Merleau Ponty Espace Temps Réel

en interrogeant l'art, par le truchement de la création, c'est la nature même de l'art, celle de l'oeuvre et de l'artiste qu'il nous est demandé de mettre en évidence dans son rapport intime au créer . Pour ce faire, il convient peut-être pour un temps d'expliquer ce que l'on peut entendre par création, de définir au moins provisoirement ce terme. Quand parle-t-on de création ? En matière d'art, la création touche d'abord la "chose" ou l'oeuvre créée. Elle est produit d'un acte, son résultat. Le

soutient qu’elle est réelle : comment peuvent ils être conscients de leurs statuts (=être du rêve ?), elle pleure = se sent consciente d’elle-même, elle n’en doute pas. Mais selon ses amis, ou qu’elle aille le cadre change, et c’est la pers en train de rêver qui commande ses sentiments et actions.  La conscience se distingue t’elle du réel au point d’avoir une existence à part entière ou bien le réel se résorberait t’il dans une conscience de telle sorte qu’il n’y aurait plus de réel à proprement parler

de la matière. « L’univers est une sphère infini dont le centre est partout ». Pascal envisage que le système solaire n’est pas unique. Cette définition fait écho aux découvertes scientifiques du XVIIIème siècle. Il dit « le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie ». Il marque l’abandon par Dieu des hommes, on parle de déréliction. Dieu les délaisse et se retire loin. Le prix a payé pour la liberté est l’angoisse existentielle. « L’homme est égaré dans ce canton détourné de la nature, de ce

pièce un artiste explore les limites de son expérience et de son intelligence formelle, les constituants spécifiques de son médium. « Son acte pictural avait pour effet d’ouvrir la porte au prochain espace, tout en refermant l’accès à celui qui le précédait. La forme et les dimensions du nouvel espace étaient découvertes par l’acte pictural suivant » (R. Krauss, L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes, p. 21). 7 R. Krauss, L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes

I] Définitions Durée : Etymologie : lat. durare, durcir. Sens courant : portion ou partie finie du temps. Ex. : la durée d'une expérience. Sens bergsonien : caractère ou qualité de nos états psychiques, se fondant les uns dans les autres, sans se juxtaposer (s'oppose ici au temps mathématique). Essence : Etymologie : lat. essentia, essence, nature d'une chose, de esse, être ; terme crée pour traduire le mot grec ousia, essence, substance, être. Par opposition à existence : ce qu'est une chose

la légitimité de la représentation. Ex : la société aryenne cherche à savoir qui sont tes parents (ne sont-ils pas juif ?). C. La médiation comme processus entre le réel et le symbolique. C'est un refoulement du réel (qui ne se partage pas) pour accéder au symbolique (qui lui se partage) afin d'être intégré dans un groupe. Le réel est lié intimement au corps. Si on s'oublie, si on oublie les intérêts particuliers pour une collectivité, on peut échanger sa place et se mettre à celle de l'autre. On

la chronologie, le point de vue, etc. Le récit écrit donne rarement une description exhaustive et complète, sans ambiguïté, d'une scène ou d'un décor. L'image, quant à elle, peut montrer une simultanéité d'action, d'espaces dans un même plan. Le temps nécessaire à la communication du récit est différent: un texte peut utiliser certains pages pour annuler une action ou une impression qui se montre en une seconde à l'écran. Le rythme produit n'est donc pas le même. Si le récit est propice à exprimer

est souvent prononcée de manière irréfléchie sans passer par la médiation : réflexion, dialogue, critique. Elle repose sur nos impressions et est donc nécessairement subjective 3. La réalité nous apparaît à travers un prisme perceptif : Espace-temps, Education/culture, facultés mentales, désirs/besoins, émotions etc. 4. Les préjugés jouent le rôle d’un ciment social, ils facilitent le jugement et l’action (catégorisation), ils permettent de mettre à l’écart la différence jugée dangereuse

ne peut nullement disposer. L’homme a besoin de son semblable pour vivre, mais aussi pour se perpétuer. L’homme est en effet un animal raisonnable, qui est donc perfectible, puisqu’il dispose de la pensée, pour réaliser sa condition ; ainsi, il a un réel penchant à s’associer, puisque ses dispositions naturelles ne se développent que dans la société. L’homme n’est ni bête ni dieu, et se doit, non seulement de vivre en société, mais aussi de se différencier des autres animaux. Car si nous exaltons trop

il est dans le mensonge. L'être créé un monde artificiel pour exister réellement. Pour Aristote, le cadavre d'une bête est repoussant mais son imitation ne l'ai plus. Pour Hegel, l'art n'est-il qu'une doublure du réel. La réponse sera que l'art a aussi pour fonction d'arrêter le temps (éternité de l'art). Il posera aussi la question suivante, l'art doit-il imiter la nature ? Car il ne pourra de toute façon la dépasser, mais en l'imitant, il créé une représentation. En comparant l'évolution de