Matamore Plaute

la plus jouée après Tartuffe. UNE FARCE, UN DRAME, UNE COMEDIE D’abord il y a la farce avec son cortège de bastonnades, de quiproquos, d’intrigues amoureuses, de lazzi. On y débusque pantalone, arlequin, matamore, les canevas classiques de la commedia dell’arte. Plus loin encore : Plaute, et sa marmite. Une image de Louis de Funès à la télévision. Rires. N’empêche, après le rire il reste l’inquiétude vague, plus durable. Alors on y repense et c’est tout autre chose qui nous apparaît : il y a

Bourru TEXTE 3 Molière, L’Avare D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Plaute, L’Aululaire ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS Deux mises en scène de L’École des femmes J.-A. Watteau, Arlequin et Colombine… M. Sand, Polichinelle 17 17 18 19 20 21 22 23 24 24 24 24 24 25 Le visage comique, des masques grecs au cinéma Exercices d’approfondissement P. Corneille, L’Illusion comique 1 Térence, Adelphes 2 Molière, L’École des maris 3 Plaute, Le Soldat fanfaron P. Corneille, L’Illusion comique Prolongements

politique ou certains auteurs comme socrate, et il inaugura la satire des moeurs. La comédie commença à se développer dans l'empire romain à partir du III ème siècle avant JC, et il devint une activité régulière à Rome, au II ème siècle av JC, avec Plaute et Terence qui utilisèrent la comédie afin de dénoncer la tyrannie, la vantardise et le pouvoir de l'argent. La comédie latine est en partie une imitation de la comédie grec. Elle a deux formes: la comoedia palliata (pallium : manteau grec): à

La comédie a pour origine le culte de Dionysos, dieu de l'ivresse, et les festivités au cours desquelles tous les excès étaient permis. Le Grec Aristophane (IV° siècle avant J.-C.) et, à Rome, Plaute et Térence (II° siècle avant J.-C.) ont utilisé la comédie pour dénoncer la tyrannie, le pouvoir de l'argent, la vantardise.   | Née durant l'Antiquité grecque des processions burlesques (kômos) qui se déroulaient lors de fêtes de Dionysos – où des gens au visage barbouillé se lançaient, et adressaient

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de Pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là (Le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron, les fabliaux3)… Cette conception originale de

Dans cet extrait, tiré de l'Avare, acte 1 scène 3, Harpagon et la Flèche apparaissent pour la 1ère fois depuis le début du livre. Harpagon, exige que la Flèche s’en aille. Finalement, malgré son impertinence, la Flèche quitte la maison chassé par la paranoïa d’Harpagon. Harpagon apparait comme un bourgeois très suspicieux, qui ne contrôle pas son avarice. Le valet étant confronté à ce dernier se montre insolent puisqu’à chaque ordre, il demande une justification, Puis, il joue le raisonneur, ce

pleine air. [pic] Le théâtre d'Arausio (Orange) Auteurs associés : Plaute : Né en 254 en Ombrie, d’une famille modeste. Tout au long de sa vie il exercera plusieurs métiers tels que : commerçant, machiniste, voyageur, meunier. Ses pièces sont joué après 210 avec beaucoup de succès. Nous avons conservé de lui 20 comédie dont l’Aululaire (reprise par Molière dans l’Avare).Les pièces écrites par Plaute visaient tous les publics (populaire). Pour ses pièces, il utilisait toute les sources

où elles étaient écrites, dans l´époque de l´auteur qui voulait, entre autres, faire remarquer des problèmes actuelles de la société. Mais cela n´empêche pas au public contemporaine de leur comprendre aussi. Souvenons-nous des comédie La Marmite de Plaute et L´Avare de Molière. Il s´agit presque de la même histoire - qui était présentée avec succès dans l´Antiquité autant que dans le classicisme. Même aujourd´hui, on rit à ces comédies de même - pour des raison mentionnés dans la premiére partie, mais

très apprécié : on joue des comédies (celles d'Aristophane chez les Grecs, de Plaute et de Térence chez les Romains) et des tragédies (celles de Sophocle, Eschyle et Euripide chez les Grecs, de Sénèque chez les Romains). Ces œuvres ont beaucoup inspiré les dramaturges des siècles suivants et bon nombre des personnages de Molière y ont leur source. Ainsi l'intrigue de L'Avare est directement inspirée d'une comédie de Plaute, L'Aululaire,ou Comédie de la Marmite (vers 190 av. J.-C.) : dans cette pièce

aidant son jeune maître au détriment du vieillard, etc. Le ton a également changé : les obscénités, liées au culte de Dionysos, cèdent la place à des plaisanteries beaucoup plus délicates, que les Romains, admirateurs de l’art grec, vont reprendre. Plaute (254-184 av. J.-C.), en adaptant ses schémas à la réalité latine, confère d’avantage de relief à ses personnages. La pantomime, héritée du théâtre populaire étrusque, lui inspire certains jeux de scène. Il exploite remarquablement les situations qui