Marc Aurele Conscience

Philosophie : Commentaire du texte de MARC AUREL Introduction : La constitution est l'ensemble des caractères psychologiques et somatiques d'un individu en tant qu'ils sont hérités et transmissibles. Le texte étudié ici est un extrait du livre VII, pensées pour moi-même de Marc Aurèle philosophe célèbre de son époque qui appartenait au courant littéraire appelé Stoïcisme qui prône que la nature est soumise à un monde immuable. La thèse du texte étudié est la suivante : chaque être a une constitution

PHILOSOPHIE : Commentaire sur un texte Pensées pour moi-même, Marc Aurèle L’Homme est éphémère, sa place dans le temps est limitée à une durée de vie courte du point de vue d’une planète, la planète Terre présente depuis très longtemps. En effet, dans la vie d’un homme, la prise de conscience de cette éphémérité arrive tôt ou tard, et peut, parfois, conduire à un certain sentiment de déréliction. La philosophie est une discipline complexe et plurielle

monde au même titre que les animaux ou les végétaux et nous devons contribuer à « l'ordre du monde », cette tâche nous est obligatoire si nous voulons vivre en harmonie avec notre environnement et notre univers. Le fait d’être un homme ayant une conscience une existence, ne nous dispense des principes originels et élémentaires qui participent à la création d’un monde harmonieux. HOMME COMPARE ICI AUX ANIMAUX ET AUX VEGETAUX DE CE FAIT LES HOMMES S’IMAGINANT NETTEMENT SUPERIEUR AUX AUTRES ESPECES VIVANTES

avec lui-même vit en paix avec l’univers.» Marcus Aurelius Né en l’an 121 a Rome et décédé en l’an 180 à Vienne, Marc Aurèle est un empereur Romain, ainsi qu’un philosophe stoïcien. Originaire d'Espagne, Marc-Aurèle, membre de la dynastie des Antonins, est adopté par l'Empereur Adrien puis par son héritier Antonin. Hadrien lui décerna les honneurs équestres à l’age six ans, puis l'admit dans la confrérie des prêtres

 Marc Aurèle – l'empereur stoïcien Empereur romain du IIe siècle après JC, Marc Aurèle considèrait la philosophie comme une "discipline de vie qui engage toute l'existence" lui permettant "d'agir raisonnablement" (expressions de Pierre Hadot dans son article sur Marc Aurèle et lu sur l'Encyclopédia Universalis). Pour lui le but fondamental de la vie consistait en un accord parfait avec la nature – ou la Raison avec un grand "R". Hériter du stoïcisme, il pratiquait divers exercices spirituels

Marc Aurèle Marc Aurèle (26 avril 121 à Rome - 17 mars 180, probablement à Vindobona) est un empereur romain, ainsi qu'un philosophe stoïcien. En 145, il épousa sa cousine germaine Annia Faustina (Faustine la Jeune), la fille d'Antonin, dont il aura de très nombreux enfants. Doctrine Marc Aurèle était un stoïcien, ses maîtres à penser furent tous des représentants du Portique : Épictète, Apollonius de Chalcédoine, Sextus de Chéronée. Et ses autres références sont Platon, Épicure, Démocrite

à l'esprit scientifique moderne. En effet, ne posant aucune hypothèse d'ordre métaphysique, le scepticisme n'interdit pas d'étudier les phénomènes et d'en faire la théorie. Mais il faut dire toutefois que ces philosophes ne semblent pas avoir eu conscience de la nouveauté épistémologique de leur doctrine, trop occupés qu'ils étaient dans leur recherche de l'indifférence heureuse. Au-delà de cet usage strict du terme, sceptique est un adjectif abondamment utilisé, dans des sens parfois éloigné de

renaissance et l’arrêt de mes cauchemars. Maurice Maeterlinck : « il est tout à fait raisonnable et légitime de se persuader que la tombe n’est pas plus redoutable que le berceau.» La mort est une rupture, un saut dans l’inconnu. Ce fut cette conscience de ce passage initiatique primordial, ce saut, ce souhait de ne se raccrocher à rien et bien au contraire de se laisser s’enfouir pour ne plus s’enfuir, oser se mirer et non plus s’admirer qui m’ont permis d’évoluer, conscient que ce plongeon serait

Dans ce texte extrait des Pensées pour moi-même, Marc-Aurèle (121-180) développe les thèmes du temps, de la mort et de son angoisse. Pourquoi la crainte de notre propre mort est, selon Marc-Aurèle, complètement infondée ? L’Empereur y répond par deux thèses ; la première dit que, ne possédant que l’instant, c’est l’unique chose que nous pouvons perdre en mourant. La seconde que cet instant n’est pas une perte regrettable puisque toutes les choses sont éternellement semblables et recommençantes. Cette

les phénomènes et sa « conscience » devient un substitut complet du monde extérieur présenté sous forme d’impression ou d’image ». A ce point la conscience se trouve radicalement modifiée: indépendante et souveraine, elle possède apparemment son monde. Introduction à la lecture des Pensées pour moi-même. - Le dispositif de l’éthique stoïcienne est l’ajointement de trois disciplines: discipline de l’assentiment, discipline du désir, discipline de l’action. [Marc-Aurèle, Pensées..., II, 14]