Merleau Ponty Espace Temps Réel

chaque élément est à la fois moyen et fin des autres. Il est donc étonnant qu’un être naturel, ici l’homme, détruise son milieu, bouleverse les équilibres naturels, soit même capable de compromettre la survie de la planète. Son émergence dans le temps a tout l’air d’être une anomalie.) → II-B se condamne à étouffer en lui toute spontanéité et tout naturel pour se corrompre dans la vanité, l'amour propre par lequel l'homme artificiel ne s'aime lui-même qu'en tant qu'il apparaît aux autres. Nous

BERGSON. LA CONCEPTION ORDINAIRE DU TEMPS / LA DUREE VRAIE I. La conception ordinaire du temps (fin) L’impénétrabilité comme propriété de l’espace. (­6, 8, 13…) A priori cette notion d’impénétrabilité appartient à la physique : « Impénétrabilité »  veut dire que deux corps ne peuvent pas occuper le même espace sans être … le même. Autrement dit, dans ce cas il n’y en a pas deux mais un seul. Si deux fluides se mélangent, alors les particules de l’un se logent entre les particules de l’autre

degrés différents de clarté, etc. En dépit de tout cela nous arrivons à nous comprendre avec nos voisins et posons en commun une réalité objective d’ordre spatio-temporel qui forme ainsi pour nous tous l’environnement des existants, bien qu’en même temps, nous en fassions nous-mêmes partie. » 1. Le différent. En dépit de ce qui a été dit, il faut penser la différence pour deux raisons. D’une part, on voit bien que c’est ce qui nous résiste dans autrui : trouver une essence au-delà

L’image, nouvelles pratiques, nouveaux statuts ? De pandore à méduse, le pouvoir des images Le mythe de Pandore est un mythe d’origine mais si l’histoire qu’il raconte nous ramène au temps fort de la création, sa fonction, comme celle de tout mythe dans nos sociétés modernes, reste historiquement instable. On sait qu’il y a des mythes forts et des mythes faibles. Celui-ci faisait encore partie des mythes forts : le quantum politique y était immédiat. Rien d’autre dans le mythe de Pandore

la lithographie d'abord dans son sens «normal», de bas en haut, le personnage du bas qui gravit l'échelle nous e n indiquant la perspective, ensuite, dans un deuxième temps, à la faire pivoter vers la droite, dégageant u n deuxième monde, celui des personnages qui déjeunent sur une terrasse extérieure, et enfin, dans un troisième temps, à la faire pivoter vers la gauche, ce qui fait apparaître un troisième monde : celui du personnage qui observe la scène du haut d'un muret, et du couple qui se promène

derrière la variété des différences individuelles. e) Enfin, le patrimoine, dans sa signification la plus répandue et dans l’usage que nous en faisons quand nous nous tournons vers les arts et vers leur histoire, désigne l’ensemble des œuvres d’art, des espaces ou des constructions rurales ou urbaines qui constituent le bien commun d’un Etat ou d’une Nation. Ce bien commun exige sa protection et sa conservation sous l’égide d’un ministère (celui de la culture) qui organise une direction du patrimoine dont

langues parlées en Palestine, l’arabe palestinien (variante de l’arabe) et l’hébreu moderne sont voisines des langues officielles d’Israël (arabe et hébreux). Le langage en tant qu’objet culturel apparaît alors crucial dans la perception d’autrui (Merleau-Ponty, 1945) et permet d'appréhender son importance dans le fonctionnement des relations sociales et la formation d’opinions et de jugements subjectifs selon les différentes attitudes linguistiques employées, qui sont des sujets inhérents au concept

d'énonciation. Il cite comme marques de ce genre tout ce qui relève de l'expression du générique et du toujours vrai ; mais il y rattache les emplois de temps et surtout de personne en énallage (un JE ou un TU indéfini, équivalent d'un ON, type " je pense donc je suis " (G. Philippe n'utilise pas l'exemple de Descartes, mais un extrait de Merleau-Ponty) ou intervenant dans une anecdote susceptible d'arriver à tout un chacun, et servant d'exemple : " ces textes n'ont de pleine pertinence philosophique

Effet d’ensemble, prend exemple sur Véronèze: Toute sa vie, il va chercher l’unité, l’effet d’ensemble. Au vu des tensions, il va mettre sa peinture en tension. Sa peinture est une peinture de forces, d’énergies. Tensions, dessins couleurs, 2d 3d, réel, abstrait, sujet, peinture, contraste et complémentaire, tension entre la figure et la fond. Tension nature – culture. La peinture est un rapport de Forces. 6) Beaucoup de littéraires se sont trompés sur Cézanne. Matisse et Giacometti, sont les

- Ce qui est objectif peut être constaté par tout le monde, il n’entre pas d’appréciation subjective, personnelle. On s’en tient aux faits, on se borne à constater. La question de l’objectivité concerne avant tout la science (cf Raison et réel ; Vérité etc). I L’humain singulier Chaque sujet se définit comme individu unique, à partir de ses relations avec autrui au sein d’une société ou d’une communauté. Seuls les humains entrent dans ce questionnement sur eux-mêmes et aucun humain