Massacre de Srebrenica

servent de domaines de prédilection aux pires formes de violations des droits de l’homme. Ces soulèvements dégénérés, déstructurés voire anarchiques selon les appellations, prennent la forme de violences diffuses, éclatées, souvent extrêmes (massacres de populations civiles, terrorismes, génocides). Ces violences relevant du flux de la démocratisation, prennent souvent leurs sources dans les tripatouillages constitutionnels et les fraudes électorales. Les conséquences sont d’autant plus graves

suscitent, l’opinion publique en a une image nuancée, plutôt négative, consciente à la fois de leur importance mais aussi de leurs carences, illustrées par les images télévisées de « casques bleus » impuissants face aux massacres se déroulant sous leurs yeux, au Rwanda en 199430 ou à Srebrenica en juillet 199531. Dans un reportage diffusé par la Télévision Suisse Romande (TSR), le 24 mai 2010, intitulé sobrement « les casques bleus », le présentateur, Monsieur Xavier COLIN, lançait : « sur le principe

française, Le Seuil, 1988 • L’immigration Ralph Schor, Histoire de l’immigration en France, de la fin du XIXe siècle à nos jours, Armand Colin, 1996 Gérard Noiriel, Le Creuset français, Histoire de l’immigration, XIXe- XXe siècles, Hachette, 1988 ; Le Massacre des Italiens, Aigues Mortes, 17 août 1893, Fayard, 2010 CHAPITRE 1 Croissance et mondialisation (depuis 1850) Après avoir présenté les tendances sur le long terme de la croissance économique (leçon  1, p. 20-21), le chapitre suit l’évolution

française, Le Seuil, 1988 • L’immigration Ralph Schor, Histoire de l’immigration en France, de la fin du XIXe siècle à nos jours, Armand Colin, 1996 Gérard Noiriel, Le Creuset français, Histoire de l’immigration, XIXe- XXe siècles, Hachette, 1988 ; Le Massacre des Italiens, Aigues Mortes, 17 août 1893, Fayard, 2010 3 CHAPITRE 1 Croissance et mondialisation (depuis 1850) Après avoir présenté les tendances sur le long terme de la croissance économique (leçon  1, p. 20-21), le chapitre suit l’évolution

proclament leur indépendance (nationalisme croate fort) en 1991 ; elles sont suivies en 1992 par la Bosnie Herzégovine ( pour cette dernière, ce sera suivi de trois ans de combats et de massacres, en particulier de la part des serbes nationalistes de B-H, soutenus et armés par Milosevic ; il y aura les massacres de Srebrenica ) . Quant au Kosovo, rattaché théoriquement à la Yougoslavie, et en particulier la Serbie, après les évènements meurtriers de 1998-1999, qui ont provoqué l’intervention de l’OTAN

article et la CIJ également. Le génocide est introduit sur le plan biologique et physique mais n’est pas pris sur le plan culturel. Le tribunal pénal pour l’ex Yougoslavie n’a été reconnu qu’une fois dans l’affaire de Srebrenica (1995) troupes serbes ont entoure la ville et ensuite massacre. Le tribunal pénal international pour Rwanda a également sanctionne pour crime de génocide * 4) crime d’agression : pas de définitions encore, donc pas de cas encore. Il y avait d’autres crimes qui ont souhaite

de négocia- tions avec Israël qui n’a mené nulle part depuis que M. Nétanyahou a été nommé premier ministre, il y a deux ans. Aucune justification n’est recevable face à l’attentat terroriste qui a ensanglanté Jérusalem et, le 11 mars, face au massacre d’une famille de cinq personnes (dont un nouveau-né) en Cisjordanie, dans l’implantation d’Itamar. Il y a eu des attentats pendant les périodes de négociation de paix et en l’absence de tels pourparlers. Mais s’il n’y a pas de corrélation entre le

obtenu ensuite un droit de se défendre, pas de s’ingérer dans les affaires qu’elles ont à surveiller. Cette retenue a conduit des casques bleus à assister 
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 Prise de note disponible gratuitement sur dtconstit.free.fr au massacre de musulmans à Srebrenica. Le second cru des OMP leur voit s’appliquer et le chapitre VI bis et le chapitre VII, alors que leur nombre augmentait, en parallèle de quoi leur rôle se diversifie. L’ONU met ainsi fréquemment sur pied des missions de surveillance

laissé derrière eux. Le sort des supplétifs musulmans de l'armée française, les « harkis », est également terrible : le gouvernement français n'en a pas fait une priorité, et la majorité d'entre eux doivent rester en Algérie, où beaucoup seront massacrés. IMPORTANT Bilan officiel : On déplore la mort de 25 000 soldats français, de 4 à 5000 civils français, de 250 000 Algériens, soit presque 3 % de la population. Cette « guerre sans nom », pour reprendre le titre d'un film documentaire de B. Tavernier

capables de faire office de « police internationale » (mandats souvent peu clairs, capacités opérationnelles insuffisantes, financement limité) : certains échecs furent retentissants (Somalie, 1992) et certaines passivités tragiques (Rwanda, 1994 ; Srebrenica, 1995). En d'autres temps, ces carences n'auraient guère soulevé d'émotion (le génocide hutu au Burundi en 1972 ne fut même pas discuté à l'Assemblée générale), mais désormais elles pointaient toutes les faiblesses, les insuffisances et les dysfonctionnements