Marat Assassiné

le pouvoir et les succès militaires. Les rameaux de chêne évoquent la durée dans laquelle la république veut s'installer. Au faite de chaque obélisque deux médaillons portent les portraits de deux autres martyrs de la république : le Peletier et Marat. Ces deux héros sont couronnés de lauriers par deux femmes assises dans les nuées. Dans leur autre main, elles tiennent le fil à plomb, symbole de la justice, surmonté de l'oeil de la raison inscrit dans un soleil radié. Ces symboles, fréquents au

représente la dernière scène de sa vie où elle prononce avant que la lame de tombe : »Enfants de la patrie vous vengerez ma mort ». D’autres sont jugées et condamnées pour des actes plus grave, telle que Charlotte Corday, exécutée pour avoir assassiné Marat. De plus les femmes ne sont pas reconnues comme actrices de la marche plus ou moins violente qui a mené aux révolutions de la fin du XVIIIème siècle. Les écrits, les témoignages, l’histoire retient leur absence de la scène révolutionnaire. La

modérés, le roi ne se voit accordé qu'un veto suspensif. Dans les rues de Paris, les nouvelles les plus extravagantes sont colportées par une multitude de journaux qui ont fait leur apparition depuis la tenue des Etats Généraux. L'ami du peuple de Marat, Les révolutions de Paris de Loustallot ou Le discours de la lanterne aux Parisiens de Desmoulins. Tous dénoncent les intrigues des aristocrates, les machinations de la cour et s'attaquent au "veto du roi". Ils contribuent à instaurer une atmosphère

de l'Etat et qui est anti royaliste. le clus des cordeliers le club des flobants A partir de 1789, on va aussi voir apparaitre de nouvelles force politique inconnu sous l'ancien régime avec la montée en puissance des journalistes ( Désmoulins, Marat, ou encore Brissot ) et le peuple de Paris ( force politique qui va jouer un rôle déterminant ). La notion de gauche et de droite va naitre le 10 septembre 1789. Ceux qui sont favorable au roi sont appelé les aristocrates et ceux qui sont défaroble

l’Ami du peuple » Le révolutionnaire Jean-Paul Marat fonde le journal « l’Ami du peuple ». Ces quelques pages sont particulièrement polémiques vis-à-vis du gouvernement français. Ses idées radicales encouragent souvent le recours à la violence. Beaucoup lui reprocheront, plus tard, d’être responsable de l’exécution des Girondins. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il sera assassiné. Son journal disparaîtra avec lui. Voir aussi : Journal - Marat - Histoire de la Presse 1812 Invention de

Bertier de Sauvigny pendus en place de Grève. Arrestation de Bezenval près de Paris. A Falaise le marquis de Ségrie renonce à ses droits féodaux devant notaire par crainte d’une émeute. A Ballon le lieutenant du Mans et le seigneur du village sont assassinés par les paysans. 23. Jeudi. La proclamation proposée par Lally-Tolendal le 20 est enfin adoptée, avec des amendements. Des députés des électeurs de la Commune demandent à l'Assemblée la création d'un tribunal pour les crimes de lèse-nation.

décapité au couteau par l'aide-cuisinier Desnot et sa tête mise au bout d'une pique. Arrivés à l’Hôtel de Ville, les émeutiers accusent le prévôt des marchands (fonction comparable à celle de maire) Jacques de Flesselles de trahison. Il est lui aussi assassiné, puis sa tête est promenée au bout d’une pique, avec celle de de Launay. Après la victoire populaire Alors que Louis XVI reconnaît le fait accompli, la démolition de la Bastille commence. Louis XVI cède à la pression parisienne et vient en personne

Novembre 1799. Comme grands noms de la Révolution nous avons : Marat Jean-Paul Marat est né le 24 mai 1743 en Suisse. De 1758 à 1788, il travaille comme homme de sciences et médecin. Il publie quelques ouvrages puis devient journaliste. Il écrit un journal que l'on peut qualifier de révolutionnaire : « L'Ami du Peuple ». Le 9 Septembre 1789, il est élu député à la Convention. Il est assassiné le 13 juillet 1793 par Charlotte Corday. La Fayette Le marquis de La

décapité au couteau par l'aide-cuisinier Desnot21 et sa tête mise au bout d'une pique. Arrivés à l’Hôtel de Ville, les émeutiers accusent le prévôt des marchands (fonction comparable à celle de maire) Jacques de Flesselles de trahison. Il est lui aussi assassiné, puis sa tête est promenée au bout d’une pique, avec celle de de Launay. Après la victoire populaire Alors que Louis XVI reconnaît le fait accompli, la démolition de la Bastille commence. Louis XVI cède à la pression parisienne et vient en personne

parterre de la Comédie-Fran¡;aise se formaient les Ol'ages qui éclataient ensuite sur la place publique; plus d'une cornédienne se transforma en déesse de la Raison et de la Liberté : les chumrs de I'Opéra chantaient a mille voix, aux funél'ailles de Marat, et les coryphées de la danse entrela~alentde guirlandes les statues de la Répuhlique. Comme ces femmes cherchaient partout la popularité et les applaudisselllents, comme leur be:mté était accoutumée a~l nu, a la licence des mrours, elles tenc1aient