Merleau Ponty Conscience Sens

Mémoires de guerre, tome III, « Le Salut, 1944-1946 », Charles de Gaulle. • Littérature contemporaine - Œuvres contemporaines françaises ou de langue française Œuvre : Fin de partie de Samuel Beckett. Série littéraire Notions : Le sujet - La conscience - La perception - L’inconscient - Autrui - Le désir - L’existence et le temps La culture - Le langage - L’art - Le travail et la technique - La religion - L’histoire La raison et le réel - Théorie et expérience - La démonstration

Juridique : avoir le droit de faire quelque chose • Liberté d’agir : ne pas avoir de contrainte, faire ce que l’on veut. - Thèse d’Epictète (stoïciens)  agir • Il est possible d’être libre au sein des contraintes, pour cela nous devons comprendre le sens des contraintes et nous transformer afin d’éliminer ce caractère de contrainte. - Thèse de Descartes (partisan du libre arbitre)  choisir • La volonté humaine n’est jamais entièrement contrainte dans ces décision, elle est libre et se connaît par

l'objet) et surtout peut-être du se faire (indivision et fusion des mêmes actants) est une des «constances concentriques» (Hjelmslev) de l'auteur des Cahiers lequel sans cesse questionne le commerce, «la combinaison de l'action avec la matière (au sens relatif de chose qui se conserve) (...)7» En ces textes, le faire cognitif, ici authentiquement herméneutique8, est 5 6 7 Nous indiquerons désormais ainsi les références au texte dans le volume de La Pléiade. Œuvres, tome 2, op. cit, p. 887.

majeure de la philosophie contemporaine. Après son livre La critique et la conviction en 1995, qui met sa pensée à la portée d'un plus large public, voici qu'une énorme biographie intellectuelle à lui consacrée paraît ces jours-ci: Paul Ricœur: les sens d'une vie, par François Fosse, aux éd. La Découverte. Le philosophe prépare également un livre d'entretiens avec le neurobiologiste Jean-Pierre Changeux, auteur de L'homme neuronal. C'était l'occasion pour nous de partir à la rencontre d'un homme

s’opposent, ils ne peuvent pas avoir le même sens. En effet, le terme de vie renvoi d’avantage à une activité biologique. L’expression : «  La brièveté de la vie » renvoi au fait d’avoir une durée de vie limitée : cela commence par la naissance, puis la croissance pour se finir par la mort. L’existence quand à elle est la vie avec la conscience de vivre ainsi l’homme sait qu’il est, c’est un être par opposition aux choses naturelles qui sont en soi. On a la conscience d’être mortel. La valeur quand à elle

moi mais qui est différent. Je suis la référence, pour moi les autres sont autrui, mais pour les autres, ils sont la référence et je suis autrui  mouvement de réciprocité. Autrui a deux visage= Sujet et objet. Sujet car il pense, il a une conscience. Objet car je le pense, je le juge. Mais autrui est une personne et une personne a droit de ma part à une attitude spéciale  Le respect qui fait que lorsque nous nous considérons, nous ne nous voyons pas comme objet qu’on utilise pour atteindre

notion surtout si on la confronte à celle de culture. On peut la distinguer en deux grands ensembles. 1) La nature en général C’est l’ensemble des choses considéré comme obéissant aux lois générales (en cela Aristote l’oppose au hasard. Mais ce sens général se spécialise lui-même. a. L’ensemble créé et le monde visible La nature peut désigner tout ce que Dieu a créé. Ou, dans une perspective non chrétienne, tout ce qui existe matériellement et est soumis à une causalité (par opposition à la

intelligible (rationnalistes). contraire contradictoire amour oblatif captatif 2 Qu’est-ce que la philosophie ? Philosophie : attitude de questionnement, de remise en cause des préjugés, de la doxa (δoξα : opinions, idées reçues) → on prend conscience de son ignorance : – Socrate (399 avt JC) : «Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.» → dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai

objet comme le peintre, il fait devenir, opacifie, matérialise le mot comme chose. Le parleur, lui, est en situation dans le langage. Les mots prolongent ses sens, le corps verbal qu’il se constitue étend son action sur le monde. Sur ce dernier point et sur l’imaginaire, Sartre se rapproche du regard et de la sensibilité de Merleau-ponty qui publie peu après Phénoménologie de la Perception. En note, Sartre écrit « Originellement, la poésie crée le mythe de l’homme quand le prosateur trace son

connaissance de soi est impossible pour l’Homme qui, selon Pascal, ne se tient « jamais au temps présent » et vit dans l’anticipation et les souvenirs. La conscience malheureuse de Pascal est anticipatrice en raison de l’essence même de l’Homme. Le futur lui fait peur et le passé le rassure. C’est donc dans l’inconnu, le néant que constitue le futur que la conscience humaine est la plus à même d’exister. Pourtant selon Aristote, la connaissance de soi n’est possible que par l’Autre et uniquement grâce à lui