de feu. La métaphore « sous le voile de brume impénétrable » donne à entendre que nous verrons quelque chose de mystique, invisible ou inattendue qui peut décourager l’armée ennemie et permettre de gagner cette bataille. La nature continue à nous aider à comprendre mieux

Ngakona, chef de clan Abatetwa (une fraction du peuple Ngouni). Sa mère se nomme Nandi. L’union entre Senza ngakona et Nandi n’est tolérée que parce que Senza Ngakona est un des chefs du clan des Abatetwa. Chaka est d’abord à la charge de son père, puis sous la pression des co-épouses de ce dernier est renvoyé chez sa mère. C’est alors le début d’une vie de brimades, d’humiliations et d’oppression : berger, Chaka est maltraité par ses camarades, traité de bâtard, battu et laissé pour mort sur un terrain

connerie la guerre. 4 Prévert évoque les ravages de la guerre par le biais de métaphores et de métonymies aux vers 40-41 : cette pluie de fer (pour désigner les armes et les bombes) / De feu (pour désigner les décharges des armes et les explosions) d’acier (alliage de fer et de carbone qui désigne les armes et le revêtement des bombes) de sang (pour désigner les nombreuses victimes de ces bombardements). La métaphore de la pluie est reprise au vers 49 : une pluie de deuil terrible et désolée, pour

| |Et la mer est amère, et l'amour est amer, | |L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, | |Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. | |Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, | |Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, | |Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer