Metaphore Dans Sous L Orage

sincérité, c’est en effet l’habileté poétique qui se déploie dans ces vers adressés à Phillis : le poète, maître des images et des sonorités, ouvre à la découverte des intempéries du coeur – la mer et ses tumultes sont alors utilisés pour nourrir une métaphore filée au long du poème. Ce dernier apparaît dès lors comme le prétexte à une affirmation esthétique et comme lieu de considérations plus profondes, concrétisant la question suivante : en quoi le topos amoureux se trouve ainsi renouvelé par l’esthétique

se tire une merveilleuse clarté » I- de la nécessité de s'ouvrir aux autres La dénonciation du repli sur soi. a) présence d'adjectifs qualificatifs : « contraints » « amoncelés » « vue raccourcie à la longueur de votre nez » « sous nous » b)Le recours aux exemples essaye d'imager le + possible l'égocentrisme de la société. A la recherche d'une lucidité Il se tire une « merveilleuse clarté » pour le jugement des humains. a) Socrate philosophe qui

lassitude, tous sentiments incompatibles avec la fiévreuse fuite en avant du train. a. L’angoisse du voyageur • L’éloignement est stylisé (la durée magique de « sept jours » : distance mesurée en jours, temps de l’ennui), métaphorisé (la métaphore filée : « Paris a disparu et son énorme flambée (= le foyer, la « maison ») Il n’y a plus que des cendres continues ») ; l’exil est suggéré par l’évocation des « chiens de malheur » « à nos trousses » qui chasse les voyageurs. • En effet, le voyage

face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête, Sans que rien manque au monde immense et radieux ! Victor Hugo, Les Feuilles d'AutomneAnnonce des axes Il serait intéressant de savoir en quoi le

comparé et le comparant) à l’aide d’un outil comparatif (comme, tel, semblable à, etc.). Transformer la réalité. « Son regard est pareil au regard des statues » (Verlaine) La métaphore Rapprocher deux éléments différents sans outil comparatif. Transformer la réalité. « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage » (Baudelaire) La personnification Donner à un objet ou à un animal, des propriétés humaines. Rendre vivant quelque chose qui ne l’est pas. « Le crépuscule ami s’endort dans

verbes au participe présent «  vous émerveillant », « chantant mes vers », évoquent la réaction admirative des auditeurs. Monologue imaginé par le poète, de Hélène évoquant ses regrets en parlant : « Ronsard me célébrait... ». Le soir également une métaphore de la vieillesse : Ronsard imagine Hélène à la fin de sa vie ne utilisant des verbes au futur («  serez, direz » ). La représentation d’Hélène vieille est inutile, est dévalorisante.L’adverbe «  Lors » marque le début d’un évènement simultané : Hélène

PEDAGOGIQUE Thème Présenté par : Sous la direction de : Abdoulaye NDAO M. Mamadou DRAME F1A lettres Modernes Sommaire Remerciements Introduction …………………………………………………………………………………………….. 1 Première partie : préliminaires : bref aperçu sur l’homme et l’œuvre I – Biographie et bibliographie de Seydou Badian ……………………………………….. 2 II – Contexte de production de « sous l’orage » …………………………………………… 2 III – Résumé de

opérer un choix dans l'immense littérature poétique française. Mes critères de sélection ont été : la capacité d'un poème à m'émouvoir par son/ses sens, sa musicalité, j'aime beaucoup les sonnets. La capacité d'un poème à me faire imaginer : par des métaphores recherchées, des points de vue ou des expériences que j'aurais en commun avec le poète, la capacité d'un poète à exprimer ses idées avec clarté ou encore celle de bien utiliser l'ironie. Je vis, je meurs de Louise Labé (vers 1524-1566), du recueil

opérer un choix dans l'immense littérature poétique française. Mes critères de sélection ont été : la capacité d'un poème à m'émouvoir par son/ses sens, sa musicalité, j'aime beaucoup les sonnets. La capacité d'un poème à me faire imaginer : par des métaphores recherchées, des points de vue ou des expériences que j'aurais en commun avec le poète, la capacité d'un poète à exprimer ses idées avec clarté ou encore celle de bien utiliser l'ironie. "Je vis, je meurs "de Louise Labé (vers 1524-1566), du

certain désordre et qu’elle donne l’impression de ne jamais se finir. Ex : « troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines, s’étaient mêlés, traversés, mariés, confondus. » V. Hugo ( n.f.) : Figure d’analogie. Représentation sous une forme figurée, concrète (ce peut être une image, une scène ou une personnification), d’idées ou de notions abstraites. Ex : la mort représentée par un squelette portant une faux. Ex : « Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. » (Charles