Matrice Bcg Banque Assurance

développement de la crise, poursuivre l’exploitation en contexte instable) ; - la mise en place de procédures d’apprentissage (amélioration des réactions au fil des événements) en associant les parties prenantes concernées ; - le transfert de risque (assurance, sous-traitance) ; - la répartition du risque (diversification des activités, décentralisation …). 3.4 – LA RESPONSABILITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE 1 – Le rôle sociétal des entreprises  La responsabilité sociale (ou sociétale) de l’entreprise

industries et des chemins de fer - Investissements à l’étranger (passent de 2 milliards de francs en 1850 à 15 milliards en 1870) La recherche du profit est maximum : les banques proposent de plus en plus l’exportation des capitaux. La spéculation se répand (surtout immobilière et boursière). A-] Les nouvelles banques : Avant 1850, la recherche de l’autofinancement (industries familiales) mais les innovations demandent de plus en plus de capitaux. La forte concurrence exige des moyens supérieurs :

décentralisée (Organisation en divisions ou départements correspondants à des ensembles de services: est bien adapté aux entreprises en réseau ou à activités multiples , La structure matricielle (Chaque membre est identifié par les coordonnées d’une matrice) : Supprime les inconvénients des structures précédentes en combinant les avantages à la fois de la spécialisation et de la coordination = structures des grandes entreprises internationales. 3.2.2. Types de management : 5 types de direction d’entreprise

améliorer la qualité de sa production. Concorde est un exemple où l'innovation technologique a dépéri faute d'un nombre d'acheteurs insuffisant. 3) L'optique vente Partis politiques, vendeurs de meubles, promoteurs immobiliers, certaines assurances. Le consommateur n'achètera pas de lui-même suffisamment à l'entreprise à moins que celle-ci ne consacre beaucoup d'efforts à stimuler l'intérêt pour le produit. Risques de détruire le marché. 4) L'optique marketing |OPTIQUE VENTE

2007 24. Les prévisions 25. Les provisions et dépréciations 26. La sous-traitance 27. La rentabilité et le résultat net de l'entreprise 28. Le crédit-bail 29. Les stocks 30. La rentabilité brute d'exploitation 31. La cotation des entreprises par la Banque de France (BDF) 32. Les immobilisations 33. Le plan de financement 34. Les financements du haut de bilan par le système bancaire 35. Les financements du bas de bilan par le système bancaire 36. Le plan de trésorerie 37. Les crédits de mobilisation

Aucune action de communication n’y changera rien, si les relations quotidiennes ne sont pas modifier … d’abord ! En fait on distingue là les différentes étapes du Management des entreprises interrogées : Le positionnement des réponses sur une matrice de priorités, résume bien la « vision » actuelle des dirigeants, dont le souhait est de s’aligner sur l’organisation de leurs clients afin de développer leur chiffre d’affaire. * Etape 1 Centre d’intérêt : Transmission de la valeur de l’offre

stratégique défini par les verbes « connaître , prévoir, décider ». La connaissance du client passe par l‟usage d‟un système d‟information mercatique (ou SIM) c'est-à-dire une base de données qui stocke toutes les informations sélectionnés et une banque de méthodes qui va traiter cette information récoltée. Prévoir se fera par des méthodes de prévision statistiques sur lesquelles nous reviendrons ou des méthodes qualitative La décision stratégique est basée sur cette connaissance et ce prévision

Réflexion stratégique p 241 Finalités et objectifs de l'entreprise - Niveaux et choix stratégiques XIV Diagnostic stratégique (1) p 245 Environnement, FCS - Analyse concurrentielle (forces concurrentielles de Porter, matrice BCG, effet d'expérience, ...) - Analyse technologique XV Diagnostic stratégique (2) p 255 Flexibilité du travail, flexibilité financière, flexibilité des équipements et avantage concurrentiel XVI Les stratégies de croissance p

plus défavorisés. On note à la fin des années 1990 une montée importante des mouvements alter-mondialistes. A la source de ces mécontentements sont souvent critiquées les principales organisations internationales à vocation économiques (OMC, FMI, Banque mondiale et G8) qui se présentent comme les maîtres d’œuvres de la mondialisation libérale. Il existe réellement un danger en terme d’aggravation des écarts économiques entre les acteurs mondiaux 12 , cependant les opportunités sont multiples et des

solutions possibles. Avant • 3 d'arrêter définitivement sa décision, le consommateur devra mettre à plat toutes les solutions qui s'offrent à lui surtout dans le cas d'achat de produit présentant un risque important (voiture, piscine, électroménager, assurances...). • 4ème étape: la prise de décision. Une fois les différentes solutions possibles évaluées, le consommateur va arrêter définitivement son choix en fonction: • des facilités de paiement accordées, • des services rendus (livraison, SAV, garanties